Les Amants réguliers

bras écarté, et le petit cheval trottait l'amble dans les brancards qui étaient trop large pour lui. Les guides molles battaient sur sa croupe en s'y trempant d'écume, et la boîte ficelée derrière le boc donnait contre la caisse de grands coups réguliers. » p. 124-125. La monotonie est ressentie au niveau visuel mais aussi au niveau sonore. L'image des roues qui tournes fixées par Emma est complétée à la fois par le bruit du trot ample du cheval et par celui de la boîte. La régularité du quotidien

puis enfin dans une garçonnière qu’elle loue pour qu’ils puissent donner libre court à leurs ébats. Le peu d’argent que possède Duroy est vite dilapidé dans les plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy se sauve

Degas qui vont beaucoup l'inspirer par la suite. Il réalise des illustrations pour différents ouvrages touchant des mouvements artistiques naissants, comme le dadaïsme et le surréalisme. Casagemas, un ami du peintre, après avoir tenté de tuer son amante Germaine qui était une danseuse volage du, se suicide à Paris2. Picasso, bouleversé par la mort de son ami peindra un tableau clé La Mort de Casegemas3 dont il dira qu'il a conditionné grandement son passage à la période bleue4, empreinte de douleur

chevalier romain, ou l'histoire de notre tems - où les amours du régent sont évoquées, pour mieux les excuser - collaborateur émérite à la Gallia Christiana, défroqué - ou plutôt ayant quitté son ordre régulier sans que son bref de translation eût été fulminé-, exilé, converti au protestantisme, amant de Lenki Eckhardt, ce pour la partie de sa vie antérieure à l'édition de notre roman. Comme sa vie échevelée, l'abbé Prévost, au moment de notre texte, a déjà singulièrement compliqué sa trame narrative:

une périphrase hyperbolique afin de se désigner lui-même qui est « maître de l’univers », ce qui montre que même en étant « maître de l’univers » il ne peut tout de même pas être avec la femme qu’il aime- Ce 2ème vers est par ailleurs un tétramètre régulier- Ensuite, au vers 3 nous observons la reprise anaphorique des termes « je puis » montrant ainsi qu’en tant qu’empereur il peut beaucoup, il est capable de beaucoup de choses mais il est dans l’incapacité de rester avec Bérénice montrant alors un

différente, ce changement de rythme, à partir du vers 49, pouvant être comparé avec celui qu'on trouve dans “Le lac” quand Elvire parle, même s’il lui est inverse, si Hugo, même s’il dit que son «âme est troublée», est en fait plus calme, le rythme étant régulier, ample, dans cette plainte qui n’est pas rompue, comme dans “Le lac”, par l’ardeur épicurienne. Ce discours commence pourtant par une apostrophe, «Ô douleur !» qui est comme le bilan de ce pélerinage qui est, en effet, essentiellement douloureux

ZIANI Lyna TD ETHNOLOGIE Les matchs de football, un sport international côtoyer par beaucoup. Surnommé "L'opium du peuple", le foot fait de véritables adeptes réguliers, attendant avec impatience les " derbys ", matchs qui opposent 2 clubs, opposés ou proches. Compétition, esprit d'équipe et émotion sont au rendez-vous. Cependant qu’est ce qui rend un match de football aussi captivant à regarder? Ce qui se passe dans les gradins n’est-il pas aussi important que ce qui se déroule sur

C:) Utilisation de nombreuses images... pour suggérer l'amour: vers 24 --> Métaphore Chute du poème vers 38 --> assoupissement de la vie et des amants D:) Le lyrisme du texte vient de la musicalité... liée à la parfaite régularité dans la disposition des vers et des strophes. Cf: l'architecture du poème, retour régulier des hepta et pentasyllabes, 3 douzains ponctués par un distique + rimes. Conclusion: Ce poème met en musique un rêve d'harmonie, d'entente idéale, avec

compensés par ceux festifs. Aussi manger jusqu'à l'indigestion, c'est prendre du bon temps. Mais la gourmandise pousse à la paresse et la graisse prend la forme d'un cocon protecteur : « Pourvu que son mari et son amant fussent contents, que la maison marchât son petit train-train régulier, qu'on rigolat du matin au soir, tous gras, tous satisfaits de la vie et se la coulant douce, il n'y avait vraiment pas de quoi se plaindre ». Même en jour de deuil, la nourriture coule en abondance : « des litres

- elle n’est pas incluse au troupeau des mugissantes : opposition lexicale sourire/mugissement, brillât/noir, douceur/se tordaient . Est-ce la seule qui a touché D.J. ? - en position de suppliante, tout son drame tient dans le rime signifiante : amant/serment Sa présence aux Enfers, de même que celle des autres personnages victimes de D.J. invite à lire le poème comme une fantasmagorie née de l’imagination de D.J. Ceci expliquerait l’aspect presque parodique de cette Elvire « maigre » . V. Cinquième