Les Effares

Bête. a. Le glissement du réalisme au fantastique mythologique. - Un texte exemplaire de l’écriture de Zola, dont le parti-pris naturaliste est souvent emporté par une dimension visionnaire empreinte de références mythologiques. - Ici, le regard effaré de Muffat, influencé par ses croyances religieuses, transforme Nana en une créature bestiale : « son chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un poil de lionne », « Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture

corps, telles une majestueuse parure, sont là pour nous ouvrir la porte du Dedans... Je ne les vois que comme cela... Je ne veux les voir que comme cela... En Voyant la Beauté de ton corps, Tout se révèle enfin… Je contemple… Mes yeux sont effarés… Effarés par cette énergie qui t’habille Et qui te fait ressembler à tous les mystères de la Création… Dieu, que tu es belle ! Mais les mots de nos langues terrestres Sont si fiables, si impuissants… Ils ne peuvent décrire l’Incroyable Femme-Rêve

dans la réalité. Les œuvres des poètes précédents sont donc une source d’inspiration. Certains imiteront de grands poètes alors que d’autres provoqueront en défiant ces derniers. On peut citer Rimbaud comme exemple, qui, à 16 ans, écrivit « Les Effarés » en s’inspirant sans doute d’Hugo. C’est par admiration ou lors d’hommages, que les poètes précédents sont une source d’inspiration. Et dans ce cas, la création d’une œuvre poétique se réalise. Le pastiche désigne l’imitation des procédés caractéristiques

ainsi il note à nouveau sa réponse qui est positive. - Parmi Les joncs penchants (vers 2) et Les grands roseaux verts (vers 14) : la nature n’est plus parmi eux mais en eux + allusion érotique à cette passion qui augmente chez le poète. - Heureuse, effaré et sauvage : ces expressions traduisent le charme sauvage de la femme. Présence de la nature. - Le dernier vers peut symboliser cette idées où ses cheveux deviennent comme des arbres et le rire est le bonheur éprouvé entre eux , et il y a une double

et Favier premier vendeur à la soie. Robineau, aidé par Gaujean, décide de batailler contre le Paris-Bonheur de Mouret, la soie miracle. Lui aussi décide de créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés. Puis Robineau baisse. Et ainsi de suite. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie mais Robineau a perdu beaucoup d'argent.

quelques descriptions géographiques1. Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française. TRAVAIL SUR 10 POEMES DE RIMBAUD TITRE | Sensations | Les effarés | Roman | Le mal | Ophélie | A la musique | Le dormeur du val | Au cabaret vert | Le buffet | Ma bohéme | FORME POETIQUE | Quatrins , alexandrins | Tercet, octosylabe | Quatrin, alexandrin | Sonnet

figure où tout était confiance, cette tête de vieillard et ce sommeil d'enfant.  5 Il y avait presque de la divinité dans cet homme ainsi auguste à son insu. Jean Valjean , lui , était dans l'ombre, son chandelier de fer à la main, debout, immobile, effaré de ce vieillard lumineux. Jamais il n'avait rien vu de pareil. Cette confiance l'épouvantait. Le monde moral n'a pas de plus grand spectacle que celui la : une conscience troublée et inquiète, parvenue  au bord d'une mauvaise action, et contemplant

certains leur cassaient le bec en prenant ces pauvres oiseaux impuissant et en les plaquant sur le grand mât, d’autre leur donner des coup de couteaux pour les tuer et pour ensuite les jeter dans la mer… Et moi dans tout ça ? je restait immobile, effaré et ahuri par ce qui se passait, c’était un cauchemar. Le pire dans tous ça était que les hommes d’équipages riaient de ce qu’ils faisaient, celui qui avaient l’idée la plus originale pour blesser, assommer ou tuer l’oiseau était le vainqueur de cette

chronologique, on a l’impression de suivre le condamné, Authenticité du documentaire. « Le soir triste, la coupole bleue, la nuit » Personnification du soir. Locuteur projette ses sentiments sur le soir, tristesse.« Les passants semblaient des spectres effarés » image saisissante. c/Un plaidoyer pour les condamnés pour l’humanité au nom de la nature et de Dieu. Noms des condamnés « Crasse assassiné, tous ces infortunés » et « Cirasse, cuisinier, tous ces infortunés » mis en valeur au début de vers,

bas-cotés l'attention est moins vives, ce sont ceux qui se cachent, les vieilles personnes assez indifférenciées par l'utilisation du qualificatif de "collection" et qui discutent entre elles, gémissent. On retrouve dans l'église nos cinq petits effarés qui attendaient dans le froid devant le soupirail la sortie du premier pain vers minuit (le medianoche) et tous les laisser pour compte de la société que d'ordinaire on rejette lorsqu'ils mendient aux carrefours mais que l'on accepte ici par charité