Les Apports De Keynes

| |2.3 Effets pervers attribués aux marchés financiers accomplis et autonomes | |2.3.1 Bulle financière et théorie du concours de beauté chez Keynes | |2.3.2 Polémiques sur le bien fondé économique de la financiarisation | Les outils et pratiques La bourse, organe

rente foncière. Loi des avantages comparatifs => Si un endroit du monde est plus compétitif sur un produit, on le laisse pour se concentrer sur un autre produit ou on sera vraiment compétitif. Say : Ce n’est pas la terre qui apporte la richesse, c’est la production qui donne une richesse au développement du Pays …  Plus il y a d’offres, plus il y a de demandes. (Références journaux économiques … : Les Echos, La Tribune, OFCE, Insee) La main invisible : Trouver l’intérêt

Entre Marx et Keynes la coexistence est-elle possible ? André SEGURA Cet article s'inscrit dans la conception walrasienne des rapports entre les sciences telle que J.M Keynes l'a mise en oeuvre. Pour L. Walras, l' “économie politique pure est une science toute à fait semblable aux sciences physico-mathématiques” (Walras [1874-1877], p.29) ; elle doit adopter leur “méthode rationnelle” et donc s’abstraire du réel pour y retourner. Mais L. Walras ne se contente de faire des emprunts méthodologiques

EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre crée sa propre demande » =>pour Keynes, la demande est la base de l'éco. « la production est la combinaison du facteur travail et du devoir capital » C*T=P evaluée en valeur

* A créé (en 1909) la Fondation de la Société de Sociologie Allemande avec G. Simmel et F. Tönnies. * Conseiller de la délégation allemande à la conférence de paix de Versailles de 1919, quand Keynes s'y trouvait également mais dans la délégation britannique, violemment opposé (tout comme Keynes) à l'ampleur des réparations imposées à l'Allemagne. | | CONTEXTE ECONOMIQUE, SOCIAL & POLITIQUE * Conjoncture économique & politique favorable : * Empire de Guillaume II * Expansionnisme

ménages, * les entreprises, * les entreprises financières, * les administrations privées * l’administration publique * le non-résident (le reste du monde) Ces secteurs institutionnels souhaitent que les économistes puissent apporter des solutions au problème du chômage, de l’endettement, de l’inflation, de la baisse de la consommation, etc. Depuis la fin des 30 Glorieuses (45-75), période où la plupart des pays industrialisés a connu la plus grande prospérité de l’histoire

maintenir au mieux le niveau de vie de la population et aussi pour sauver des entreprises, limiter la chute des marchés et relancer la croissance économique. Cependant, cette politique de dépenses n’a pas toujours les effets souhai[***]tés, ce qui apporte aux Etats une situation où la dette publique est beaucoup plus importante que les bénéfices souhaités. Dans les cas les plus extrêmes, l’Etat est en faillite et n’arrive plus à rembourser ses dettes seul. C’est notamment le cas en Grèce, par exemple

marginale du capital désigne le taux de rendement interne de l'investissement. Elle sert de taux d'actualisation des recettes tirées de l'investissement. A savoir, l'investissement est d'autant plus important que le taux d'intérêt est faible. Pour Keynes, l'investissement dépend de la comparaison entre l'efficacité marginale r de l'investissement et le taux d'intérêt pratiqué sur le marché des capitaux. Si r > i, la décision de réaliser l'investissement est justifiée. Il peut être financé soit à partir

correspond au travail fourni pour la production ce produit (le diamant.) Les néo-classiques vont refuser cette conception : Valras, Jevens et Menger vont résoudre le paradoxe du diamant en montrant que ce n’est pas l’utilité du bien mais l’utilité en plus apporter à un bien de plus. Ce qui compte est l’utilité marginale. Ce que postule l’orthodoxie néo-classique que l’utilité marginale correspond `a l’augmentation infini décimal de la quantité consommé. L’utilité marginale est la dérivée de la fonction utilité

regrouper les grandes doctrines économiques qui ont suivies la période antique et de moyen âge comme suite : Mercantilisme Physiocratie Ecole classique Néo classiques Keynes 17/04/2012 Cours de Omar TIJANI 24 Complément de bibliographie  Roger Dehem (1984), « Histoire de la pensée économique: des mercantilistes à Keynes ». Édition : Presses Université Lava ;  Marc Montsoué, Serge d’Agostino, Arcangelo Figliuzzi (2008), « 100 fiches pour comprendre l'histoire économique contemporaine