Les Champs Lexical De La Solitude Sont

le comique pour tourner en ridicule une personne ou un concept  il consiste à dénoncer ou à critiquer c’est ce qu’on appelle la satire. Procédés: l’ironique , antiphrase, champs lexical péjoratif, hyperbole, points d’exclamation, caractéristiques de la caricature.  Registre merveilleux Origine : (latin) miribilia « chose admirable »  Le merveilleux c’est le mélange du surnaturel de la magie à la réalité

Développement I Progression sensible. a) Enfermement • champ lexical de l’enfermement : « couvercle », « cachot », « mur », « plafond », « prison », « barreaux », « filets », « longs ennuis ». • le ciel est un couvercle au dessus de la terre • verse ( liquide qui englobe toute la terre • chauve-souris vit dans les grottes et les cavernes, des lieux fermés. • Muet ( aucun son ( solitude ( cacophonie finale • Pesante ( compression b) Marche

monologues. Mais on peut aussi voir le côté pathétique de la scène lorsque la reine exprime sa souffrance, sa solitude : « Abandonnée de tous ». Dans cette scène la reine utilise le pronom personnel « je » , qui nous démontre le lyrisme de la scène avec l’expression de soi ainsi que l’antéposition du complément, le mot isolé exclamatif : « Seule ! Ils m’ont tous laissée » nous montre sa solitude, le désespoir, elle se sent abandonnée. Dans cette scène la métaphore : «Pauvre esprit sans flambeau dans

analysées. La mélancolie, le registre lyrique ainsi que le temps qui passe sont des thèmes propres au romantisme dont Hugo est le meneur. Victor Hugo montre au cours du poème deux sentiments propres au romantisme, la mélancolie mêlée à la solitude. En effet une rupture, vers 13, est proposée grâce à la conjonction de coordination « mais » et au pronom tonique « moi ». Suite à cette rupture l’auteur apparait dans le texte. D’autre part le « rêve » des trois premières strophes est terminé, c’est

grand nombre (0 réponses). >Elle s'est donc détournée de Perdican pour "échanger". L'indication de lieu qui encre le discours "l'oratoire", lieu ou Camille va s'isoler pour se confier à Dieu qui l'éloigne de Perdican. Ce monologue renforce la solitude de Camille qui privilégie une relation spirituelle à la relation qu'elle aurait pu mener avec Perdican. Elle constate qu'elle est abandonnée de Dieu et souligne donc les failles de cet amour divin. "m'avez-vous abandonné ?" => question rhétorique

explicitement sa révolte contre la société, puisque dans chaque texte il dénonce le conformisme social. Je commence par son poème « Le Mal », dans lequel il révèle tout d’abord les atrocités de la guerre : cette œuvre illustre l’horreur omniprésente sur les champs de batailles et sur lesquels règnent le chaos. Cette idée de chaos est marquée par les vers 5 & 6, qui traduisent la guerre franco-prusienne comme étant une folie meutrière, qui réduit en cendres « cent milliers d’hommes ». A ce moment on peut parler

Monologue intérieur du personnage (verbes de perception, d’états, qui ne concernent que Duroy) – Succession de sentiments contradictoires – Rythme saccadé → Après un instant de sidération, Duroy est très agité : il est blessé et perd ses illusions. La solitude du personnage * Seul personnage concerné par le texte : Duroy. Seul à s’exprimer – « Puisqu’elle avait trompé l’autre, comment pourrait-il avoir confiance en elle, lui ! » → lui isolé et correspondant à Duroy. Communication mari-femme impossible

souffrance du poète A. La solitude 1. La trahison des sens qui renforce la solitude. — la vue dans les vers 7 à 13 : « J’ai cru qu’une forme voilée / [...] Elle s’efface et disparaît» ; — l’ouïe dans les vers 24-33 : « Ne frappe-t-on pas à ma porte ? / [...] Qui vient? qui m’appelle ? — Personne. 2. La souffrance engendrée par la solitude. — souffrance physique ( tout mon corps frissonne »? v. 30); — souffrance morale (analyse des exclamatives déploratives: « Ô solitude! Ô pauvreté », v. 33)

sorte de fatalité propre à l’homme et à la vie. L’homme est étouffé par le monde qui l’entoure, et s’engouffre. 6. Champs lexicaux Tout au long de ce poème nous avons le champ lexicale de la claustration, de l’enfermement, du mal être et de la dépression. Ces champs lexicaux ont été choisis par l’auteur pour pouvoir nous faire entrer dans un univers noir, sombre où la solitude règne et le mal être est quotidien. Ils n’ont pas été illustrés au verso car ils sont implicite et également pour une

l'aveugle est plongé « un hiver (…) il gelait horriblement...). On peut relever le champ lexical du froid, de la neige, du gel et remarquer que les expansions du nom et les adverbes insistent sur la dureté du climat hivernal. Grace à la conjonction de coordination « or », dans la phrase « or, son beau frère le conduisit fort loin », il insiste sur l'anormalité de la situation. L'aveugle ne devrait pas avoir a subir la solitude dans un froid glacial. Les descriptions de Maupassant vont crescendo, ne décrivant