Les Différentes Juridictions Civiles

place en tant qu’individu dans un groupe sociale, le droit va dire à quelle famille nous participons, à quelle groupe à quelle société nous appartenons (qui dit qui sont les différents ensemble) (une commune, à la société française...). Le droit va également nous donner un statut social, un statut familial, professionnel, civil et politique. Cela participe à la construction de notre identité car il est très important de se situer par rapport aux autres dans une société, d’être reconnu par exemple comme

des personnes détentrices d’un pouvoir normatif public (maire, préfet…) car c’est nécessairement une norme qui les à investit. La situation des personnes privées n’est pas différente même si elle est moins évidente, la juridicité d’un contrat résulte des habilitations légales données par le législateur : Art.1134 du code civil : « les conventions légalement formées tiennent lieu de lois à ceux qui les ont passés ». Sera donc dite juridique toute normes dont l’auteur bénéficie d’une habilitation conférée

au travers de groupes sociaux et s'accompagnent de sanctions spontanées (exclusion de l'individu du groupe). Ce sont les règles de convenance. A côté, il y a des règles qui relèvent de l'honneur et de la déontologie. L'honneur relève d'un ordre différent. Médecins, avocats, diplomates ne peuvent pas se permettre n'importe quel comportement, puisque ces comportements seraient compris comme une atteinte à l'honneur de la profession (ex : avocate posant pour des magasines de charmes). Ce sont souvent

1ère année CAPA Droit Privé Ensemble des règles régissant les rapports entre particuliers et les relations juridiques entre l’Administration et les particuliers lorsqu’elles ne sont pas exorbitantes du droit commun. Droit Civil Ensemble des règles de droit privé normalement applicables. Il constitue le droit commun par rapport aux règles correspondant à des milieux spéciaux et qui se sont constituées en disciplines propres (droit commercial, droit rural, droit social…) 1 Introduction

la compétence, à l’instruction des procès et à l’exécution des décisions des juridictions pénales. Le droit pénal général qualifie les commissions ou les omissions d’infractions et détermine les sanctions ici on apprendre toutes ces règles en vigueur à l’heure actuelle qui ont trait à l’identification de l’auteur de l’infraction, règles en vigueur dans le domaine de la poursuite du délinquant devant les juridictions pénales, règles relatives à l’enquête judiciaire et enfin règles relatives aux

questions 1 à 4 en définissant les termes suivants : - « qualifiez juridiquement les faits, les acteurs » ? C’est un exposé bref et objectifs des événements qui ce sont produits. L’acteur : sa qualification va permettre de déterminer la juridiction compétente ainsi que les responsabilités engagées (majeur…) - Type de contrat ? Il s’agit de la classification des contrats en fonction de leur mode de formation (consensuel, solennelle, de gré a gré, d’adhésion) de leur contenu (synallagmatique

La majeure c'est la règle générale qui est posée. Seconde partie du syllogisme est la mineure : cas particulier, « en l'espèce ». Dernière partie du syllogisme : on confronte la majeure et la mineure, on peut conclure. Ex : la responsabilité civile. Règle posée : tout fait quelconque de l'homme causant un dommage à autrui, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. Cette règle constitue une majeure. La règle majeure est ce qu'on appelle le fondement juridique de la solution

qu’elle est indistincte. Elle a vocation à s’appliquer à tous ceux qui sont dans la situation précise visée par la règle. Notons le caractère hypothétique de la règle de droit : ex de l’art 414 C.civ : à 18 ans on est capable de faire tous les actes civils ne s’applique qu’à ceux de 18 ans et plus. B. Le caractère obligatoire Il apparaît comme un ordre : la règle de droit peut soit interdire, soit prescrire, soit permettre –règles prohibitives, prescriptives ou permissives (contiennent des

révolution française. Il y a eu des évolutions au grès des changements politiques et en particulier une rénovation importante de cette organisation juridictionnelle est intervenue en 1958 (V° république). Ces réformes de 1958 ont portées sur les juridictions mais aussi sur le personnel judiciaire, avec une réforme de la carte judiciaire, qui a continuée jusqu’en 2008, date du dernier décret. En 1958, on a aussi reformé le statut de la magistrature en créant le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature)

Introduction Temps sur mesure et juste mesure du temps... Première partie 3 9 11 15 17 Le procès civil Chapitre préliminaire 27 Deux temps en apparence inconciliables : le temps des parties et celui du juge Chapitre 1 29 Temps des parties et loyauté procédurale Chapitre 2 41 Temps du juge et maîtrise procédurale Deuxième partie 83 L’expertise judiciaire civile Chapitre préliminaire 103 Une idée à promouvoir : la contractualisation de l’expertise 109