Les Apports Et Les Limites Du Modèle Taylorien

 ORGANISATION DE L’ENTREPRISE PARTIE I : Qu’est-ce-qu’une Entreprise ? Quelles sont les principales manières d’appréhender l’entreprise et leurs apports ? Première définition : « L’entreprise est une entité économique, juridiquement autonome, organisée pour produire des biens ou des services pour le marché. » On distingue deux types d’entreprises : - L’entreprise individuelle (personne physique) qui ne possède pas de personnalité juridique distincte de celle de la personne

associés doivent réalisés des apports (finances+ apports en nature - portefeuille de connaissances). Les associés doivent avoir un but lucratif (faire du profit) et doivent avoir la volonté de collaborer. *INPI* Les conditions de formes - Rédaction des statuts de la société. Ils doivent être signés par l'ensemble des associés et comportent des mentions obligatoires (Forme juridique, la dénomination sociale, le siège social, la nature et le montant des apports, le Capital). - Les

économique Motivation implication Motivation implication Pour le re-distributeur il faut générer du profit. La performance économique c’est une entreprise qui apporte une réponse à ses besoins par des besoins de l’homme au travail. REALITE REALITE Modalités de management Modalités de management Modèles théoriques Modèles théoriques Représentations de l’Homme au travail Représentations de l’Homme au travail Organiser : Techniques rationnelles qui doivent permettre de gérer

habiles. Le fait de devenir des experts et connaître toutes les facettes de la tâche assignée permet l’innovation. Il y a clairement une division entre la direction et les exécuteurs selon les principes de Taylor dans cette entreprise. La pensée taylorienne, entre autre la division verticale du travail entre les personnes qui conçoivent et exécutent, y est appliquée si nous nous référons aux organigrammes. Voici un exemple de la pensée de Taylor envers les ouvriers : « Vous n’êtes pas là pour penser

pourraient choisir la couleur pourvu qu’elle soit noire) Five Dollars Days’s (salaire moyen 2,80 $) Les 5 zéros et le Kan Ban sont les deux apports de Takashi OHNO. Il révolutionne l’organisation de la production en ne déclenchant la production qu’à partir d’une commande précise d’un client qui a pu faire des choix pour différencier son produit. (par exemple tel modèle de carrosserie avec tel moteur, tel niveau de finition, tel et tel option). L’organisation du travail est moins hiérarchisée et se sont

de l'entreprise et sur la fonction d'administration, c'est-à-dire de management) -WEBER  la rationalité structurelle (apporte une contribution d’inspiration sociologique) A) Le taylorisme : une organisation du travail productif F.W.Taylor (Etats-Unis, 1856-1915) considéré comme l'un des membres fondateurs de la théorie des organisations. Son parcours personnel permet

univers incertain d. L’aide à la décision en univers conflictuel 2. Le système Interactif d’Aide à la décision (SIAD) 3. Les systèmes experts D. Les modèles de comportement du décideur 1. Les modèles de comportement du décideur isolé a. Le modèle classique b. Le modèle de Simon c. Le modèle de Janis d. Le concept de rationalité 2. Les modèles de comportement décisionnel de l’organisation a. La multiplicité des objectifs b. La réduction de l’incertitude c. Les procédures décisionnelles d

univers incertain d. L’aide à la décision en univers conflictuel 2. Le système Interactif d’Aide à la décision (SIAD) 3. Les systèmes experts D. Les modèles de comportement du décideur 1. Les modèles de comportement du décideur isolé a. Le modèle classique b. Le modèle de Simon c. Le modèle de Janis d. Le concept de rationalité 2. Les modèles de comportement décisionnel de l’organisation a. La multiplicité des objectifs b. La réduction de l’incertitude c. Les procédures décisionnelles d

qualité) a rendu obsolète l’organisation taylorienne de la production. L’économie de la connaissance impose une division des fonctions organisée autour de "blocs de savoirs scientifiques" fondés sur des champs de compétence spécialisés (biotechnologies, optronique…) dont l’acquisition passe par la coproduction des savoirs utiles et le partage des risques associés à l’innovation. Dès lors, L’avènement de l’économie de la connaissance marque une reconfiguration du modèle économique des grandes entreprises

ensuite travailler sur les modes d’appropriation de ce savoir. Dans les textes étudiés, la question du savoir occupe une place particulière. Désormais, ce ne sont plus les formateurs qui apportent seuls les connaissances. Le savoir est également apporté par l’élève en formation. Cela est illustré par cette phrase «  […] le changement de rapport au contenu des connaissances qui ne sont non plus apprises d’un autre mais construites par soi s’appuie sur l’idée que cette construction permet à celui