Les Apports De Keynes

évoluer et exploiter les nouveaux outils qui apparaissent, et notamment les mathématiques avec le calcul différentiel. L’économie devient alors une annexe mathématique. On utilise une unité marginale : « Quelle est la dernière unité produite qui a apporté satisfaction ? » et « Quelle est la satisfaction que procure la dernière unité consommée ? » afin d’orienter les études économiques, ainsi que la production L’analyse micro-économique Le courant néo-classique fait un premier pas dans l’analyse

III : Fonction de la consommation 1- Définition 2- Analyse Keynésienne de la consommation 3- La consommation du revenu réel 4- La propension moyenne et marginale à consommer 5- La loi psychologique fondamentale de Keynes 6- Vérification empiriques de l’analyse de Keynes Chapitre IV : L’épargne 1- Définition 2- Les différentes formes de l’épargne 3- La fonction de l’épargne 4- La propensions moyenne et la propension marginale à épargner 5- La théorie du cycle de vie de Modigliani

que l’on peut reculer cette échéance, on peut résorber l’écart par deux solutions : - La mortalité. - La baisse de la natalité. 2.2.2 Les analyses économiques. Les apports économique de Malthus ont été mises en lumière par Keynes, les apports de Malthus sont des réflexions qui se situe à court terme, c’est pour cela que Keynes l’a repris. Malthus contredit smith, il n’est pas d’accord avec la valeur travail. Pour Malthus la valeur des choses va être déterminer par la loi de l’offre et la demande

il est proportionnel au capital avancé. Pour Smith, il faut s’intéresser aux taux de profit. Taux de profit : il vient en déduction sur le fruit de la valeur du travail. Le profit est en quelque sort une ponction sur une valeur qui est apporté sur le travail. Il nous dit que le profit c’est ce qui reste au capitaliste quand il a vendu la marchandise une fois qu’il a payé les salaires et la rente. En disant ça, Smith a un raisonnement circulaire : pour connaître le prix naturel d’un bien

Optimisation de la productivité par rapport aux ressources (capital et travail) ⇨ Equilibre = Concurrence Pure et Parfaite, donc sans intervention de l’Etat. B – Loi de la valeur : La valeur d’un bien se mesure selon la satisfaction qu’elle apporte. La valeur est donc subjective, elle dépend de l’utilité du bien. La valeur est décroissante car l’utilité marginale du bien est décroissante. La négociation et le tâtonnement définissent le matché, les décisions. C – Equilibre général de l’économie (Léon

place jusqu’à la fin de la 2nd Guerre Mondiale. Puis avec l’intervention de Beveridge, la France se tourne vers une logique d’assistance. * « L’Etat au cœur du développement ». Les mercantilistes Adam Smith détestait les mercantilistes, mais Keynes (à ses débuts) était pour le protectionnisme. L’Etat met en place un politique conjoncturelle (court terme) pour lutter contre l’inflation et le déficit, c’est une politique de rigueur (libéral). Pour lutter contre le chômage et la récession, il met

réelle et mo : elle n’intervient pas dans l’activité éco. L’inflation est un phénomène monétaire : thèse quantitative de la monnaie. Keynésien : 3 motifs de la demande de mo : transaction (comme néo) ; précaution (école de Cambridge) ; spéculation (Keynes). Dépendance entre sphère réelle et mo à travers le taux d’i : prix de renonciation à la liquidité : prime de liquidité. Offre de monnaie exogène déterminée par la BC. La D de mo est fonction du taux d’i. M= L1(Y) : transaction et précaution +L2(Y) :

Le père fondateur de la macroéconomie est KEYNES (1883, 1946) auteur de La théorie générale de l’emplois, de l’intérêt et de la monnaie, publié en 1936. 1) Le contexte de la crise des années 30 : La théorie générale apparaît pendant la crise des années 30. On peut remarquer quelques différences entre la crise des années 30 et la crise d’aujourd’hui comme la différence de réaction face à celle-ci. Aujourd’hui, pour faire face à la crise, un apport d’argent important a été fait alors que pendant

intermédiaire  entre la grosse industrie et l’artisanat. Ralentissement du progrès définitif : détention des moyens de production par les travailleurs, protection de l’ouvrier contre la misère, la maladie et la vieillesse. Les apports majeurs de Sismondi : ▪ Garantisme social : apporter des garanties aux individus ▪ Théorie de la croissance : répartition des revenus (théorie des délais voir plus haut) ▪ Donner à l’état des moyens d’intervention au niveau économique Deux situations particulières :

agent économique ayant le droit de nous contraindre à payer. B/ Consommation des services collectifs Les services collectifs sont très rares. Ils sont pris en compte par l’état (ex : armée, les gens n’ont pas conscience de la sécurité qu’elle apporte, et ne s’y intéressent donc pas. Ne sachant pas combien ils consomment, ils ne sont bien entendu pas prêt à payer.). Il existe deux types de services collectifs : [pic] purs : ils regroupent les deux caractéristiques, et l’état est obligé de