Les Effares

adjectifs, verbes, adverbes : il ne faut pas confondre avec des synonymes. 2. Exemples Champ lexical de la peur : angoisse, craindre, effrayer, épouvantable, inquiétant, appréhension, anxiété, effroi, frayeur, horreur, terrifier, panique, timoré, poltron, effaré, redouter, peureusement, pusillanime… Champ lexical de la musique : instrument, son, rythme, mélodieux, jouer, harmonieusement, portée, concert, pianoter… II/ EXERCICES 1. A quels champs lexicaux appartiennent les trois séries de mots suivantes ?

1)Dans ce corpus, chacun de ces textes ont un genre et un registre différent. Dans “Les effarés” de A. Rimbaud, il s'agit d'un poème. On remarque ceci grâce à la présentation du texte avec les vers, à la musicalité en raison des rîmes: « brume/s'allume » (fin des vers 1 et 2), « misère/faire » (vers 4 et 5), « vivre/givre » (vers 25 et 26), il y a aussi la présence de majuscules au début de chaque ligne du poème. Ce poème appartient au registre pathétique, on y retrouve des mots comme: « misère »

Il arrive pas la cheminée : «  Il porte vivement la main à sa jambe avec un coup d'oeil vers la cheminée … « Ma jambe a souffert diablement dans ma chute ! » /// Suivie d'une scène tragique par une entrée comique La façon dont il apparait : «  Effaré, essoufflé, décoiffé, étourdie mais pourtant avec une expression joyeuse » Demande de continuer, et faire comme si de rien n'étais Croit qu'il y a du monde dans la pièce, mais réalise qu'il est seul «  Personne » Fait comme chez lui, comique de

Y.Reza décide-t-elle de commencer sa pièce ? INTRO : Reza → dramaturge contemporaine, 2 molières pr Art Art → pièce singulière car organisée en séquences → autour d’une d’art acheté par Serge à un prix considérable 200 000 frcs, effaré son ami Marc lui fait part de ses impressions Situation → scène d’exposition ; les 2 pers s’opposent déjà sur l’œuvre Problématique → Reformuler, Plan → énoncer Sens littéral du texte Sens littéral du texte AXE 1 : UNE SCENE D’EXPOSITION PEU

  Marie Catherine Vitalie CUIF 1825-1907 | | | Jean Nicolas Arthur RIMBAUD 1854-1891 Principaux thèmes : -La jeunesse et l'enfance (« Les Effarés » ; « Les Poètes de sept ans ») -La révolte (« Les Premières Communions ») -La réalité sordide (« Vénus Anadyomène ») -Le libre voyage (« Le Bateau ivre ») -L’amour (« Première Soirée »)

s'avère négligent et la chienne s'échappe. Au retour de la chienne chez les Ferral monsieur Laborie, le régisseur du comte de Nansac débarque il tire sur la chienne qui gît dans un bain de sang. Il tire une autre balle qui effleure le crâne de Marie, effaré, Martin prend son fusil de chasse et tue monsieur Laborie. Cette nouvelle se répend et la tête de Martin est mise à prix. Il s'isole dans la forêt pendant presque un mois. Mais malheuresement il finitpar être dénoncé et arrêté.

Corneille s'encanaille ! Le bonhomme Corneille, humble, se tenait coi. Alors, brigand, je vins ; je m'écriai : Pourquoi Ceux-ci toujours devant, ceux-là toujours derrière ? Et sur l'Académie, aïeule et douairière, Cachant sous ses jupons les tropes effarés, Et sur les bataillons d'alexandrins carrés, Je fis souffler un vent révolutionnaire. Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire. Plus de mot sénateur ! plus de mot roturier ! Je fis une tempête au fond de l'encrier, Et je mêlai, parmi les

En fait, Duroy la surprend en flagrant délit d’adultère dans le but de justifier son divorce. Néanmoins, le divorce était un acte très inhabituel à l’époque et cela est mis en valeur avec la réaction de monsieur Walter qui est dite avec « des yeux effarés » : « Vous voulez vous divorcer ? ». De plus, il faut mentionner que comme ce phénomène n’est pas fréquent, après le divorce, Madeleine n’était plus la femme impeccable. Cependant, elle continua d’écrire pour les journaux, sous le pseudonyme d’un

en 1776 nuit d’hiver à Königsberg au fond de la vielle-Prusse.· Sa mère était mélancolique et maladive et son père strict, ils sont morts et donc Hoffmann a été confié à son oncle.· Zacharias Wenders : grand jeune homme pâle maigre et blanc un peu effaré il avait 3 ou 4 ans de plus que Hoffmann c'était un véritable frère pour Hoffmann né dans la même maison que lui il était le futur auteur de Martin Luther de latilla du 24 février de la croix de Baltic il avait grandi sous la double protection de

ricanaient, l'injuriaient: on l'avait pris enfin! Bon débarras.     Il s'éloigna entre ses deux gardiens. Il trouva l'énergie désespérée qu'il lui fallait pour se traîner encore jusqu'au soir, abruti, ne sachant seulement plus ce qui lui arrivait, trop effaré pour rien comprendre.     Les gens qu'on rencontrait s'arrêtaient pour le voir passer, et les paysans murmuraient:     - C'est quéque voleux!     On parvint, vers la nuit, au chef-lieu du canton. Il n'était jamais venu jusque-là. Il ne se figurait