Les Effares

service!”, mais il n’est pas sûr car il ne croit pas aux fantômes “Je ne crois pas aux fantômes [...]” et qu’il était seul lorsqu’il est entré dans l’appartement. Lorsque cette femme “part”, le personnage se sent éffaré “Resté seul, j’eus, pendant quelques secondes, ce trouble effaré des reveils après les cauchemards.” De plus, quelque temps après, le personnage se sent anxieux, comme s’il avait été victime d’une hallucination “Alors, pendant une heure, je me demandai anxieusement si je n’avais

plus originales ; « Les Effarés », table au pathétique de la misère des enfants ou bien « Le châtiment de Tartufe » ; portrait a double sens d’une citation de Molière. Certains autres poèmes sont des satires de Napoléon, « Rages de Césars » ou « L’Eclatante Victoire de Sarrebrück ».L’ivresse des sens : il oppose l’ivresse de la sensualité dans les poèmes « Soleil et chair » et « Première soirée ». Le recueil invite à ressentir l’intensité du réel. De plus dans « Les Effarés », « « Vénus Andromaque »

quatre poèmes : « A l’obéissance passive » extrait du recueil Les Châtiments datant de 1853 de Victor Hugo, « Question sociale » également de Victor Hugo mais cette fois ci faisant parti de son recueil La Légende des siècles publié en 1859-1877, « Les effarés » d’Arthur Rimbaud issu de son recueil Poésies écrit en 1870 et d’un poème d’Aimé Césaire faisant parti de son recueil Cahier d’un retour au pays natal rédigé en 1939. Nous étudierons dans ces 4 poèmes les registres pathétique et épique qui s’y trouvent

poème « Soleil et Chair » est clairement adressé à ce dernier puisqu’il courtise les instances de la poésie parnassienne, en flatte les valeurs de beauté, d’éternité et d’idéalité. De même, il cherche à imiter Victor Hugo dans son poème « Les Effarés » où il reprend la représentation de l’enfant pauvre, l’enfant des rues, le « Gavroche » des Misérables, et dans lequel il exprime une sensibilité sociale rendue à la mode par Victor Hugo. « Le forgeron » est également largement inspiré des « Châtiments

enthousiaste et doté d’une touche comique et dont le héros est à la fois pitoyable et magnifique. 1. Un monologue animé, enthousiaste et comique Dés son arrivée, Don César donne l’impression d’avoir une grande assurance, il tombe de la cheminée effaré, essoufflé et mal coiffé et s’excuse de façon désinvolte « Ne faites pas attention, je passe ». Il utilise un langage familier « cette grosse ville », « femme jaune », ce qui donne un ton enjoué au personnage. L’utilisation de l’interjection « ouf 

sortie du film, un collectif de rappeurs diffuse sur Internet une chanson intitulée Marche, dans laquelle le rappeur Nekfeu interprète les paroles suivantes : « Je réclame un autodafé pour ces chiens de Charlie Hebdo »14. Le magazine satirique se dit « effaré » par la violence de ces paroles14,15. Le producteur Hugo Sélignac, quant à lui, indique ne jamais avoir prévu que ce morceau soit intégré à la BO du film mais qu'il a en effet donné son accord « pour que la typographie de la pochette et de l'affiche

sur le corpus « Enfances poétiques » 1) Dans ce corpus figurent cinq textes : « L’enfant » de Victor Hugo, extrait de l’œuvre Les Orientales de 1829 ; « Le joujou du pauvre » de Baudelaire, extrait de l’œuvre Le Spleen de Paris de 1869 ; « Les Effarés » et « Les poètes de sept ans » de Rimbaud, extraits de l’œuvre Poésies, recueil publié entre 1883 et 1891 ; et enfin le poème « Chasse à l’enfant » de Prévert, extrait de l’œuvre Paroles de 1946. Un enfant figure dans chaque poème et tous les poètes

de ses forces inertes, féminin 18. Faisant mouvoir sa queue et frissonner ses flancs, masculin 19. Il rêve qu'au milieu des plantations vertes, féminin 20. Il enfonce d'un bond ses ongles ruisselants masculin 21. Dans la chair des taureaux effarés et beuglants. masculin Rouge & bleu = L’alternance des rimes L’auteur de ce poème est : Leconte de Lisle, Charles Marie. Il est né le 22 octobre 1818 à la Réunion. Son père était un chirurgien qui, par la suite c’est converti en planteur de canne

I/ QUESTION Les cinq textes du corpus, Les Caracteres de Jean de La Bruyere, Lettre à Louis XIV de Fénélon, Discours à l’Assemblée de V.Hugo, Les Effarés de Arthur Rimbaud et enfin l’Assomoir de Emile Zola ont pour point commun de vouloir dénoncer la misère du peuple, pour cela ils ont recourt à l’utilisation de procédés argumentatifs. Tout d’abord, les auteurs cherchent à nous persuader de l’existence de cette misère par l’énumération par exemple la Bruyère met en avant les dures conditions de

« Poésies » : Le premier cahier contient 15 poèmes (1870) (Première soirée, Trois baisers, Sensation, Le Forgeron, Soleil et chair, Ophélie, Bal des pendus, Le Châtiment de Tartuffe, Vénus anadyomène, , Les reparties de Nina, A la musique, Les Effarés, Roman, Morts de Quatre-vingt-douze, Le mal Rages de Césars) Le deuxième cahier contient 7 poèmes (1871)  (Rêvé pour l'hiver, Le Dormeur du Val, Au Cabaret-Vert, cinq heures du soir, La Maline, L'Éclatante Victoire de Sarrebruck, Le Buffet, Ma Bohème)