Les Emprunts Lexicaux

joual se caractérise d'un point de vue lexical par les emprunts, les calques de l'anglais:  Checke. Là, tu vas voir quelque chose de beau. « Checke » est un anglicisme tiré du verbe anglais "to check" dans le sens de « vérifier ». « Slaque » est également un anglicisme tiré de l´adjectif « slack »( ample, lâche) qui s´applique à « une personne détendue, permissive » Wow ! Osti, slaque. Tu me scies la jambe !  « Business » est un emprunt de l´anglais. Dans le français courant

maîtres (ces derniers trouvant le théâtre immoral) on retrouve cette morale dans ses plus grandes œuvres, telles que Phèdre. Phèdre parut en 1677, d’abord intitulée Phèdre et Hippolyte puis Phèdre, représente un sujet fameux de la mythologie grecque emprunté à Euripide, mais il modifiera quelques aspects afin de respecter les règles de bienséance et de vraisemblance du théâtre classique. Cette tragédie revêt un caractère classique en général car elle représente des personnages de sang royal, respecte

l’expression « espèce » qu’il utilise montre qu’il ne croit pas trop à ce moment, de plus la transe est personnifiée, elle s’impose furtivement au poète : « qui apparait mystérieusement et repart en silence ». Cette observation est appuyée par le champ lexical de l’irréel présent : « évasion » (v2), « l’oublie » (v6), « l’état second », « transe » (v7), « mystérieusement » (v8), « magie » (v31), « Nirvana » (v33). Ces moments de transe poétique sont rares et difficiles à atteindre : « les moments rares »v15

caractéristiques du nord, déserté « dans la plaine rase », « les champs de betteraves ». Il s'approche d'un village, puis voit les cheminées et les formes de la mine. - Il y a donc passage d'un paysage agricole à un paysage industriel. On retrouve le champ lexical de la nuit (« sous la nuit sans étoile », « noyé de noir », « ténèbres ») et du froid (effets sur le personnage : « rafales de vent », « vent de mars »...). Plusieurs caractéristiques dépassent le réalisme dans ce texte, il y a donc un symbolisme

Pléiade : groupement de sept poètes (dont Ronsard et Du Bellay) qui souhaitent créer une nouvelle poésie nourrie des trésors de l’Antiquité par : * Le refus de se soumettre au vieux latin, * L’enrichissement linguistique du français par emprunt aux langues anciennes * L’embellissement stylistique avec une meilleure harmonie de la phrase et du vers : ils créent l’alexandrin qui reste le vers français par excellence car le plus proche de notre façon de faire une phrase * L’imitation

patron. Il ne semble pas réaliser la mort de sa mère de laquelle il se sent coupable. D’ailleurs, le lecteur ne connaît aucuns détails de son mode de vie. La seule chose qui semble intéresser le narrateur est le fait de pouvoir emprunter les accessoires du deuil. Le champ lexical de la mort est bien développer même si le narrateur ne montre aucun sentiment ce qui pourrait choquer le lecteur. 2-Un narrateur surprenant : Le personnage s’exprime a la 1ps ce qui nous fait partager sa confiance à travers

où nous y retrouvons le paradoxe , la double caractéristique de cette forme de texte . En effet, comme attendu , ce texte constitue un dénouement car il montre la résolution de l'action, la fin de l'épidémie de la peste. On repérera donc le champ lexical de la fête ( « réjouissances », « fusées » , « cris » , « gerbes multicolores » qui suggèrent un feu d'artifice) et le bonheur des Oranais est défini par les termes «allégresse» et «joie». L'amplification de ce sentiment suit la progression de ce

d'une minuscule clairière, une maison isolée nous apparut" (l.43-44). La phrase ligne 3 et 4, "quelques fermes autour, comme retirées fièrement" met en avant avec une comparaison le fait que les fermes se situent loin du village. De plus, le champs lexical de l'isolement, mis en évidence par "tout petit" (l.2), "retirées" (l.3) et "isolée" (l.44) prouve que c'est un endroit perdu au milieu de nul part. On montre ainsi que c'est un lieu inquiétant car il pousse les personnages à s'éloigner de toute vie

en une théorie du sens reposant sur la triade « compréhension – déverbalisation – réexpression ». Au juste, la théorie contrastive ressortit elle aussi à une théorie du sens, mais l’aspect sémantique y est plus étroitement lié aux aspects formels (lexicaux, grammaticaux, stylistiques, etc.) et tient mieux compte, selon nous, des interactions entre le sens et la forme ainsi que du polymorphisme des contraintes qui en résulte. En ce sens, les contraintes définies dans le cadre de la théorie contrastive

qu'est ce qui (sujet non humain) ; celle –ci peut en effet amener chez les élèves des réponses aberrantes dès que le sujet n'est plus un actant animé, comme dans les phrases passives, exemple : La route est empruntée par la voiture ; qu'est-ce qui est emprunté : la voiture… ; Mais : c'est la route qui est empruntée par la voiture. L'accord : le sujet régit l'accord du verbe en personne et en nombre mais aussi en genre lorsque le participe passé de la forme verbale est conjugué avec être la jeune fille