Les Ecoles De Pensées En Comportement Organisationnel

Taylor est un ingénieur qui a essayer de répondre à son époque et aux attentes de la demande de son temps. 1.1.1.2/ Henri Fayol (1841-1925) 1er qui s’occupe de l’administration des entreprise et des problèmes de commandement. Il complète la pensé de Taylor en analysant la fonction de direction qui pour lui n’est pas la fonction de direction qui pour lui n’est pas la technique mais administrative et considère que dans toutes entreprise il y a 6 opérations : 1- Techniques 2- Commerciales

certain type d’objectif. Elle suppose un but formel, une division des tâches et une attribution des rôles, un système de communication, un mécanisme de prise de décisions, un ensemble de règles d’évaluation de l’activité. Plusieurs grands courants de pensée se dessinent, chacun privilégiant une approche particulière de l’organisation. De l’école classique à l’école de la gestion par les systèmes, chaque mouvement se développe en réaction à celui qui le précède en l’intégrant plus ou moins partiellement

transmission d’informations au sujet de leurs enfants. Enfin, je coordonne aussi tout le dossier de recommandations de classement, je fixe les rencontres avec les intervenants et les conseillères en adaptation scolaire. Je respecte les échéanciers des écoles spécialisées pour présenter les cas d’élèves afin qu’ils puissent bénéficier des services recommandées. À chaque fois que je convoque le personnel pour une rencontre, je rédige un ordre du jour en allouant du temps pour chaque point. Je m’assure

d'observer que jusqu'à une date récente, l'entreprise n'a occupé qu'une place marginale dans la théorie économique. Les développements théoriques récents, au contraire, reconnaissent progressivement la firme comme un acteur véritable doté d'un comportement propre et exerçant une influence sur son environnement. -------------------------------------------SOMMAIRE Introduction CHAPITRE I. La firme appréhendée par la théorie néoclassique A. L'entreprise : "une boîte noire" B. Les limites de l'analyse

interculturelle chez les managers. Et enfin, nous allons essayer d’étaler les différences les plus marquantes entre le peuple français et brésilien, à partir de l’étude réalisée par Geert HOFSTEDE, dans les années 1960, sur les attitudes et les comportements des employés dans une entreprise multinationale implantée dans le monde entier. Certaines situations dans cette étude seront illustrées par des extraits de notre questionnaire « Approche comparative entre le management français et brésilien »,

lycée fait ressortir une espèce d’ambiance, pourquoi je ne sais pas mais elle est réelle. J’étais persuadé que mes agissements avaient une influence (à petite échelle) sur le climat qui régnait dans l‘établissement. Cela m’a amené à élargir cette pensé au niveau de l’équipe pédagogique dont je ne connaissais pas la définition. Ce qui m’a conduit à l’effet d’établissement c’est un préjugé que je m’étais fait à cause de racontar que l’on m’avait relaté sur l’établissement actuel dans lequel je travaille

* Les formations interculturelles…………………………………………………………………..…………………….48 Section 2 : Le recrutement………………………………………………………………………………………..……………………49 a- Les outils pouvant aider les entreprises…………………………………………………….………………………50 b- L’apport des écoles en matière de compétence interculturelle…………………….………………….51 Section 3 : Pratiques de l’entreprise………………………………………………………………………………….…………..52 a- Normes de gestion : Standardisation des procédures…………………………………………….………..52 b- Normes des valeurs………………………………………………………………………………………………

La vision étroite de la situation Confrontés à une situation complexe, les dirigeants se construisent une paire de lunettes qui biaise et déforme leur représentation. Ces lunettes sont constituées essentiellement par les enjeux, le rôle organisationnel et la fonction, mais aussi par le milieu social, la formation, l’expérience professionnelle, etc., de chaque manager. Tel dirigeant raisonnera en termes de « contrôleur de gestion », tel autre analysera la situation en tant que « représentant

notions complémentaires. Dans les entreprises industrielles contemporaines, le thème des systèmes de management intégré démontre la volonté de synthèse entre des instruments spécialisés venant de ttes origines. Auj, on a la gestion qui fondait son comportement des expériences passées, il faut que l’entreprise soit la plus performante possible. => un système de Gestion transversale, dc possibilité de s’intéresser à tout : gestion de tout, objectif de dév durable, possibilité de lier différente chose ensemble

également remercier ma tutrice école, Hélène Michel, qui m’a aidé à construire ce mémoire. Aussi, de nombreuses personnes m’ont accordé de leur temps pour me faire part de leurs réflexions. Je pense tout particulièrement à Didier Bisson, Marie-Claire Sublet-Maire et Grégory Ode. Enfin, j’adresse une pensée particulière à Belcem, ma collègue de bureau et à Guy et Graziella pour leur soutien quotidien. Sommaire I – LA RELATION ECOLE-ENTREPRISE A) Historique B) Contexte C)