Les Effares

en vie vous n'avez pas l'expérience de la mort et une fois que vous êtes morts , vous n'êtes plus là pour le voir donc pas besoin d'avoir peur. La religion n'a plus de sens. C'est radical comme vision. Ça annule la vision de Dieu=> athéisme ( qui effare les « bonnes âmes » ). Combattre la religion c'est s'attaquer au pouvoir monarchique. Don juan => joué 17fois => situations d'émeutes. Aujourd'hui le terme de libertin a perdu sa valeur philosophique. Il présente un danger diabolique au 17ème

composant de quinze poèmes tels que : « Première soirée » « Sensation » « Le forgeron » « Soleil et chair » « Ophélie » « Bal des pendus » « Le châtiment de Tartuffe » « Vénus Anadyomène » « Les reparties de Nina » « A la musique » « Les effarés » « Roman » « Morts de Quatre-vingt douze » « Le mal » « Rages de Césars » Le second cahier se composant, lui, de sept poèmes seulement : « Rêvé pour l’hiver » « Le dormeur du Val » « Au cabaret vert, cinq heures du soir » « La maline »

sommeil et le transformer en cette machine à crier ? "  (p22). Le thème suivant est la perception des choses qui est très particulière chez le personnage principal de l’histoire. Le passage " Au terme du troisième jour, les parents effarés l’examinèrent : ils avaient un peu maigri est ses lèvres entrouvertes étaient desséchée, mais il n’avait pas l’air de se porter plus mal. Ils lui administrèrent un biberon d’eau sucrée qu’il engloutit sans passion. "  (p11) montre à quel point l’enfant

fracas la porte de l’armoire . Quand aurez-vous fini de conter votre histoire ? Croyez-vous donc qu’on soit si bien dans une armoire ? Hernani recule étonné.Doña Sol pousse un cri et se réfugie dans ses bras, en fixant sur don Carlos des yeux effarés. HERNANI, la main sur la garde de son épée . Quel est cet homme? DOÑA SOL. : :Ô ciel ! Au secours ! HERNANI. : : : : : :Taisez-vous, Doña Sol ! Vous donnez l’éveil aux yeux jaloux. Quand je suis près de vous, veuillez, quoi qu’il advienne

à tête de penseur, qui habite le moulin depuis plus de vingt ans. Je l'ai trouvé dans la chambre du haut, immobile et droit sur l'arbre de couche, au milieu des plâtras, des tuiles tombées. Il m'a regardé un moment avec son œil rond ; puis, tout effaré de ne pas me reconnaître, il s'est mis à faire: « Hou ! hou ! » et à secouer péniblement ses ailes grises de poussière – ces diables de penseurs ! ça ne se brosse jamais... N'importe ! tel qu'il est, avec ses yeux clignotants et sa mine renfrognée

et à “garder l’église au milieu du village”. 54. “Le monde est ingrat”, de cela, j’ai déjà souvent dû en faire l’expérience. 55. Au lieu de perdre du temps en expliquant quelque chose à quelqu’un, je préfère le faire moi-même. *56. Je suis souvent effaré de voir à quel point les gens sont stupides. - 33 - Psychologie de la vente L’analyse transactionnelle ++++- *57. Les journalistes devraient avoir moins de liberté dans l’expression de leurs opinions. 58. Beaucoup de gens font fausse

boutiques du quartier. Celui-ci, aidé par Gaujean, un petit tisserand, décide de batailler contre le Paris-Bonheur de Mouret, la soie miracle. Lui aussi décide de créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés et le vend à perte. Puis Robineau baisse le prix de sa faille. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie.Mais Robineau est ruiné. Denise, un an après son renvoi, promène comme d'habitude Pépé aux jardins des Tuileries. C'est

de la loi, Mouds tour à tour Ton coeur, ta foi Et ton amour ! Ils vont ! et leurs pauvres souliers Font un bruit sec, Humiliés, La pipe au bec. Pas un mot ou bien le cachot, Pas de soupir. Il fait si chaud Qu’on croit mourir. J’en suis de ce cirque effaré, Soumis d’ailleurs Et préparé A tous les malheurs.Et pourquoi si j’ai contristé Ton voeu têtu, Société, Me choierais-tu ? Allons, frères, bons vieux voleurs, Doux vagabonds, Filous en fleurs, Mes chers, mes bons, Fumons philosophiquement, Promenons-nous Paisiblement : Rien

Vous ne vous attendiez pas à la trouver là. Elle non plus, visiblement: elle interrompt net la chanson d'amour qu'elle était en train de vociférer, elle en échappe quasiment son plumeau par terre, elle vous regarde entrer avec un rond de bouche si effaré que vous rebrousseriez chemin si vous n'étiez pas chez vous. Vous avez quitté le travail très tôt cet après-midi; il faisait un soleil émouvant et lyrique, vous avez baguenaudé ça et là en achetant des choses et vous voilà, d'ailleurs, vous n'avez

nouvel époux. C'était lui, et non Tybalt, que pleurait Juliette. (À Capulet.) Vous, pour chasser la douleur qui assiégeait votre fille, vous l'aviez fiancée, et vous vouliez la marier de force au comte Pâris. Sur ce, elle est venue à moi, et, d'un air effaré, m'a dit de trouver un moyen pour la soustraire à ce second mariage ; sinon, elle voulait se tuer là, dans ma cellule. Alors, sur la foi de mon art, je lui ai remis un narcotique qui a agi, comme je m'y attendais, en lui donnant l'apparence de la