Les Courants épistémologique

physiques, idéologiques, symboliques qui la caractérisent à une époque donnée ? Ce fut l'erreur de beaucoup d'historiens que de simplifier leur analyse en ne se basant que sur des aspects qui les arrangeaient dans leur étude. Enfin la difficulté épistémologique, liée au risque de l'anachronisme, est omniprésente pour l'historien. Il doit jongler avec chaque époque et ses spécificités, dont il faut savoir tenir compte sans rester bloqué dans les savoirs de sa propre époque. Par là, il entend remettre

cadet: Doit-on critiquer celui qui doit avoir raison ? Pour le scientifique comme les philosophe, et pour tout homme qui cherche la vérité, «vouloir avoir raison» semble être légitime. Mais, à travers l’usage de cette expression dans le langage courant, on manifeste souvent le reproche d’une volonté absolue en un désir autoritaire ou désespéré d’imposer à tout prix son point de vue à son public ou de s’en persuader soi-même. Donc «vouloir avoir raison» est-ce critiquable ? La limite de l’acte

transformation du savoir savant en savoir enseigné. » Le savoir savant entendu comme l’ensemble des connaissances produites par les recherches, subit des modifications théoriques au fur et à mesure qu’il est repris par l’ensemble des acteurs et des courants de pensées qui s’interposent entre la production de ces savoirs et leur enseignement dans les classes CHEVALLARD différencie deux temps dans la transposition : le 1er est constitué par le passage du savoir savant au savoir enseigné le 2ème est

d’apriori, de préjugés, de prénotion (idée que l’on a définit avant de d’avoir définit les notions), de représentation sociale. Ce que l’on sait. Ce que l’on croit savoir. Afin de bien différencier ces deux termes, il faut faire une différence épistémologique. Définition du fait sociale DURKHEIM : « Est fait sociale toute manière de faire, fixé ou non, susceptible d’exercer sur l’individu une contrainte extérieur ou bien encore qui est générale dans l’étendue d’une société donnée, tout en ayant

Histoire d’Angleterre (1762)  Dialogue sur la religion naturelle (1779) II.PHILOSOPHIE DE L’AUTEUR A. Son courant philosophique Hume, tout comme Locke et Berkeley, est l’un des principaux philosophes fondateurs, du courant empiriste dont la conception est de subordonner la connaissance à l’expérience sensible immédiate. La méthode humienne se définit par l’analyse épistémologique des idées et s’appuie entièrement sur l’expérience et la sensation, seule source de nos connaissances. Cette méthode

" Ecrits sur le signe trad. fr. 1978 p. 215 ;  ex : Le dessin d'une balance peut être une simple représentation de l'objet. Placé sur un pare-brise, il devient un signe, symbolise l'ordre des avocats, mais pas pour tout le monde : il faut être au courant de cette convention.  Un symbole est souvent collectif mais peut être valable pour une seule personne également.  Par exemple un cartable : il a un nom, une fonction, a-t-il une valeur symbolique? Suivant les personnes il peut symboliser la torture

culture la même méthode que le fait naturel ? Durkheim (positiviste) est convainque que oui c’est possible : il n’existe qu’une seul science. En Allemagne la réponse sera négative, ce qui entraine une réflexion sur la production d’une science épistémologique influencé par Max Weber et George Simmel. Pour ces penseurs allemands les sciences sociales sont marquées par la spécificité des phénomènes qu’elles étudient. La dimension historique (date…) sur ce point Durkheim est d’accord. MAX Weber et Simmel

l’individu sur la société) Individualisme social Libéralisme politique Une société est-elle plus qu’un ensemble d’individus ? Une bonne société doit-elle adopter une conception particulière du bien commune à tous ses membres ?  Un présupposé courant en sciences sociales et en philosophie politique et que si vous choisissez de donner la priorité à l’individu dans le cadre de l’un de ces deux débats, vous devez être conséquent et donner également la priorité à l’individu dans le cadre de l’autre

des acceptions moins techniques, le scientisme peut être associé à l'idée que seules les connaissances scientifiquement établies sont vraies. Il peut aussi renvoyer à un certain excès de confiance en la science qui se transformerait en dogme. Le courant zététique, qui s'inspire du scepticisme philosophique, essaye d'appréhender efficacement la réalité par le biais d'enquêtes et d'expériences s'appuyant sur la méthode scientifique et a pour objectif de contribuer à la formation chez chaque individu

à leur contact qu'il se familiarisa avec les problèmes et les difficultés de la logique et de l'épistémologie. L’opposition entre Schmoller et Menger, réside dans la tension entre nominalisme[5] et réalisme. Schmoller défend un nominalisme épistémologique car il considère que les concepts ne sont que des représentations construites de la réalité empirique étudiée. Ce sont des lunettes qui n’ont pas d’existence propre. En fait, Schmoller anticipe l’idée d’idéal-type de Weber et développe l’ébauche