Les Apports Et Les Limites Du Modèle Taylorien

rendement Développer la motivation de l’homme au travail par le « salaire à la pièce » et la « prime à la productivité » 4ème principe: Système de contrôle du travail Contremaîtres contrôlant chaque geste de l’ouvrier exécutant Apports et limites du modèle taylorien Premier modèle opérationnel d’organisation visant à accroître le niveau de production et de productivité «Force» d’une étude basée sur la rationalité scientifique et la science du travail Recherche des conditions de compatibilité d’intérêts

être technique, sociale, organisationnelle ou de produit. On distingue les innovations de ruptures qui modifient radicalement un secteur d’activité et les innovations incrémentales consistant en améliorations successives, qui peuvent être minimes, apportés à un produits ou à un processus existant. Pour Joseph Schumpeter, il existe alors cinq formes d’innovation : la création d’un nouveau produit susceptible de mieux satisfaire des besoins anciens, la satisfaction d’un besoin nouveau, l’amélioration

éclairages successifs qui structurent l’ouvrage de l’auteur. 2 Ça et là, des liens sont établis avec les différents apports du cours, ce chapitre prenant figure de conclusion. C’est ce sur quoi insiste notamment la conclusion générale. charges, des responsabilités et un degré d’autonomie définis à l’avance. On peut reconnaître dans cette vision les fondements de la conception taylorienne de l’organisation du travail. Mais il ne s’agit pas de la restreindre à la seule industrie : une administration

administrations d’une certaine rigidité par rapport aux besoins d’adaptation et d’évolution. Les agents ne réagissent pas de la même façon. Il existe cependant des stratégies d’adaptation développées par les acteurs eux-mêmes. Mais si son terrain est plus limité dans l’espace et dans le temps, la sociologie des organisations tente d’articuler ce qui est observé dans une entreprise avec l’évolution des systèmes sociaux et des valeurs collectives et individuels propres aux sociétés modernes. 1. Qu’est-ce

scientisme et du rationalisme : il s’agit d’une foi absolue dans les principes de la science ; raison détermine la connaissance. 2) Parcours personnel de TAYLOR : Ouvrier Contremaître Ingénieur en chef Incarne le safe made parfait TAYLOR apporte une critique l’organisation de travail au 19° siècle mais aussi de la gestion inefficace et incompétente des ateliers de travail. Il constate également l’inefficacité des rapports entre dirigeants et ouvriers 3) L’organisation scientifique

croissance et de développement. Quelles sont les buts et les finalités du management organisationnel, et donnent-ils à ces pratiques depuis leurs conceptions jusqu’ à leurs usages et leurs appropriations ? Pour ce faire, nous intégrons certains apports des sciences afin de tenir compte des enjeux organisationnels et institutionnels qui influencent aux nouvelles pratiques dans certains secteurs du marché. Nous étudierons dans un premier chapitre de quoi s’agit le management, ensuite dans le second

salaire  grève et absentéisme - 1ere crise 60’ : la démocratisation de l’éducation à fait que les individus ont voulus rentabiliser leurs étude (avoir de plus gros salaires et emploi mieux qualifié) - 2eme crise 80’ : la consommation a apporté une plus grande exigence des consommateurs  réclamation de produit diversifié -La demande réclame une compétitivité hors pris : qualité et différenciation  les entreprises ont du s’adapter. Problème de la standardisation des produits - Les entreprises

Clémence AZARI Delara   1   SOMMAIRE   INTRODUCTION I- Les systèmes de production classiques et leurs limites 1.1 La naissance du Taylorisme… 1.2 …puis du Fordisme 1.3 Les remises en cause de ces systèmes II- L’adaptation des systèmes phares de production par les entreprises industrielles contemporaines 2.1 L’apparition du Toyotisme 2.2 Toyotisme : Avènement d’un nouveau modèle ou prolongement d’un fondamental ? 2.3 Le Néo-Taylorisme : L’OST d’aujourd’hui CONCLUSION   2   INTRODUCTION

Introduction générale 3 Chapitre 1 : l’école classique 7 I) Taylor et l’OST 7 1) Les principes 7 2) Les disciples de Taylor (Ford principalement) 9 3) Les limites du modèle taylorien 10 II) Fayol et la gestion administrative 10 1) Fonctions 10 2) Les principes 11 3) Les disciples 11 III) Urwick et sa théorie organisationnelle 11 IV) L’apport de Gulick 12 V) Après Urwick et Gulick : la théorie de la départementalisation. 13 VI) Webber et la bureaucratie. 14

que celui-ci devient moins efficace ». Le Taylorisme, étant une totale rupture avec le passé, provoqua de nombreuses résistances mais les syndicats et entrepreneurs trouvèrent un compromis. Les syndicats acceptèrent les méthodes de production tayloriennes et ils obtinrent une part des augmentations de salaire. Ce compromis fut accepté par une minorité d’employeurs puis devint la règle après la fin de la seconde guerre mondiale avec le Fordisme. L'argument principal contre les idées de Taylor