Les Dieux eux-mêmes

fantastique. Malpertuis, publié en 1945, est son premier roman fantastique. Son œuvre se caractérise surtout par des histoires pleines de fantômes et de créatures fantastiques ainsi que par les mondes intercalaires. La peur, l'idée de la survivance des dieux ainsi que l´identité de chaque individu sont les moteurs principals de ce roman. En plus, ce roman a été aussi adapté au cinéma par Harry Kümel. On va étudier successivement la structure du texte, le temps et l´espace, l´analyse de l´oeuvre entière

L'ODYSSÉE Aède= chanteur et poète/professionnel et itinérant. Rhapsode= poète professionnel récitant ses vers sous forme de musique instrumentale. Épopée= long poème narratif qui raconte/célèbre des hauts faits/exploits (gesta) des dieux et des hommes. Homère écrit en hexamètre (6 vers) dactylique (5ème pied toujours en dactyle) dactyle (-uu) spondée (--) trochée (-u) Homère fait beaucoup parler ses personnages, beaucoup de répétitions dans le récit. Achéens/ Danaens -> grecs Eschyle

les états les plus divers. Aussi, en quoi le portrait d'Ulysse marque-t-il les différentes facettes du personnage ? Homère montre tout d'abord en Ulysse un héros, plein de qualités, certes mortel, mais renommé : cela d'ailleurs le rend semblable aux dieux. Seulement, il est aussi un homme, plein de faiblesses, il est ainsi surpris par la fougue de ses compagnons, par ses propres erreurs même, en témoigne l'épisode du cyclope. Enfin, Ulysse en devient presque un autobiographe lorsqu'il conte ses aventures

fois l'inceste et l'imposture ;
Mes homicides mains, promptes à me venger
Dans le sang innocent brûlent de se plonger.
Misérable ! et je vis ? et je soutiens la vue
De ce sacré soleil dont je suis descendue ? J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ;
Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux ;
Où me cacher ? Fuyons dans la nuit infernale.
Mais que dis−je ? Mon père y tient l'urne fatale ;
Le sort, dit−on, l'a mise en ses sévères mains :
Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Ah !

mets-les en pratique et médite-les, convaincu que ce sont là les principesC’est-à-dire ce qui est à l’origine de la vie heureuse nécessaires pour bien vivre. Commence par te persuader qu'un dieu est un vivant immortel et bienheureuxPour Épicure, les dieux existent bien, et on aurait tort de le qualifier d’athée, ce qui est de toutes façons inenvisageable à l’époque. Ils vivent dans des intermondes et ne s’occupent pas des affaires humaines, mais constituent néanmoins pour l’homme un modèle de bonheur

en pratique et médite-les, convaincu que ce sont là les principes (c’est-à-dire ce qui est à l’origine de la vie heureuse) nécessaires pour bien vivre. Commence par te persuader qu’un dieu est un vivant immortel et bienheureux (pour Épicure, les dieux existent bien, et on aurait tort de le qualifier d’athée, ce qui est de toutes façons inenvisageable à l’époque. Ils vivent dans des intermondes et ne s’occupent pas des affaires humaines, mais constituent néanmoins pour l’homme un modèle de bonheur

époque ou l’homme était peu enclin à se remettre en question , en effet les dieux étaient la cause de tout ce qui pouvaient leur arriver, que Socrate fît figure de contestataire en ne retenant que la première partie de la phrase inscrite sur le fronton du temple de Delphes « connais toi toi-même , et laisse le monde aux dieux ». Il dira aussi que les hommes ne sont jamais plus heureux que lorsqu’ils se connaissent eux mêmes ni plus malheureux que lorsqu’ils se trompent sur leur propre compte. Il signifiât

comme les feuilles que fait pousser la saison fleurie du printemps, lorsqu'elles croissent vite sous les rayons du soleil, semblables à elles, pendant un fugitif instant, nous jouissons des fleurs de la jeunesse, sans connaître, grâce à la volonté des dieux, ni notre bien, ni notre mal ; mais les noires Destinées s'approchent s de nous, l'une apportant la pénible vieillesse, l'autre le terme de la mort . Ephémère est le fruit de la jeunesse, comme, sur la terre, la clarté du soleil . Cependant lorsque

équivalant au Nirvana ou encore à cet état de plénitude que vive les dieux et qui est évoqué par Epicure dans sa Lettre à Ménécée : tout le monde peut être sage, nous dit Epicure, il suffit juste de suivre son quadruple remède. Le quadruple remède Cette éthique était résumée, dès l'Antiquité, par ce qu'on a appelé le tetrapharmakos (le «quadruple remède»), qui tient en quatre propositions fondamentales: il n'y a rien à craindre des dieux; il n'y a rien à craindre de la mort; on peut atteindre le bonheur;

genres : 1) Création du monde (démembrement, organes= ciel-mer-montagne-fleuve, mythe nordique) 2) Structuration de l’Univers (4 éléments, 3 domaines) 3) Désastre cosmique (déluge, Fenrir) 4) Phénomènes naturels (émotions dieux = foudre) 5) Dieux (naissance des dieux, leurs fonctions-attributs) 6) Création de l’homme (boîte de Pandore = maux) 7) Statut de l’être humain (Orphée Eurydice, séparation divin-humain) 8) L’Au-delà (Enfer-Paradis, réincarnation, métempsycose) 9) Genèse d’une société