Les Amants réguliers

séduisante, elle est un double ambitieux du héros. Après la mort de son mari, elle épousera Duroy. Celui-ci finira par divorcer après lui avoir extorquer sa fortune. Clotilde de Marelle: Première maîtresse importantes de Duroy, ils resteront liés et amants tout au long du roman (avec quelques interruptions). M. Walter: Directeur du journal La Vie Française et puissant financier. Il s’enrichira en faisant des placements boursiers au Maroc à bas prix, avant l’annexion du pays, afin de les revendre beaucoup

sous-entendre l’insatisfaction perpétuelle de sa sensualité, sa frivolité invétérée, son caractère capricieux et volage, son infidélité constante, sa vie dissolue. Ainsi sont suggérés la terrible jalousie du poète, le désaccord total entre les deux amants, qui ne pouvaient être apaisés que par la mort. La strophe se terminant par une virgule, la phrase commencée dès le vers 1 se poursuit donc. Mais, des propositions subordonnées temporelles, on passe à la proposition principale qui s’impose dans

Le vin " : poème désigné comme l'un des plus poèmes qui peuvent inciter les gens à utiliser l'un des " paradis artificiels "( ici l'alcool) pour se libérer du spleen. " Gros rouge des chiffonniers et des assassins, nectar des femmes galantes et des amants ". * " Les Fleurs du mal " : partie montrant toutes sortes de vices et de " péchés " de la chair, où les " Femmes damnées " se joignent pour " contempler (son) cúur et (son) corps sans montrer signes de dégoûts ". * " Révolte "

J. elle n’est pas incluse au troupeau des mugissantes : opposition lexicale sourire/mugissement, brillât/noir, douceur/se tordaient . Est-ce la seule qui a touché D.J. ? en position de suppliante, tout son drame tient dans le rime signifiante : amant/serment Sa présence aux Enfers, de même que celle des autres personnages victimes de D.J. invite à lire le poème comme une fantasmagorie née de l’imagination de D.J. Ceci expliquerait l’aspect presque parodique de cette Elvire « maigre » . Cinquième

Versailles, à l'ouest de Paris, J'étais assise sur un banc, songeuse. J'appréciais les senteurs florales, et me relaxais tout en étant bercée par le vent frais et paisible dans mes cheveux, Les nobles passaient et repassaient devant moi dans un rythme régulier presque monotone. J'étais loin de m'imaginer que ce qui allait m'arriver resterait à jamais gravé dans ma mémoire. Un homme, jeune, passa devant moi et se posta non loin de là où je me trouvais. Quand je l'aperçus, je ne pus détourner mon regard

certainement le plus célèbre de la Pléiade, et le plus reconnu à son époque. Ses recueils de sonnets amoureux sont toujours dédiées à une femme ; ainsi, la Continuation des amours s’adresse t-elle à une jeune paysanne nommée Marie. Ce poème est un sonnet régulier de type CC DEED, en alexandrins. Le poète tente de convaincre Marie de la nécessité de l’aimer et d’aimer de façon plus générale. Nous pourrons nous demander comment, derrière le lyrisme amoureux apparemment personnel et intime se dessine une conception

trentième appel sur le portable de sa femme et toujours aucune réponse. Il avait émit l’idée d’aller la rejoindre à son travail mais son intuition lui disait qu’elle n’était pas partie travailler ce jour là mais plutôt qu’elle avait rejoint un homme, son amant, dont le jeune mari soupçonnait l’existence. Soudain, une idée lui traversa l’esprit. Il ne voulait pas en arriver à une telle décision mais au fur et à mesure qu’il repensait à ce mot sur la table de la cuisine, cette idée avait germé dans sa tête

|Ma bohème : p.103 |Mon rêve familier : p.99 | |Les chats : p.80-81 |Le donneur du vol : p.103-104 | | |La mort des amants : p.84 | | | (1) Tous ces exemples sont tirés du livre « Anthologie de la poésie française De Villon à Verlaine » Le mètre le plus utilisé

cette scène une querelle amoureuse non pas seulement entre Cléonte et Lucile mais aussi entre Covielle et Nicole .À la scène 10 , les amants se trouvent et souhaitent régler leurs différents ainsi qu’expliquer l’agissement des jeunes filles.Cette scène est complètement théâtralisée , dans laquelle de courtes répliques s'enchaînent (formant une stichomythie) les amants expriment tour à tour leurs mécontentement dans une sorte de poursuite →extrait 1h 10 min 50 sec Le bourgeois gentilhomme Michel Galabru

avec Le Menteur en 1643. Élu à l’Académie en 1647, il continue à écrire des pièces jusqu’en 1674. Il produit aussi trois discours théoriques sur le théâtre. Il meurt en 1684 à l’âge de 78 ans. En 1630 un débat oppose les « réguliers » partisans du modele des unités, et les « irréguliers » favorables à la multiplicité des lieux, des moments et des intrigues. Ceux-ci ont pour argument que le réel est fait d’actions qui se déroulent en des moments et des lieux divers. Ils