Les Héroïnes Tragiques

illustre ainsi la tragique victoire de la nécessité politique sur l'univers galant, où seul la religion du cœur est admise, et qu'incarne Bérénice, avec son indifférence envers la "grandeur" et son désir de fuir la cour. Bérénice est-elle une tragédie ? Certes personne ne meurt à la fin, mais les héros sont voués au malheur, à la solitude. Leur vie a perdu tout sens, et pourtant ils ont repoussé la tentation du suicide : c'est exactement ce que l'on peut appeler un tragique élégiaque : le sort

comme une auteure classique. Elle devient célèbre avec son roman L a Princesse de Clèves publié en 1678. Cette œuvre est considérée comme le premier roman psychologique, il a pour cadre de vie la cour d’Henri II et comme héroïne, Mlle de Chartres mariée à M. de Clèves mais amoureuse de M. de Nemours. Présentation du texte :   Cet extrait se situe à la fin du tome I du roman. La mère de la PDC est atteinte d’une forte fièvre et sent la mort arriver

au vers 41, Phèdre est plongée dans son passé. Elle s'adresse d'abord aux Dieux avec « Ciel ! » vers 30, « Ô haine de Vénus ! » vers 32, puis à ses proches décédés « Ariane ma sœur » au vers 36. Elle se présente ainsi comme une héroïne tragique soumise à un destin tragique comme le soulignent les vers 40 et 41 « Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable/Je péris la dernière et la plus misérable. » Le spectateur et Oenone comprenne alors que Phèdre souffre d'aimer et que cet amour la conduira à

son drame passionnel, l’extrait « un aveu involontaire » est une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions. Dans les paragraphes suivant, nous allons développer l’idée d’une passion irrépressible, le concept d’une héroïne pathétique ainsi qu’une issue tragique. Développement Pour débuter, l’amour que Phèdre ressent pour Hippolyte est démesuré. Elle est vraiment fâchée envers elle-même de ressentir cet amour irréaliste. L’antithèse trouvée dans le vers 12 : « Je m’abhorre encor plus

du mal (Merteuil dans les Liaisons Dangeureuse). 2)Dans le roman traditionnel, le héro, héroïne est prés a aller jusqu'au bout de sa passion: - Personnage d'exeption par son destin: le héros de Roman a souvent sa vie entière a compté et par conséquent on a l'impression que sa vie est faite d'element. (le Colonel Chabert de Balzac): celle vie accidenté se finis parfois de façon tragique montrant un personnage victime de deterministe (comme dans l'Assomoir) - Personnage

Une vie ennuyeuse III) Sa mort 1) Les déceptions amoureuses a) Léon b) Rodolphe 2) La ruine a) L'heureux et le maitre Guillaumin b) Justin ou la dernière marche vers la mort 3) Une mort avec une dimension tragique et pathétique a) La scène de la mort b) La mort d'une héroïne c) comparaison de divers mort dans des romans I) L'enfance d'Emma Bovary. L'enfance d'Emma est évoquée assez tard dans l’économie du roman (page 51) ce qui n’enlève rien a son importance. Cette enfance particulière

yeux: A. Manon amoureuse ? ==> larmes de repentir « elle mit la main devant ses yeux... » et lorsque des Grieux l'accuse de perfidie, « elle me répéta en pleurant à chaudes larmes... » ==> parole rapportée directement = figure des grandes héroïnes tragiques, « Je prétends mourir, si vous ne me rendez votre cœur, sans lequel il est impossible que je vive. » ==> Quand DG lui avoue son amour, élans de tendresse puis promesse, mais : mouvements exagérés, théâtraux qui suivent l'aveu amour de DG et

règles : il n'y a pas de destinataires précis mais pire elle s'adresse à plusieurs personnes avec le même pronom "tu" ou "il" ou "vous". Les paragraphes s'enchainent sans liens logiques, la lettre paraît décousu : elle devient folle. II - Une héroine tragique A) La déchéance lié à l'amour Par ailleurs, la douleur qu’elle éprouve est lié à la trahison et la perte de Valmont mais également à la trahison qu’elle même à commis par rapport à son mari, deux éléments contradictoires. ➢ Des moments de

Silvère. -Ils = fantasme d’une configuration de l’inconscient qui juge et condamne. -‘tu’ dans ‘ils te tueront encore’ il y a un flottement, elle perçoit le perso libre en marge. III/ Le tragique perçut comme le cycle de la mort : le sang appelle le sang. A) Prédiction et destin tragique. -Adelaïde = incarnation de la fatalité. Prophétise le destin. Prévoit tt ce qui va arriver. Relié au sacré. ‘prends garde, on en meurt’ horreur sacrée conditionne les personnages. -rapprochement

des différences. Dans les registres premièrement, le tragique est très représenté dans une scène dont le dénouement est vital pour l’un des personnages. De plus, l’idée de fatalité propre au tragique et donc à la tragédie est très présente dans cette scène, quel qu’en soit l’auteur puisqu’Iphigénie est présentée comme condamnée dans le discours d’Agamemnon, malgré les discours de la mère et de la fille. Iphigénie est donc bien une héroïne tragique. Le « Ô » lyrique démontre la présence du registre