Les Effares

comme ma maîtresse... Mais on l'a vue ... on a deviné ... on me l'a prise ... Et on m'a jeté dans une prison, comme un malfaiteur. On l'a prise ... oh ! Misère !... Le manuscrit s'arrêtait là. Et soudain, comme je relevais sur le médecin des yeux effarés, un cri épouvantable, un hurlement de fureur impuissante et de désir exaspéré s'éleva dans l'asile. "Ecoutez-le, dit le docteur. Il faut doucher cinq fois par jour ce fou obscène. Il n'y a pas que le sergent Bertrand qui ait aimé les mortes." Je balbutiai

à ce "vieux dictionnaire" comme il le nomme. De plus, même si dans Les Contemplations, Victor Hugo prend plaisir à réprimander et à se moquer de l'Académie Française: "Et sur l'Académie, aïeule et douairière/ Cachant sous ses jupons les tropes effarés", il respecte tout de même les normes imposées par celle-ci, que ce soit au niveau des rimes et de la versification. En effet, il écrit son poème en alexandrins avec des rimes simples et suffisantes. Enfin, les poètes peuvent puiser leurs idées dans

les deux frères ne semblent considérer, « l'air pauvre » ligne 14. Cette jeune femme ayant vécu et travaillé à Valognes, chez Cornaille, arrive à Paris après un long voyage en train, «brisés du voyage » ligne 5,  et découvre l'immensité de Paris, « effarés et perdus » ligne 6, notamment l'ampleur du commerce en voyant pour la première fois le Bonheur des Dames, « la jeune fille s'arrêta net de surprise » ligne 10, « cette maison énorme pour elle, lui gonflait le cœur, la retenait, émue, intéressée,

la capture de Sadam Hussein, en effet, tout le monde se rappelle de l’ex-dictateur soumis aux contrôles médicaux prévus par la convention de Genève sur les prisonniers, l’insistance avec laquelle le médecin l’examinait, le regard du Raïs, presque effaré, sa barbe longue et autres détails encore, néanmoins, dans l’autre rive de la méditerranée, le monde arabe aurait préféré que le problème Irakien soit résolu de l’intérieur, plusieurs journaux du monde arabe ont écrit « nous n’aurions jamais voulu

on peut observer un air surpris, effaré comme si la mère ne savait pas ce qui venait de lui arriver, non pas que cet enfant ne soit pas désiré, mais peut-être plus dû à un accouchement mené par une forte présence d’équipe médicale. Quelque chose de "subit", puis l'enfant parait, entre fatigue, intrigue et désarroi, on ne sait plus si on a encore le droit de faire quelque chose, ne serait ce que de saisir son enfant, le prendre dans ses bras, contre soi. L'air effaré sur cette oeuvre, la surprise, peut

leurs ailes impuissantes,Et, dressés sur leurs pieds, sentent confusément,A cet appel errant se lever grandissantesLa liberté première au fond du coeur dormant,La fièvre de l’espace et des tièdes rivages.Dans les champs pleins de neige ils courent effarés,Et jetant par le ciel des cris désespérésIls répondent longtemps à leurs frères sauvages. Guy de Maupassant, Des vers L’écolier J’écrirai le jeudi j’écrirai le dimanchequand je n’irai pas à l’écolej’écrirai des nouvelles j’écrirai des romanset

mariée à un français est rejetée par sa belle famille blanche. Pour Man Ya et sa famille, la situation est la même. Seuls noirs a dans cette région parisienne, ils sont également victimes de racisme. «  Le village nous dévisage. Des yeux en quantité effarés... ». Le racisme est également présent à l'école. Gisèle en fait les frais. « Sale négresse! Retourne dans ton village. » Gisèle P porte un regard négatif sur la société française qui se confine dans des stéréotypes: « Blanche-Neige, Bamboula,

impuissantes,
 Et, dressés sur leurs pieds, sentent confusément,
 A cet appel errant se lever grandissantes
 La liberté première au fond du coeur dormant,
 La fièvre de l’espace et des tièdes rivages.
 Dans les champs pleins de neige ils courent effarés,
 Et jetant par le ciel des cris désespérés
 Ils répondent longtemps à leurs frères sauvages. Guy de Maupassant (1850-1893) Voyage du silence Voyage du silence
 De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux
 Où des filles d’osier


comme ma maîtresse... Mais on l'a vue ... on a deviné ... on me l'a prise ... Et on m'a jeté dans une prison, comme un malfaiteur. On l'a prise ... oh ! misère !... Le manuscrit s'arrêtait là. Et soudain, comme je relevais sur le médecin des yeux effarés, un cri épouvantable, un hurlement de fureur impuissante et de désir exaspéré s'éleva dans l'asile. "Ecoutez-le, dit le docteur. Il faut doucher cinq fois par jour ce fou obscène. Il n'y a pas que le sergent Bertrand qui ait aimé les mortes."

société. En effet, bien qu’elle fut concernée par certaines situations, elle n’a pas son mot à dire et ne peut se défendre : Par exemple une conversation qui m’a frappée, c’est la conversation entre le médecin et le père de Jeanne :le père de Jeanne est effaré par l’attitude de Julien trompant sa femme avec sa servante, et le médecin lui dit que lui aussi (en parlant du père de Jeanne) à sûrement trompé sa femme même au début de son mariage. Là, le baron trouve que le médecin a beaucoup d’audace de lui