Les Apports Des Religions Monothéistes

1 La religion civile de Jean-Jacques Rousseau Conférence de Ghislain Waterlot (Université de Genève) donnée aux Charmettes, le 20 juin 2009. [Introduction] Je suis heureux de me trouver aux Charmettes ce soir pour réfléchir avec vous sur le concept de religion civile, dont Rousseau est le créateur. Je suis convaincu que ce moment théorique du Contrat social est capital1 si nous voulons comprendre, par exemple, ce qui est en jeu aux Etats-Unis d’Amérique, quand on parle de « religion civile

Philosophie des religions Introduction : Ibn Rushd, le Ben Rushd des juifs et l’Averroès des Latins a été lu, traduit et étudié en trois langues, l’arabe, l’hébreu et le latin. On a aussi tenté de l’enraciner dans trois communautés religieuses : la sienne propre, l’islam, le judaïsme et le christianisme. C’est dire qu’Ibn Rushd peut être légitimement considéré comme l’un des pères spirituels de l’Europe. Les récentes rééditions de l’œuvre d’Averroès, de même que les travaux de philosophes

sur la raison des mythes et ce qu’ils apportent véritablement, plus particulièrement à l’Homme des sociétés modernes. La pensée initiale et évidente qui vient à l’esprit lorsque l’on se questionne sur la fonction de l’Histoire est sa disposition à apporter des connaissances et des explications. Ce qui n’est pas faux : c’est par la connaissance du passé que l’on sait que le communisme économique est impossible à mettre en place, et que ses promesses attrayantes se placent au rang d’utopie. C’est par

relations internationales avec la fin de la bipolarisation, les NTIC, modes de vie et de conso. Depuis la chute du bloc soviétique, et l’ouverture éco de la Chine, le système capitaliste libéral n’a plus de contre modèle face à lui. La mondialisation apporte une croissance, mais c’est un système de fortes inégalités entre les acteurs, les territoires, et les populations. Dans les pays industrialisés, les déréglementations et les délocalisations forment une partie de la critique de la mondialisation.

transmis par le tatouage tandis que la deuxième célèbre la maîtrise et le talent du tatoueur. Alors, le tatouage, selon la perception japonaise et comme l'indique Wiener, humanise, érotise le corps et en fait une oeuvre d'art. Par ailleurs, Wiener apporte une signification du tatouage selon la théorie psychanalytique. Celui-ci a, selon cette théorie, une capacité de fantasme[6]. En effet, en étant fait sur la peau, qui selon la théorie psychanalytique est source de plaisir, le tatouage remplit une

et les définitions de la superstition a) La définition : superstition La superstition est la croyance étroite et excessive à certains aspects du sacré. Elle est considérée comme non fondée par la religion dont elle est issue. La crainte ou l'ignorance peut conduire des adeptes d'une religion à des comportements superstitieux. Exemple : certains cultes voués à la Vierge Marie ou à des saints. Dans le langage courant, la superstition est aussi la croyance que des évènements, des situations

fondements dans la nature de l'homme, elle est entretenue de manière bien peu innocente par ceux qui peuvent en bénéficier. Mais ce dont il est question sous ce nom n'est rien d'autre que ce que les hommes tiennent pour la religion. Il ne s'agit pourtant pour l'auteur que de fausse religion. Cette distinction est extrêmement importante, car il rejette l'accusation d'athéisme qui lui est ordinairement adressée. Et en effet il n'est pas sans piété, on verra ce que cela veut dire. Mais ce souci polémique montre

cultures Franques et Romaines qui vont fusionner par le biais du christianisme. Il assure à la fois une cohésion entre les peuples de coutumes différentes. C’est un modèle culturel (vainqueur prennent coutumes et religions des vaincus) adopté par les barbares car = vainqueurs. La religion chrétienne est une façon pour légitimer le pouvoir dynastique puisque souverain = pouvoir politique et religieux et on va voir ainsi plusieurs grands chefs barbares qui vont être baptisés et se faire les défenseurs

sur le marché de la banque Islamique. Il y a donc ici matière à réflexion, car un marché potentiel est peut être à conquérir en Belgique. Soucieux d'acquérir des biens immobiliers, d'investir dans des projets commerciaux tout en respectant sa religion, le client Musulman se retrouve devant un problème de financement. En effet, l’Islam a développé un système financier qui se base sur la Charia qui interdit l'intérêt bancaire. Il y a, pour ce faire, différentes parades comme le mécanisme du partage

signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. L’association d’univers « exotiques », de personnages étonnants et d’intrigues passionnantes donne à l’apologue la vocation de plaire aux lecteurs. Mais celui-ci s’engage aussi à leur apporter un certain enseignement, et/ou à dénoncer un travers de la société. Ce plaisir devient alors une profonde source d’instruction. La critique et la morale sont plus ou moins explicite d'un apologue à l'autre. Il demande donc de la part du lecteur