Les Différents Agrégats économiques

institutions financières marocaines 16/10/08 chapitre1 La monnaie 1) Définition. 2) Fonction. 3) Formes. 4) Les agrégats. 5) Les contreparties. chapitre2 Le système bancaire marocain. 1) La réglementation (la loi bancaire). 2) Les différents établissements bancaires. chapitre3 La politique monétaire. chapitre4 Les marchés de capitaux. chapitre1 La monnaie La monnaie est un bien particulier qui joue les principales

présentent pas toujours des vertus comme le démontre les réalités des affaires actuellement et dans le passé, par exemple les erreurs de management d’entreprise, la mauvaise gouvernance et les contributions négatives des entreprises dans les différentes crises. L’économie d’entreprise passera de manière critique les fonctions et les politiques misent en œuvre par les entreprises (les politiques de productions, commerciales, de ressources humaines et financières). Elle va procéder aussi à l’analyse

LA CROISSANCE ECONOMIQUE La croissance économique est un phénomène relativement récent dans l’histoire humaine. Ce n’est que depuis la révolution industrielle anglaise du XVIIIème siècle, que certaines nations, à commencer par les pays d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord, ont connu une élévation progressive et durable de leur niveau de production de biens et de services. Une part de la croissance économique de ces deux derniers siècles s’explique par l’augmentation sans précédent du nombre

LA MACROECONOMIE Introduction : La question fondamentale de la macroéconomie est : peut-on agir sur la croissance économique ? si oui par quelles politiques ? Un des moteurs de la croissance est la recherche et le développement ( R&D) ou encore les innovations. Très vite les USA ont adopté les Technologies de l’informations et de la communication (TIC), cela peut expliquer la croissance forte de la décennie 90 . Sur la même période, en Europe, les dépenses de R&D sont nettement moindres

l'immobilier) mais seule la monnaie a la liquidité parfaite. Liquidité parfaite = directement disponible pour l'échange, sans coût de transaction, ni de liquidation (différence entre valeur d'achat et valeur de cession). Les actions ne sont pas dans les agrégats monétaires car obligations et actions varient tout le temps, de plus le fait de posséder une action d'une entreprise du CAC40 ou d'une entreprise familiale ne revêt pas les mêmes implications, une action du CAC40 trouvera facilement un acheteur,

de fournir  des moyens d’enregistrer, de rapporter, de récapituler, et d’interpréter des données économiques. Afin Dy parvenir, un plan comptable doit être conception d’un système comble les besoins des utilisateurs de ces informations comptables.une fois qu’ un système comptable a été mis en place, des rapports peuvent être publiés et des décisions basées sur ces rapports sont prises pour différentes sections. Puisque la comptabilité est employée par tous sous forme ou une autre, une bonne compréhension

et non exclusifs (éclairage public, police...) Certains biens sont à l'origine d'externalités positives (éducation, santé...) B. La mesure de la croissance de la production Les agrégats : PIB et PNB quelles différences? Un agrégat est une grandeur synthétique mesurant le résultat de l'activité économique. PIB : mesure la richesse créée par les unités résidentes PNB : mesure la richesse créée par les unités nationales Les limites Certaines activités sont difficilement mesurables

Croissance, développement et changement social. Introduction : La croissance économique apparaît comme une garantie d’une amélioration du bien être des populations en permettant le développement et s’accompagne de transformation sociale dont les retombés sur les modes de vie sont généralement considérés comme positif. Ces conséquences sont cependant discuté d’une part le développement ne découle pas automatiquement de la croissance. D’autre part la croissance n’a pas que des conséquences positives

Kader, MC M. CHALLAL Mohand, MA/CC Atelier de Recherche sur le Développement Local Faculté des sciences économiques et des sciences de gestion, UMMTO. a place de population dans le développement économique doit constituer le souci majeur des chercheurs des pays du Tiers Monde. En amont, le facteur humain peut être considéré comme une ressource (intarissable) pour le développement économique, et en aval la population est génératrice de besoins supplémentaires à satisfaire. C’est en ces termes

s’en encombrer puisque la monnaie et la finance ne sont pas indispensables pour aborder les grandes questions économiques de notre temps (inégalités, chômage, mondialisation, etc.…) Cette manière de voir les choses ne relève pas que d’une paresse intellectuelle ou d’une volonté de « distanciation » par rapport à l’abstraction comptable. Elle est aussi la traduction d’une pensée économique depuis longtemps légitime : la pensée classique pour qui la monnaie n’a jamais été autre chose qu’un « voile »