Les Fables Anouilh

méthode d'apprentissage. Les ''Anciens'' étaient le modèle à suivre. Plaire et instruire étaient les maîtres mots, ainsi on a vu naître de grands auteurs s'inspirant de leurs prédécesseurs. • Jean de La Fontaine (1621-1695) s'inspira pour Les Fables (écrites de 1668 à 1694) d’Ésope (VIIème-VIème siècle avant J.-C.) et ses courts récits. • Molière (1622-1673), pour L'Avare, s’inspira de l'œuvre de l'auteur comique Plaute (254 avant J.-C. - 184 avant J.-C.) La Marmite • Jean Racine (1639-1699)

Les réécritures, du XVIe siècle jusqu’à nos jours Corpus Texte A - Ésope : « De l’arbre et du roseau ». Texte B - Jean de La Fontaine : « Le chêne et le roseau », Fables, I, 22 (1668-1694). Texte C - Raymond Queneau : « Le peuplier et le roseau », Battre la campagne (1968). Texte D - Jean Anouilh : « Le chêne et le roseau », Fables (1967). Texte A : Ésope, « De l’arbre et du roseau » Un Olivier et un Roseau disputaient ensemble sur leur force et sur leur fermeté. L’Olivier reprochait au Roseau

travers les siècles on peut trouver de nombreuses différences entre les poèmes engagés .Il existe des apologues tel que La cigale et la fourmi de jean de la fontaine écrit au 18 em siècle et La fable et la vérité(1792) de Florian. Tous deux sont des fables .le premier a pour bute de donner un enseignement, de dénoncer à l’aide de la satire mais également de divertir .C’est un récit vivant qui défend la thèse a l’aide de la fourmi qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Le second s’inspire largement de

d'animaux critiquaient dans ses fables la société. On peut aussi voir la critique a travers le théâtre, Molière en mettant en scène la bourgeoisie et la petite Noblesse, dénonce la «mauvaise» organisation de la société. D'autres auteurs ne veulent pas seulement critiquer le système, mais établissent des œuvres pour redonner espoir au peuple. Paul Eluard avec son poème «liberté» souhaite restituer du courage et de la force au peuple français sous l'occupation allemande. Jean Anouilh avec sa pièce « Antigone »

ce n’est qu’un jeu pour les dieux ; fables mythologiques pour commenter Antigone ; invocation de Dionysos qui réunit les contraires : leçon poétique ; la cité doit accepter ce qui la dépasse (loi divine). Œuvres inspirées[modifier | modifier le code] 1921 : opéra avec musique de scène de Camille Saint-Saëns, représentation au Théâtre des Arènes à Béziers 1922 : Antigone, pièce de théâtre de Jean Cocteau 1944 : Antigone, pièce de théâtre de Jean Anouilh 1948 : Antigone, pièce de théâtre de

écrivain le nomme « prince du bonheur » et accuse le silence qui entoure l’œuvre du romancier que fut Brasillach. " Le jeune homme que j'ai été et le jeune homme Brasillach sont morts le même jours ,et toutes proportion gardée, de la même chose". Jean Anouilh. "Sa mort a fait de Brasillach un poète" .Jacques Roland. "Il a trop aimé la statue idéale de la jeunesse". Roger Nimier. "Ils n'ont pas choisi une médiocre victime. En fusillant Brasillach, ils l'ont honoré comme le symbole d'une tradition et

Le mariage de Figaro. Marivaux : Le jeu de l'amour et du hasard. XIXème siècle Hugo (Victor) : Ruy Blas. Musset : On ne badine pas avec l'amour. Rostand (Edmond) : Cyrano de Bergerac. XXème siècle Anouilh : Le voyageur sans bagages .- Roméo et Jeannette. Beckett : En attendant Godot. Camus : Caligula. Giraudoux (Jean) : La guerre de Troie n'aura pas lieu. Ionesco : Le roi se meurt .- Rhinocéros. Sartre (Jean-Paul) : Huis clos

l’intention didactique ? I – La littérature a souvent, traditionnellement, une valeur didactique 1) L’écrivain endosse volontiers le rôle de moraliste, de maître à penser, voire de militant, à l’époque classique, où il s’agit d’instruire (pensons aux fables de La Fontaine. Ex. « Le Laboureur et ses enfants » ou toute autre fable) ou de corriger les mœurs (avec le théâtre de Molière. Ex. Tartuffe donnant une leçon de morale religieuse en dénonçant l’hypocrisie des faux dévots), dans le mouvement des Lumières

montrerons que si son utilité est établie, elle ne saurait constituer une condition sine qua non de la réflexion. 1 I/ l’éloignement permet, rend possible la réflexion 1. L’éloignement peut être formel, et permet de contourner la censure : les fables de la Fontaine mettent en scène des animaux sous forme versifiée, bref on est aux antipodes d’une démonstration attendue en prose et qui porte sur des sujets polémiques proprement humains (le pouvoir, par ex.) et pourtant ce cadre formel étonnant

Les réécritures, du XVIe siècle jusqu’à nos jours Corpus Texte A - Ésope : « De l’arbre et du roseau ». Texte B - Jean de La Fontaine : « Le chêne et le roseau », Fables, I, 22 (1668-1694). Texte C - Raymond Queneau : « Le peuplier et le roseau », Battre la campagne (1968). Texte D - Jean Anouilh : « Le chêne et le roseau », Fables (1967). Texte A : Ésope, « De l’arbre et du roseau » Un Olivier et un Roseau disputaient ensemble sur leur force et sur leur fermeté. L’Olivier reprochait au Roseau