Les Fondements Du Pouvoir Politique

Sociologie du politique Chapitre 1 – Le politique, un objet de sciences ? I – La notion du politique A / Les domaines du politique ; une notion et un domaine pluriels en expansion continue Une notion et un domaine pluriels 1.Premier sens de politique : le politique d'Aristote ou la Politéia = mode d'organisation du commandement La politique => régime de la cité ; mode d'organisation du commandement (centralisé, etc ...) Raymond Aron : considère que le modèle de la démocratie est le

au peuple français, tant à l’État de droit en position de pouvoir qu’à la population. Les droits sont présentés dans la déclaration pour que les personnes au pouvoir les considèrent et ne les ignorent pas au détriment des citoyens et d’une autre part, pour que les citoyens soient en mesure de surveiller le comportement de leurs dirigeants : «Aussi convient-il d'énoncer ces droits pour que les personnes qui exercent effectivement le pouvoir ne puissent pas prétendre les ignorer, et pour que les citoyens

et se faisant, il ne connaîtra jamais l'amour qui est par définition électif, préférentiel. Aimer, par définition, pouvoir s'engager, c'est pouvoir choisir et choisir c'est renoncer voir regretter. La licence, la caprice, la liberté sans fins est par conséquent illusoire. D'où une conception plus exigeante de la liberté qui prenne en compte notre inscription dans un corps politique, la liberté doit se concevoir dans un cadre paradoxalement restrictif : au niveau individuel et moral celui du choix

à polariser les relations internationales de cette époque. Pour répondre aux critiques de l’autre camp, chacun des modèles engage des tentatives de réformes. I. Chaque modèle s’efforce de mettre en avant ses valeurs… A. Fondements et valeurs du modèle soviétique Fondements idéologiques Réaliser une société nouvelle fondée sur l’égalité entre les hommes ; liberté et fraternité entre les peuples. Réaliser un homme nouveau ; une société fondée sur le dévouement à la collectivité. La société

* Quelles peuvent être les justifications de l’exercice de l’autorité aujourd’hui en démocratie ? 1. Introduction La démocratie (du grec dêmokratia, dêmos, « peuple » ; kratein, « gouverner »), est un système politique dans lequel le peuple exerce lui-même sa souveraineté. Bien que la démocratie tire ses origines des cité-Etats de la Grèce classique, la démocratie moderne telle que nous la connaissons est née de la « révolution anglaise » (1642-1649), de la philosophie du siècle des lumières

soumis. Sa rédaction a lieu durant la période marquante qu’est la Révolution française : l’idée révolutionnaire est née d’une volonté de changements structurels profonds: il s’agissait de « rendre » le pouvoir à ceux qui étaient gouvernés. La révolution a éclaté à cause de l’incapacité du pouvoir à s’adapter à des conditions nouvelles. Après des moments marquants du début de la Révolution française, comme la prise de la Bastille le 14 juillet ou l'abolition des privilèges dans la nuit du 4 août,

essayé de bâtir une théorie pure du Droit ( prétendre une conception du Droit totalement autonome de la morale et religion et aussi de l'Histoire , politique , sociologie , …) veut distinguer l'origine des règles juridiques de ce qui explique le caractère juridique ( fondement du Droit ) . Le droit est dans la logique juridique ( Droit est son propre fondement) : ex ; permis de construire = pyramide des normes de Kelsen, chaque normes existent car fondées sur une norme supérieure. Au dessus de la constitution

l’ensemble des règles juridiques relatives aux institutions grâce auxquelles lele pouvoir s’établit, s’exerce et se transmet dans les règles. Cette approche est trop restrictive car elle ne tient pas compte des bouleversements dus à l’adoption de l’actuelle Constitution entrée en vigueur le 4 Octobre 1952. Si cette version classique est critiquée, c’est parce qu’elle met trop l’accent sur les institutions politiques. Depuis 1970 la Constitution a subit de nombreux changement, « la Constitution

Analyse comparative – Hobbes, Locke & Rousseau 28 mars, 2007                        L’État de nature a été une formule employée en philosophie politique par d’éminents philosophes des Lumières tels Thomas Hobbes, John Locke et Jean-Jacques Rousseau. Cet état est une représentation, que ce se font ces philosophes, de l’être humain précédant la société ou en des termes plus contemporains, l’État. Ces trois personnages ont tenté, chacun influencé par leur bagage sociopolitique, d’exposer l’homme

Société et politique I. L’approche génétique des sociétés politiques A. Les Origines hypothétiques de la société 1. La leçon biblique, une mise en garde conter les sociétés politiques 2. Les discours étiologiques de PLATON B. La société politique comme produit de la nature : ARISTOTE 1. Le concept politique de sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste :