Les Apports De Keynes

RD III. la fonction keynesienne de consommation Présentation de la loi psychologique Keynes base sa théorie sur des concepts : les débouchés anticipés par les entrepreneurs en fonction desquels ils fixent leur niveau de production et le niveau d’emploi offert. Il y a donc la possibilité d’un sous-emploi. Alors que la consommation dépend de divers facteurs comme le prix, les goûts, Keynes met l’accent sur le revenu. Pour lui le volume de la consommation réalisée au cours d’une période

Chapitre 2 : La répartition Comment sont réparties les richesses ? 1ére distribution : Lors de la participation de la création de richesses. On apporte sa force de travail, on a en échange un salaire, et si on apporte notre capital, ce sont les moyens de production. Ces deux types de revenus sont les revenus primaires. 2ème distribution : Ce sont les revenus sociaux ou secondaires. Ils sont liés aux risques sociaux. Ils ne découlent pas directement de la participation à la création de richesses

des causes des crises. (Partie traitée par Gauthier Auney). P4 A- La pensée de Keynes. P4 B- La pensée de Hayek et sa critique de Keynes. P6 II- L’intervention de l’Etat. (Partie traitée par Patrick Constant). P8 A- L’Etat ne doit pas intervenir dans l’Economie pour résoudre une crise. P8 B- L’intervention trop importante de l’Etat est « La Route de la Servitude ». P9 III- Keynes et Hayek, des théories différentes confrontées à des contextes différents. (Partie traitée

rémunérées tandis qu’elles pourraient l’être si elles étaient placées sur le marché financier. Keynes met en évidence le fait que plus les taux d’intérêt augmentent plus les agents rationnels ont tendances à placer leurs encaisses monétaires plutôt que de les conserver en liquidité. Donc la demande de monnaie dépend directement du taux d’intérêt, valeur ignorée par les Néoclassiques dans la théorie. • De plus, Keynes introduit la notion de spéculation boursière. Si les agents anticipent une variation

rémunérées tandis qu’elles pourraient l’être si elles étaient placées sur le marché financier. Keynes met en évidence le fait que plus les taux d’intérêt augmentent plus les agents rationnels ont tendances à placer leurs encaisses monétaires plutôt que de les conserver en liquidité. Donc la demande de monnaie dépend directement du taux d’intérêt, valeur ignorée par les Néoclassiques dans la théorie. De plus, Keynes introduit la notion de spéculation boursière. Si les agents anticipent une variation du

Étienne MANTOUX (1913-1945) Économiste libéral (1937) “La «Théorie générale» de M. Keynes” Un document produit en version numérique par Serge D’Agostino, bénévole, professeur de sciences économiques et sociales Courriel : Sergedago@aol.com Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" Site web : http ://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi

détiennent et utilisent des bouts de papiers qui sont intrinsèquement sans valeur. De grands économistes ont pendant un temps affirmé que le problème n’en était pas un car la monnaie ne fait que circuler. Ce n’est en réalité pas le cas comme le montrera Keynes, avec la thésaurisation. 1) La théorie quantitative de la monnaie 1.1 Les origines La théorie quantitative est un morceau incontournable de l’analyse monétaire. Cette théorie a des origines lointaines. Il faudra attendre le XIXème siècle

Dans quelle mesure une reprise de la croissance dépend-elle d'une relance de l'investissement ? " L'investissement est un facteur clé des fluctuations conjoncturelles " (Keynes). Par ceci, il faut entendre deux choses, qui reflètent d'ailleurs bien toute la problématique du sujet qui nous intéresse ici: bien que l'investissement soit un facteur clé d'une croissance économique saine, il reste soumis, comme tout agrégat, aux limites le régissant. Cependant, il reste souvent un doute sur le sens

de rareté. Conséquence : L'homme doit effectuer des choix. C. Les notions de la science économique Quatre principes fondamentaux : - la notion de besoins. Les individus ont des besoins qui les poussent à agir pour les satisfaire. Keynes distingue les besoins absolue : Ils sont ressentie qu'elle que soit la situation des autres (boire, manger, ...) et les besoins relatifs : C'est un besoin éprouvé au contact des autres (imitation, différenciation, ...). - la notion de biens. Les

ainsi un fossé entre ce pays et le reste de l'Europe. Le téléphone, l'électricité, le train, l'automobile apparurent dans la seconde moitié du XIXème siècle, transformant le mode de vie des européens. La seconde révolution industrielle allait apporter un progrès et un bien être illimités… En 1851, une exposition internationale se tint à Londres, où furent présentés les objets les plus innovants. Aucun événement ne pouvait mieux symboliser le grand optimisme dérivant de l'expansion de la science