Les Forces Et Faiblesses Leroy Merlin

nouveaux usages que nous allons créer seront le passage lors du besoin par un prestataire unique , un Distributeur, un Facilitateur. Au même titre qu'il ne vient à l'idée de personne d'aller acheter un prise de courant chez LEGRAND, nous serons le LEROY MERLIN du SAP. Par rapport à la concurrence des plate-forme nationales, nous ferons valoir une valeur ajoutée de garantie de qualité en référençant les prestataires et en les contrôlant ainsi que la diversité, la proximité et la neutralité.

médias. Une nouvelle typologie fondée sur la construction du média est évoquée par certains professionnels. - Le paid média : ou média payé par la marque regroupe la publicité sur Internet. L’importance des dépenses digitales au sein des médias doit forcer les annonceurs à mesurer de manière adaptée les impacts de leurs investissements : efficacité et efficience sont au cœur de cette démarche. Les efforts des intervenants sur ce point portent sur la prise en compte de toutes les variables du mix mises

Dans le même temps, Promodès décide de tester un magasin en ligne, via son enseigne Shopi. Côté distribution spécialisée, c’est Fnac qui devient le premier « click and mortar » avec Fnac Direct dès 1998. Arrive ensuite Sephora.com en 1999, puis Leroy Merlin, dédié aux bricoleurs avec des produits d’outillage électroportatifs (ponceuses, visseuses, raboteuses…). L’innovation est là, d’emblée, avec une offre et un service pensé client. Fidèle à l’ADN de l’enseigne, le site met dès le début le client

sur la politique de leur société : il s’agissait beaucoup plus d’une carte de visite pour la clientèle. Ces distributeurs sont par exemple : - Ikea : www.ikea.com ; - Castorama : www.castorama.fr ; - But : www.but.fr ; - Leroy Merlin : www.leroymerlin.fr. Ou encore - Carrefour : www.carrefour.fr ; - Auchan : www.auchan.fr. Ils représentent une concurrence à ne pas négliger par Habitat & Jardins.com car ils disposent d’une notoriété indéniable et un rayonnement

correspond à des anciens critères mais ce type de magasins tend à être remplacé par le nouveau concept (un seul grand magasin). Les deux point de ventes sont entourés de grandes chaînes traditionnelles de zones commerciales type carrefour, Kiabi, Leroy Merlin etc. Nous avons pu observer que le concept de Dole n’est pas très porteur car beaucoup de familles ne se rendent que dans l’un des deux magasins et ne prend pas peine a découvrir l’autre. En revanche, à Thias il n’est pas rare que les mères de

commercial • Ouverture de 4 boutiques • Pas de service retouche en magasin des concurrents • Les clients veulent des retouches rapides • Concurrence élevé dans la zone de chalandise • Impossible d’étendre la zone de chalandise (projet Leroy Merlin annulé – terrain marécageux) • Hausse du prix du coton de 38% sur un an • Offre concurrentiel plus attractive Demande • +3.3% des ventes des chaines spécialisées • délais courts pour les retouches • -1.9% de la consommation du textile • Désormais

en place des stratégies marketing) dans l’esprit des consommateurs. (1,2,3) SWOT = S-trengths (forces), W-eaknesses (faiblesses), O-pportunities (opportunités), T-hreats (menaces) ; pour conduire une analyse, un diagnostic ou une évaluation. Schéma page 12’. Exemple : Thomas Cook : Développement d’une offre liée au sport analyse SWOT : * Force : relation avec une organisation * Faiblesse : mauvais contact avec le consommateur, ce qui crée un déficit d’image. * Opportunités : les

Présentation de l’entreprise * raison sociale * statuts activité * effectif – CA * date de création * distribution * historique Problématique Comment… alors que … ? Diagnostic = matrice SWOT | + | - | Interne | Forces | Faiblesses | externe | Opportunités | Menaces | Les objectifs Objectifs marketing : un volume et un délai Objectif communication : affectif, conatif, cognitif Les cibles * la cible principale -> cœur de cible (= cible visée) * les

Vente en grande surface spécialisée (G.S.S.) Comme leur nom l'indique, les grandes surfaces spécialisées sont des magasins en libre-service de plus de 400 m² se spécialisent dans un domaine bien précis : le bricolage (BRICOMARCHE, CASTORAMA, LEROY-MERLIN), l'ameublement (BUT, CONFORAMA, IKEA), l'électroménager (DARTY, BOULANGER), l'automobile (NORAUTO, MAXAUTO), le textile (C&A, LA HALLE AUX VETEMENTS) et dans notre cas dans le sport (enseigne 1). Le CA de ce type de magasin est beaucoup plus

pays comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni. Il en va de même dans d’autres secteurs tels que le hard discount ou la téléphonie mobile. Nous proposons un arsenal de mesures sectorielles permettant à la fois de stimuler la concurrence et de libérer les forces du «low cost» en France. 2 Partie 1 A LA RECHERCHE DU MODELE «LOW COST» 3 4 Chapitre 1 Les pionniers du «low cost» : le transport aérien Les compagnies «low cost» ont vu le jour aux Etats-Unis au début des années 1970, avant même