Les Champs Lexical De La Solitude Sont

bourgeoisie Solitude, rêverie et sincérité envers soit même Rêve d'ailleurs Exaspération et déchirement • Œuvres importantes et citations Les Misérables de Victor Hugo (1802-1885) paru en 1862 " n'être pas écouter n'est pas une raison pour ce taire" Les paradis artificiels de Charles Baudelaire (1821-1867) paru en 1860 "Les vices de l'Homme sont la preuve de son goût pour l'infini. Seulement , c'est un goût qui se trompe souvent de route" • Thème en peinture Mer immense Sentiment d'abandon Solitude en forêt

de la veille ville de Marseille qui a ses yeux peu a peu paraît effrayante. Vision de la ville présenté dans chacun de ces trois textes: -Dans le premier texte la ville est représentée comme une grande ville avec des habitants horribles «vaste champs», «la population parisienne, peuple horrible». Une ville comme il décrit «cadavéreuse qui n'a que deux âges», une capitale qui est un atelier de terreur où les gens deviennent différents «d'où bientôt eux-mêmes ils ne peuvent sortir et, restent à

d'une jeune fille qui possède un sort misérable. Puis nous verrons comment par son écris l'auteur arrive à sensibiliser le lecteur par rapport au sort de la jeune fille. Pour nous faire part de la misère de la jeune fille, l'auteur utilise un champ lexical de la misère, en appuyant sur le faite qu'il s'agit d'une fille seule et sans parents ( ligne 3 ), qu'elle travaille le jour ainsi que la nuit ( ligne 6 ), vu que c'est l'hiver la jeune fille à très froid ( ligne 10 et 24 ) il appuie bien sur le

initiale - Impression d’engourdissement de l’esprit des gardiens (ce doit être un effet de notre manque de sommeil). ; à force de silence (impression feutrée) - Les Gardiens associés à deux formes lexicales dominantes en relation avec leur fonction : entendre et voir (champs lexicaux abondants). L’ennui de la fonction de gardien est mise en œuvre (notre présence est inutile) b) Une conversation surprenante sur le figure du meurtre - Nombreuses allusions, des personnages

2011. Lecture analytique: Chapitre XIII, Le dernier jour d'un condamné, V. Hugo. ___ I. Notion de spectacle. A) Utilisation de la vue et de l'ouïe. Dans cet extrait il y a un champ lexicale de la vue très présent: «les yeux », « une image », « j'observais », « je vis ». Ainsi qu'un le champ lexical de l'ouïe: « ils chantaient », « on entendait », « des cris », «  des éclats de rire », « se taire ». Ces deux sens sont mis en éveil lors de représentations théâtrales ou de spectacle, ils

univers irréel. Au vers 3 et 4, il y a un parallélisme entre les deux vers. Il s'agit du champ lexical du corps. Qui donne une impression d’un poète aveuglé son rêve . Au vers 5 il y a un champ lexical de l'obscurité ce qui renvoit à une atmosphère irréelle. « engloutir » , « ombre » Ce premier sizain se construit dans l’imaginaire, l’irréalité, tandis que le second renvoie à la triste réalité de la solitude du locuteur. Aux vers 7 et 8 le poète appuie sur importance aux yeux « paupières » C'est

 qui  rythment  la  vie  des  enfants  -­‐-­‐>  champ  lexical  de  l’emprisonnement  avec   gradation  «prison»  puis  «bagne»  puis  «enfer»  +  répétition  de  «même»  insiste  sur  leur  sort  de  victime.   b.Souffrance  des  enfants   -­‐souffrance  physique  -­‐-­‐>  mise  en  valeur  par  champ  lexical  santé  maladive  :  «fatigue»,  «rachitisme»,   «fièvre»

chose de banal, de quotidien. On a l’impression que la mort n’est pas grand-chose pour lui, qu’elle est vécue comme quelque chose qui dérange son quotidien « cette hâte, cette course, c’est à cause de tout cela sans doute ». Il est perdu, d’où le champ lexical du temps « aujourd’hui, hier, demain ». C’est comme si sa mère n’était pas morte, il ne semble pas en prendre conscience. De plus, l’enterrement est perçu comme quelque chose de banal, comme une simple formalité : « après l’enterrement, au contraire

quatrain: > emploi du présent gnomique > déterminant générique « Le Poète » > majuscule « Poète » généralisation > comparaison « est semblable » => Annoncent la leçon. Liaison de la leçon au récit par champs lexicaux: oiseau (« ailes »), mer (tempête) Analogie oiseau-poète: tout au long du poème: personnification de l'animal, dernier quatrain: métaphore animalisante du poète (« ses ailes de géant l'empêchent de marcher ») => effet de boucle, lecture

joignions nos bouches ! - C'est possible. - Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir ! - L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles, Et la nuit seule entendit leurs paroles. Nevermore Champs lexicaux Le passé - les bruits, les sons -[l'aérien - la nature]- elle - moi Vocabulaire : - atone : sans vitalité, sans vigueur, qui manque de dynamisme - dardait : lançait comme un dard ou un flèche - détonne : s'écarte du ton, choque, contraste