Les Doctrines Religieuses Freud

1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles

contenir l’illimité du désir : parce que le besoin ne réclame que ce qui est nécessaire au corps, il fixe une limite interne à la satisfaction et une mesure contre le risque de l’intempérance (de l’excès, du débordement). ! Tel est ce qu’expose la doctrine épicurienne : si l’on veut être heureux, que doit-on faire à l’égard des opinions, des craintes, des désirs, des plaisirs, des douleurs ? Il s’agit d’atteindre 4 L’excès en tout nuit, y compris l’excès de non-excès, de mesure, de tempérance : celui

comprenant les autres nous allons parvenir dans la lucidité plutôt que dans une fois aveugle, à surmonter nos peurs. « En d’autres termes, si les religions se définissent elles-mêmes comme des « doctrines du salut » par un Autre, grâce à Dieu, on pourrait définir les grandes philosophies comme des doctrines du salut par soi-même, sans l’aide de Dieu. » (critique personnelle : voilà le vieux schéma qui revient : opposition de la lucidité de l’intelligence à l’aveuglement de la foi. La foi n’est pas

de la vanité personnelle, -par là il a attiré à lui tout ce qui est manqué, bassement révolté, tous ceux qui n'ont pas eu leur part, le rebut et l'écume de l'humanité. ») qui cherchent à empêcher les forts de vivre leur liberté (« Le poison de la doctrine des "droits égaux pour tous", ce poison, le christianisme l'a semé par principe; le christianisme a détruit notre bonheur sur la terre... Accorder l'immortalité à Pierre et à Paul fut jusqu'à présent l'attentat le plus énorme, le plus méchant contre

L'histoire de la vie de Freud et celle, concomitante, de la création de la psychanalyse[Freud 1], a fait l'objet de centaines d'articles et de quelques dizaines de biographies, dont la plus connue est la monumentale biographie consacrée par Ernest Jones, proche contemporain de Freud, qui est devenue une référence incontournable bien que critiquée pour ses aspects hagiographiques[3]. Le premier biographe fut cependant Fritz Wittels, qui publie en 1924 Freud. L'homme, la doctrine, l'école. L'écrivain

individu substitue involontairement une action imprévue à une action délibérée ; | | |* à travers des actes tels que l’oubli ou le lapsus, un individu révèle, selon Freud, la réalité d’un désir | | |inconscient. Freud interprète les actes manqués comme un compromis entre une tendance manifeste et une tendance | | |latente.

deux, le péché est plus grand que l'utilité”. (Le Coran (trad. Muhammad Hamidullah), « La vache (Al-Baqarah) » II) Bien que le Coran reconnaisse une certaine utilité, celle-ci est bien moindre par rapport au péché commis. Le protestantisme, par la doctrine de la prédestination, a encouragé la tendance à acquérir. En effet, le succès professionnel, qui est le signe de l’élection au paradis, se traduit par un accroissement de richesse. Cependant, cet accroissement de richesse semble contraire à la rigueur

Stéphane Haber Subjectivation surmoïque et psychologie du néolibéralisme L’élaboration de la notion freudienne de surmoi a suivi une trajectoire relativement claire. En 1914, dans « Pour introduire le narcissisme »1, Freud identifie une composante spécifique de l'appareil psychique qui, d'après lui, y représente la société, marquant la présence et l’influence du social au sein même du psychisme. L'argument prend une forme particulièrement originale. L'idée est que pour ce vivant spécial qu’est

dans son verger. Une pomme lui serait tombée sur la tête, et c’est ainsi que notre physicien aurait découvert les lois de la gravité. Et Weber ? Et bien, la pomme de Weber, c’était une statistique. En faisant des recoupements entre appartenance religieuse et statut social, Weber a cru pouvoir constater que : -partout où il y a une population mixte (catholiques et protestants), les protestants travaillent mieux et gagnent plus que les catholiques. -dans les régions qui étaient déjà riches avant

constitutions et les anciennes obligations, qui parlaient également des différentes croyances et des différentes races humaines. J’ai trouvé une réflexion de Freud pour travailler un peu sur ce sujet : « un peu de différence mène au racisme, mais beaucoup en éloigne irrémédiablement », c’est un sujet que je ne vais pas développer mais ici finalement Freud a peut être voulut faire comprendre que certaines personnes sont moins raciste envers un petit homme qui meurt de faim, qu’envers leur voisin, qui leur