Les Effares

Edward Il repart en marchant tranquillement. Marshall : Oui monsieur Biddicci , nous avons été coupé désolé , un imbécile m'a percuté , alors avez vous étudiez ma demande de crédit. Il écoute son interlocuteur et prend un air grave. Marshall , effarré et étonné : Mais enfin monsieur Biddicci , qu'est qu'un crédit de 80K € pour une banque aussi...dubitative que la votre... Il disparait au détour d'un couloir. Edward Newgate part presstement.   Seq 10 (Int/Jour : Aprés-Midi):   Le professeur

haïssait la guerre ; voilà qu’il bat pour le combat et la bataille ! ». Robert Desnos fut arrêté et déporté pour avoir publié un tel poème. Beaucoup de poètes dénoncent les atrocités de la guerre, où les inégalités au sein d’un pays. Comme dans les Effarés de Rimbaud ou Souvenir de la nuit du 4 de Victor Hugo. Les poètes utilisent des mots qui vont toucher le lecteur et le faire réagir. La poésie peut donc être utile au poète pour faire prendre conscience aux Hommes du monde dans lequel ils vivent

des coeurs de filles, en des coeurs de mères, là-bas, en d'autres pays, des souffrances qui ne finiraient plus.     "C'est la vie", déclara M. Sauvage.     "Dites plutôt que c'est la mort", reprit en riant Morissot. 25.     Mais ils tressaillirent effarés, sentant bien qu'on venait de marcher derrière eux ; et ayant tourné les yeux, ils aperçurent, debout contre leurs épaules, quatre hommes, quatre grands hommes armés et barbus, vêtus comme des domestiques en livrée et coiffés de casquettes plates

circonstances de son procès et sa condamnation, aussi parle-t-il d’un cri d’horreur , ou il exprime son épouvante à l’idée d’être exécuté. ( Chap 1 a 9 ). Il décrit sa cellule qui ressemble a ce que l’on pourrait appeler un tombeau, aussi fut –il effaré lorsqu’il trouva les noms de ces prédécesseurs qui furent de dangereux criminels fous condamnés a morts qui avant d’être exécutés ont griffonnés sur le mur ( Chap 10 – 12). A mesure que le temps passe, sa vie touche à sa fin petit à petit, il en

négligemment sur les épaules, qui méritaient d'être lavés. Et puis je croit qu'elle avait besoin une bonne nuit de sommeil aussi. Je me laissait retomber sur le lit, tout en regardant ce femme. Pourquoi ne disait-elle rien ? Elle jetait des coups d'œil effarés dans toute la pièce. Son regard ne s'arrêtait pas une seule seconde sur un point précis. Je vis que mon homme contemplais avec de gros yeux. Je suivis son regard. Et... aucun mot n'est assez fort pour décrire l'horreur que j'avais devant moi. Un

toure et s'enfui Lynda avec lui et les deux hommes à ses trousses... Les virages étaient rudes et les allées sinueuses. Il ni avait pas le temps. La peur avait pris possetion du visage de notre ami que Lynda, agripais de toute ses forces,le regard effaré ne pouvant détacher ses yeux. Il avait les cheveux coupé au carré qui lui revenaient dans le visage. Une courone plastique ornait sa tête et un petit corssé suivit d'une cape et d'une épée l'abillés. -Mais, voulez vous bien me reposer à terre?!

cheval. Elle soupirait, penchait la tête, semblait heureuse.     Soudain elle me dit : "Merci !" m'arracha le peigne des mains et s'enfuit par la porte que j'avais remarquée entrouverte.     Resté seul, j'eus, pendant quelques secondes, ce trouble effaré des réveils après les cauchemars. Puis je repris enfin mes sens ; je courus à la fenêtre et je brisai les contrevents d'une poussée furieuse.     Un flot de jour entra. Je m'élançai sur la porte par où cet être était parti. Je la trouvai fermée

enfant, plus jeune, fille ou garçon, porté par une autre campagnarde, se jette dessus, l'étreint avec violence, et s'en va, escortée des deux mioches et des deux bonnes, vers la longue et sombre et déserte promenade du Cours-la-Reine.     Je rentrai effarer, l'esprit en détresse, comprenant et ne comprenant pas, n'osant point deviner.     Quand elle revint pour dîner, je me jetai vers elle, en hurlant :     - Quels sont ces enfants ?     - Quels enfants ?     - Ceux que vous attendiez au train

de bandit, déclassé ayant conservé le sens de l’honneur, ce qui peut être interprété comme une véritable critique de la noblesse de l'époque et de sa souveraineté sur le peuple. Au début de la scène, l'auteur présente Don César comme une personne “effaré, essoufflé, décoiffé, étourdi, avec une expression joyeuse et inquiète en même temps” et cela le désigne comme un arlequin, c’est pour ça qu’il se trouve en constant désaccord avec les autres personnages. Dans son rôle dans l’ouvre, il emploie de

quartier. Celui-ci, aidé par Gaujean, un petit tisserand lyonnais, décide de batailler contre le Paris-Bonheur de Mouret, la soie miracle. Lui aussi décide de créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés et le vend à perte. Robineau le suit, baisse le prix de sa faille. Finalement, c’est Mouret qui gagne la partie, Robineau est ruiné. Denise défend le principe des grands magasins, l'avenir selon elle. Au printemps c'est contre Bourras