Les Formes Du Rire

« Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que prendre les événements de manière détachée, en plaisantant, permet, avec le recul qu'implique l'humour, de mieux les supporter. Le valet conseille donc, comme d'autres avant lui (Rabelais, Molière ou encore La Fontaine) et après lui (Ionesco ou l'humoriste Raymond Devos) de ne pas parler de « choses graves » sur le mode sérieux, mais de

une détresse morale pour la personne âgée qui en est victime». La maltraitance peut concerner des personnes de tous les âges, mais constitue un sujet des plus sensibles, notamment chez l’enfant et la personne âgée. Elle peut prendre des formes diverses à savoir : maltraitance physique, maltraitance émotionnelle ou psychologique, maltraitance sexuelle, maltraitance financière, maltraitance par négligence. A l’opposé, la bientraitance est d’après Canali M, Favard AM (2004) « …la

REFERENCES ESSENTIELLES SUR LE THEME DU RIRE | I/ ANALYSE LEXICALE A. Le substantif rire (nom commun) Le verbe rire est attesté depuis le 11°siècle. Il signifie dès son apparition rire puis sourire. C'est un verbe très fréquent que l'on retrouve dans les locutions verbales comme rire jaune, rire sous cape, mourir de rire, on parle également de rire homérique ( que l'on a comme Homère dans l'odyssée, Homère nous montre les dieux riant aux éclats ) « le rire inextinguible des dieux », rira bien

sans être pédant, séduisant sans être courtisan, à la mode sans excès. Le personnage de roman Considéré comme genre inférieur au théâtre et à la poésie, trouve sa place grâce à l’apparition de personnages nouveaux provoquant plaisir, admiration ou rire du lecteur. Le portrait que le romancier fait de ses personnages révèle la vision qu’il se fait de l’être humain, la place qu’il accorde au rang social Ce qui est plat, prosaïque, n’est pas romanesque. Le héros comique Le vagabond se prête à toutes

perspectives nous contemplons le sujet traité. C'est donc dans cette optique que Nietzsche s'interrèse ici à la conscience de l'apparence. Sa pensée s'articulera en trois temps; Dans un premier temps il nous parlera de la prise de conscience que nos formes d'existence sont en réalité le résultat de création et invention passée, Dans un deuxième temps, il énoncera sa conception de l'apparence comme étant notre seule réalité; Enfin il définira l'homme de connaissance comme étant l'intendant de cette

pièce moderne qualifiéde nouveau theâtre. En effet l’expression du rire chez Molière de même que chez Beckett se traduise dans des jeux de scènes (geste),les didascalies, les mots, les situations, le caractère.L’études des dialogues des répliques ainsi que des didascalies des deux pièces permettent de lister l’emsemble des effets comiques. Pour autant on ne peut pas séparer chaque effets d’un autre car ,souvent ces differentes formes sont liées. Chez Molière le décryptage se fait par les médandres

Introduction « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que prendre les événements de manière détachée, en plaisantant, permet, avec le recul qu’implique l’humour, de mieux les supporter. Le valet conseille donc, comme d’autres avant lui (Rabelais, Molière ou encore La Fontaine) et après lui (Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos) de ne pas parler de « choses graves » sur le mode sérieux

Yves Touchefeu : "Enjeux et formes de la parole comique dans La Paix d'Aristophane." Reproduction et utilisation interdites sans l’accord explicite de l’auteur ou du C.R.U. Yves Touchefeu : Enjeux et formes de la parole comique dans La Paix d'Aristophane. Conférence prononcée au lycée Chateaubriand de Rennes le mardi 12 novembre 2002. Mise en ligne le 9 décembre 2002. Yves Touchefeu est professeur agrégé de lettres en classes préparatoires au lycée Gabriel Guist'hau de Nantes. © : Yves Touchefeu

demi-obscurité d'un sous bois, des cavaliers, le mendiant. On rit encore, mais le rire a un son nouveau. On sent des dangers qui rôdent, du satanisme, un ricanement. Le IVème se place dans le palais de Don Juan. Autre lumière, où le visage du libertin s'éclaire de reflets rouges. Tout se mêle de bouffonerie, mais elle s'inscrit sur un fond d'ironie sèche qui n'est plus du tout celui des premiers actes. Le Vème ferait à peine rire : Don Juan hypocrite, le spectre, le coup de foudre final. On oublierait presque

Nous avons choisi comme thème celui de l’Éthique et la Responsabilité et comme sujet celui de l'humour / du rire. Ce qui a motivé notre choix c'est que nous aimons beaucoup l'humour. Cette discipline qui de prime abord à l'air « légère » voire « futile » mais qui demande beaucoup de réflexion tant pour la rédaction des sketchs que pour leur compréhension , puisque le rire se mêle en quelque sorte à l'intellectuel et il nous a semblé plutôt intéressant de nous intéresser à cela .