Les Effares

se marier avec une jeune veuve qui, en épousant le jeune marquis, convoite en fait les grands biens de M. et de Mme de la Jeannotière. Un matin, alors que Jeannot est aux genoux de sa charmante promise, un valet de chambre de sa mère arrive tout effaré, révèle que des huissiers déménagent la maison de monsieur et de madame, que tout est saisi par des créanciers et que l'on parle de prise de corps. Jeannot court chez lui, apprend que son père est déjà emprisonné et que tous les domestiques ont fui

conditions déplorables des enfants dans le monde de l’usine. Il insiste sur le fait que ce sont les enfants et non les adultes qui donnent la joie de vivre au monde. . La poésie doit éduquer, éveiller les consciences. Rimbaud, dans son poème « Les Effarés » dénonce la misère et l’indifférence des gens à la pauvreté, en émouvant le lecteur avec le ton mélancolique et pathétique du poème. Certains poètes utilisent la poésie pour critiquer un système politique. Le poète devient comme un guide

fait dans un premier temps une description subjectif du monde extérieur « tout mis paru », « semblai » ou le monde lui apparait envahi par une « ombre » ainsi que par la « guerre civil ». De plus les passants lui apparaissent comme des «  spectres effarés », ce qui signifie que la mort a envahie les passants, ainsi il transforme le monde en un monde fantastique. L’auteur veut donc créer chez le lecteur un sentiment de peur envers la guerre et autre. Cependant pour qualifier la nature l’auteur parle

veut nous rapprocher par sa poésie, car celle-ci est une arme. Par exemple « Les châtiments » de Victor Hugo, ou celui ci écrit un recueil entièrement consacré à attaquer Napoléon III, il condamne celui qui a pris le pouvoir et l’exil. Quand aux « Effarés » , Rimbaud nous décrit la triste réalité des enfants de la rue. En poésie le mot ne recouvre pas une réalité, mais toutes ses réalités, tous ses sens. Un mot est à comprendre dans toutes ses acceptions. Le poète rend donc aux mots leurs sens à l’origine

| | |Une collection de vieilles à fanons: | | |Ces effarés y sont et ces épileptiques, | | |Dont on se détournait hier aux carrefours, |

Malinement, tout près, tout près. LE CAHIER DE DOUAI 1- Première soirée 2-Sensation 3-Le forgeron 4-Soleil et chair 5-Ophélie 6-Bal des pendus 7-Le Châtiment de Tartuffe 8-Vénus anadyomène 9-Les réparties de Nina 10-A la musique 11-Les effarés 12-Roman 13-Le mal 14-Rages de Césars 15-Rêvé pour l'hiver 16-Le dormeur du Val 17-Au cabaret-vert 18-La Maline 19-L'éclatante victoire de Sarrebrück 20-Le buffet 21-Ma Bohème (Fantaisie) Ce poème, donné à Izambard et qui figure aussi dans

l'argumentation d'un texte littéraire nous allons nous servir d’un corpus composé des textes suivant: -Jean de La bruyère, « De l’homme »,XI, n°128, Les Caractères. -Fénelon, Lettre à Louis XIV. -Victor Hugo, Discours à l’Assemblée. -Arthur Rimbaud, Les Effarés. -Emile Zola, L’assommoir. - Jean de La Fontaine, Le Philosophe scythe. Ce corpus nous permettra d'illustrer par des exemples précis les moyens mit en œuvre par les auteurs pour construire leur texte et arriver à leur fin. Mais avant tout ne

Submergée par le chagrin, Junie se réfugie chez les vestales. Narcisse tente de la retenir et se fait lyncher par les Romains. Agrippine lance des imprécations contre son assassin de fils. Néron récuse le crime. Agrippine ne sent plus en sécurité et est effaré lorsqu’elle comprend la vraie nature de son fils. Néron se rend compte que ses sentiments pour Junie surpassent le simple désir. Dépassé par l’ampleur de ses crimes et couvert de honte, il veut mettre fin à ses jours. Burrhus soupire :

« Sensation » | | Bonheur Nature | 2 quatrain en rimes croisés | | | « Bal des pendu » | Ballade médieval | Liberté | Prose | Structure en boucle Joie sarcastique | Moquerie de Banville | « Les effarés » | Les Misérables de Victor Hugo | Misère | 12 strophes octosyllabes | | | « Roman » | | Amour Séduction | 8 quatrains | Ironie | | « Rage des César » | | Liberté | 2 quatrain

s'encanaille ! Le bonhomme Corneille, humble, se tenait coi. Alors, brigand, je vins; je m'écriai : Pourquoi Ceux-ci toujours devant, ceux-là toujours derrière ? Et sur l'Académie, aïeule et douairière5, Cachant sous ses jupons les tropes8 effarés, Et sur les bataillons d'alexandrins carrés, Je fis souffler un vent révolutionnaire. Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire. Plus de mot sénateur ! plus de mot roturier ! Je fis une tempête au fond de l'encrier, Et je mêlai, parmi