Les Apports De Keynes

formulé "l'économie de bien être". Il a construit le "diagramme Edgworth" qui représente l'échange entre deux consommateurs. L'échange selon lui cesse quand c'est impossible d'augmenter l'utilité marginal de chacun. (1842-1924) Alfred Marshall: Keynes disait "nous sommes tous les élèves de Alf.M" C'est l'architecte de l'école de Cambridge. Ces idées constitue un résumé de l'école libéral. Pour lui, pour contribuer à la résolution des problèmes sociaux il faut mobiliser tous les moyens de l'Etat

déjà donnée. On peut faire un parallèle entre l'individu vu par Smith et celui mis en scène par Keynes : chez Smith, la notion de sympathie est une donnée naturelle qui conduit au mimétisme. Chez Keynes, le mimétisme tente à être rationnel, dans un monde d'incertitude où ses repères sont les prix, l'imitation est une donnée fondamentale (exemple de la stratégie des acteurs sur les marchés financiers de Keynes). La philosophie kantienne est en phase avec l'idéologie libérale de l'époque. Chez Kant, l'individu

: le cas Chinois 1ère Partie : De l'Antiquité à Adam Smith Chapitre 1 : Les inspirateurs de la pensée occidentale 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 2.1. 2.2. 2.3. La vie économiques chez les anciens Le peuple hébreu Les philosophes de la cité Apport de l’empire romain Apport des premiers Pères de l’Eglise Le polycentrisme du Moyen Age Le contexte d’analyse Contributions à l’analyse économique l'économie politique 3.1. 3.2. 3.3. 4.1. 4.2. 4.3. Evolution institutionnelle et philosophique Les grandes lignes

redistribution. Document 2 Refonder la politique économique Les différentes théories et ensei-gnements du XXe siècle ont permis d’éviter un nouveau 1929. Mais en 2011, politique économique impuissante (politiques de relance inefficaces). Keynes n’est plus la solution au-jourd’hui, mais les néoclassiques ne sont pas mieux. Beaucoup d’incertitude. Quelle politique économique ? Tenir compte des interdépendances et voir à long terme. Contraintes : mondialisation. Décollage des pays

Introduction aux grandes théories économiques 15.10.12 II-D Equilibre partiel Equilibre général La théorie générale de l'emploi, de l'interêt et de la monnaie, Keynes : politique de relance budgétaire. Toutes les politiques mises en place après la crise 1929, cet ouvrage n'était pas parvenu, Keynes refuse de croire en l'idée qu'il y a des mécanismes d'autorégulation : ils ne résolvent pas le problème du chômage et de l'inflation. Il n'y a pas de déséquilibre possible : d'une part

et au travers d’un Etat producteur. Autre hypothèse fondamentale des classiques, c’est le commerce international. Les Etats doivent commercer entre eux, mais selon un mode bien particulier, en fonction notamment de leurs avantages comparatifs (apport de Ricardo). Les nations ont intérêt à se spécialiser dans les biens qu’elles maîtrisent particulièrement. IV. LeMarxisme 1850-fin 20e siècle. Karl Marx, allemand. Deux traités fondamentaux : « Le manifeste du parti communiste » 1847, «

de : Se familiariser avec ces différentes écoles de pensée économique afin d’en saisir les principales divergences. Connaître les principaux auteurs économiques Saisir les outils d’analyse économique des principales écoles de pensée et leurs apports essentiels à la théorie économique 1) La pensée Mercantiliste C’est l’ensemble de doctrines et de politique économique qui s’est développé en Europe au XVIème et XVIIème siècle. Elle correspond à la période de transition entre le féodalisme

l’impôt : il pense qu’il ne faut pas que l’imposition soit trop lourde car si l’imposition est trop forte on investira moins. 4- Jean-Baptiste Say (1767-1832) Français, lyonnais, à travaillé dans l’assurance et à écrit pour l’économie mais ce qu’il à apporté de plus important est sa célèbre loi des débouchés. Il dit : une crise économique grave, en théorie, ne peut pas se produire. C’est parce que tous les produits trouvent des débouchés car la production, théoriquement, engendre des revenus, les gens

équilibre du marché monétaire et du marché des biens et services. I) Le modèle IS-LM Il faut noter que l’on se place ici en économie fermée. 1)Equilibre du marché pour les biens et services : la courbe IS Equilibre Le modéle ISLM apporte d’emblée un point de vue macroéconomique, c’est-à-dire qu’il raisonne sur des agrégats. Ainsi, l’ensemble des biens y est assimilé à la production nationale (le PIB) qui est évalué en unités monétaires. Cette production, Y, est formée de biens de

« révolutionnaire » a vu le jour en 1936 sous l’impulsion de l’économiste John Maynard Keynes.L’échec du « laisser faire, laisser passer » lors de la grande crise de 1929, conduit Keynes à mettre l’accent sur les défaillances de l’économie de marché et à justifier l’intervention de l’Etat dans la vie économique. En effet, Keynes considère que la « main invisible » n’est pas infaillible et que les mécanismes du marché n’apparaissent pas suffisant pour rétablir le cours normal des choses. Une intervention