Les Euménides

ou plus tard, la peine frappera. » (Le cœur des troyennes a compris que la châtiment divin est en marche : fatalité = ce qui est écrit à l’avance = « fatum », la juste rétribution des maux est un processus inéluctable) Eschyle, Les Euménides : V 50 La Pythie : «  Ces Harpies [ravissant le repas de Phinée], mais celles-ci n’ont pas d’ailes, elles sont noires, absolument repoussantes. » (La Pythie relate l’atmosphère cauchemardesque accompagnant l’apparition des Erinyes qui vont

ses enfants les Titans : ces derniers maitrisèrent Ouranos pendant que le plus jeune d'entre eux, Cronos, lui sectionna les testicules avec une serpe. Du sperme qui s'en échappa et qui coula sur Gaïa, elle engendra : • les Érinyes ou encore Euménides : (Tisiphone, Mégère et Alecto) Déesses de la vengeance ; • les Géants (Agasthène, Agrios, Alcyonée, Alpos, Aristée, Astraéos, Chthonios, Clytios, Coéos, Damysos, Égéon, Emphytos, Encelade, Éphialtès (ou Éphialte), Euboée, Euphorbe, Euryale

Les Suppliantes (entre 468-463) L'Orestie : Agamemnon, Les Choéphores, Les Euménides (458) Prométhée enchaîné (date inconnue) Il est considéré comme « le Père de la tragédie ». Les Anciens lui attribuaient l’invention du masque sur scène et l’introduction d’un second acteur

matičre de nombreuses œuvres, depuis l'Antiquité jusqu'ŕ nos jours. Le dramaturge grec Eschyle est le premier ŕ avoir traité ce sujet dans une trilogie plus dramatique et lyrique que véritablement tragique. Dans sa troisičme pičce, "Les Euménides", Oreste, auparavant condamné par la justice divine pour le meurtre impie de sa mčre, est alors acquitté par la justice humaine qui voit en lui le vengeur de son pčre, le sauveur d'un certain ordre social. Un second dramaturge grec, Sophocle,

(Paul), L'Échange : 1re version K332 # CLAUDEL (Paul), L'Échange : 2e version K333 # CLAUDEL (Paul), Le Repos du septième jour K334 # CLAUDEL (Paul), Agamemnon [trad.] K335 # CLAUDEL (Paul), Les Choéphores [trad.] K336 # CLAUDEL (Paul), Les Euménides [trad.] K337 # CLAUDEL (Paul), Partage de midi [1re version] K338 # CLAUDEL (Paul), Partage de midi [version pour la scène] K339 # CAMUS (Albert), L'Étranger K342,K477 # CAMUS (Albert), La Peste K343 # CAMUS (Albert), La Chute K344 # CAMUS

la couche odieuse que j'ai dans ce palais détesté sait comme je me lamente sur mon malheureux père.» 101) Sophocle compare Électre au rossignol (Électre, 148). La comparaison d'Euripide est moins traditionnelle et mieux venue. (102) Eschyle, Euménides (633 sqq.). « Elle l'accueille (avec des mots d'amour, le conduit au bain; puis, comme il sort de la baignoire), elle déploie sur lui un grand linon et frappe l'époux, pris dans le voile brodé comme en un piège sans issue. » Égisthe participe aussi

chez les Romains, mais ce qui est étonnant, c’est que ce dieu même ne joue pas le rôle d’un être surnaturel qui fait peur ; il ne sème pas ni la terreur ni la panique chez les personnages. Au rebours des autres divinités, citons par exemple, les Euménides – assimilées aux Furies par les Romains – dans Électre de Jean Giraudoux qui captent l’attention des spectateurs par le mystère qui les entoure dès leur entrée en scène.1 Chez Plaute, il s’agit d’un dieu agréable qui avance sur scène tranquillement

lui, a été tué par sa femme à l'aide de son amant. La deuxième pièce raconte la façon dont les enfants d'Agamemnon, Oreste et Electre tuent leur mère (Clytemnestre) pour venger leur père. Oreste devient fou et est poursuivit par des furies, les Euménides dans la troisième pièce, elle explique la façon dont il a pu être libéré de son crime, c'est là qu'apparait la notion de politique. Dans les deux premières on est dans un système de vendetta, de vengeance, un acte d'hubris entraine un acte d'hubris

le droit naturel renvoie à ce qui serait juste par nature indépendamment des lois et de façon absolue. Comment le contexte nous permet d’éclairer les différentes positions de Sophocle à Aristote ? Quelle est la question que pose Eschyle avec les Euménides en – 458 ? Dans quel contexte ? Explications de textesTexte 1 : La proposition de Criton de s’évader de prison (44C- 45d) page 206 à 209. (De « Mais divin, Socrate », à « toute sa vie que la vertu ».Socrate dort donc dans sa prison. Dès qu’il se

participé, et Sophocle adolescent danse dans les chœurs, tandis qu’Euripide vient au monde. L’inspiration des trois poètes varie évidemment d’une pièce à l’autre. Mais, un temps soumise à la volonté des dieux identifiée à celle de la cité (Les Euménides d’Eschyle), la piété cède lentement la place à la dénonciation de l’arbitraire ou de l’injustice divins (Ajax de Sophocle ou Les Troyennes d’Euripide). Sur un mode ironique et bouffon, Aristophane (445-386 av. J.-C.) met à son tour en scène les