Les Apports De La Lolf

: la fonction contrôle de gestion. Cette dernière met en place des outils d’aide à la décision en rendant systématiquement compte de l’efficacité de l’administration (en comparant, notamment les budgets aux réalisations). C’est plus concrètement la LOLF (la Loi Organique Relative aux Lois de Finances) qui officialisa en 2001 la fonction contrôle de gestion dans la fonction publique. 10 L’un des outils mis en place, le Balanced Scorecard (tableau de bord prospectif), est particulièrement utilisé

l'application de la réglementation et une mission de conseil, en développant la coopération avec les collectivités territoriales à qui elle peut apporter, en tant que de besoin, son appui technique. À l'intérieur de ces missions, le décret pointe plus particulièrement huit compétences qui incomberont aux DRAC : 1. dans le nouveau cadre budgétaire de l'État prévu par la Lolf (loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances), proposer les modalités de mise en œuvre de la politique culturelle

d’outils adaptés à cette attente mais, actuellement, trois domaines sont plus particulièrement étudiés par la DDAF de Seine-et Marne. L’EVOLUTION DE LA PRESENTATION BUDGETAIRE Ce domaine est le premier à être touché par la mise en place de la LOLF de 2001. Comme pour tous les services déconcentrés, la DDAF verra progressivement sa présentation budgétaire évoluer pour être en adéquation avec la réforme de la gestion publique. 1) LES BUDGETS TRADITIONNELS De manière traditionnelle, les

mettre en place une nouvelle réforme de l'État mais ça reste assez confus. * La LOLF et les opérateurs de l'État La LOLF est une Loi organique relative aux lois de finance qui est notre nouvelle constitution financière votée et promulguée le premier août 2001. La LOLF a été mis en place sur une longue durée en particulier elle est en entrée en vigueur dans sa totalité à partir du 1er janvier 2005. Cette LOLF met en place une nouvelle architecture budgétaire pour l'État, une nouvelle organisation

ORGANIQUE RELATIVE AUX LOIS DE FINANCES (LOLF), LOGIQUE DE PROJETS ET CULTURE DE LA PERFORMANCE ...............................................................................................................16 De nouveaux outils de pilotage : évaluer pour évoluer..............................................16 Des indicateurs critiqués...............................................................................................17 L'application de la LOLF dans les BU.............................

l’état 18/01/2010 A- Définition de l’état 6 points à traiter (Qu’est ce que la RGPP ?, LOLF ?) La France est considérée comme un état fort. Aujourd’hui, on parle beaucoup du tournant néolibéral, ce qui remet en cause la place de l’état. En réalité, si on mesure le poids de la sphère public par apport au prélèvement obligatoire du PIB, on s’aperçoit qu’en France on a une part assez importante par apport aux autres pays 42% du PIB est prélevé pour alimenter les dépenses publiques. En comparaison

permettrait de réduire la dépense publique. Considérée de ce point de vue, la réforme de l'administration vise uniquement à réduire le coût de l’administration (à résultat égal) ; c’est donc le seul critère de l’efficacité qui détermine les changements à apporter. Le problème de la contrainte financière montre bien qu’une authentique réforme des méthodes de l’action publique et une réduction de l’ampleur de cette action sont des directions largement opposées et non confondues. On peut donc dire, en conclusion

publique. Ils concourent également à la compréhension des spécificités de la gestion de la performance dans les administrations centrales notamment dans le contexte actuel marqué par la mise en œuvre de la nouvelle loi organique des lois de finances (LOLF). Mots-clés : Balanced Scorecard (BSC) – instrumentation de gestion – pilotage stratégique de la performance – contrôle de gestion – administrations de l’Etat. Sommaire INTRODUCTION GÉNÉRALE....................................................

dépense déterminée (règle de non affectation). La spécialité budgétaire est le principe qui a fortement évolué depuis 2001. En effet, sous l'empire de l'ordonnance de 1959, le crédit était spécialisé en fonction de la nature de la dépense. La LOLF donne une nouvelle dimension au principe. La règle impose désormais que le montant et la nature des opérations prévues par la loi de finances soit indiqués de manière précise. Les crédits sont ainsi spécialisé par programme et sont rattaché à un objet

le calendrier. les réformes sont mises en projet dans les ministères. DGME : pilotage opérationnel du processus et cohérence d’ensemble (équipe coordination), accompagnement de chaque ministères sur l’ensemble des réformes (équipes ministères), apport méthodologique, outils et bonnes pratiques (équipes leviers). DB : impact économique des réformes, budgeétisation pluriannuelle. DGAFP : gestion des problématiques rh. GaRantiR L’iMPaCt de La RGPP les ministères pilotent leurs projets de réformes