Les Acteurs De Bonne Foi Scene 2 Commentaire

Objet d’étude et perspective La poésie : étude d’un lieu commun poétique. Convaincre et persuader dans le texte poétique Textes étudiés • • • • Textes et activités complémentaires Texte 1 : Ronsard, Ode à Cassandre, « Mignonne allons voir… » Texte 2 : Ronsard, Sonnet pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille… » Texte 3 : Corneille, « Stances à Marquise » Texte 4 : Queneau, « Si tu t'imagines » • Lecture complémentaire : Orphée et Eurydice dans les Métamorphoses d’Ovide (X, 1-105) • Groupement

Plaute, auteur latin du IIIè-IIe s. avant J-C. C’est une pièce en trois actes et en vers, jouée pour la première fois en 1668, juste avant l’Avare, alors que s’achève la guerre de Dévolution menée par Louis XIV. Comme le prologue qui la précède, la scène 1 de l’acte I participe à l’exposition. Il s’agit d’un monologue mené par Sosie, le valet d’Amphitryon, valeureux général thébain en guerre contre les habitants de Télèbe. Il est chargé de porter un message à Alcmène, la femme d’Amphitryon, celui de

Molière s’en inspire pour créer son personnage. A/Le mythe de Dom Juan et le Don Juanisme  Le donjuanisme est l’incapacité pathologique de connaître un amour durable et la recherche insatiable de nouvelles conquêtes.(cf. La tirade de l’inconstance I,2). B/La quête de Dieu Mais l’œuvre de Molière n’est pas que cela, le donjuanisme n’occupe guère que deux actes sur cinq dans la pièce. L’inconstance de Dom Juan est relayée, dès l’acte Trois, par une quête insatiable de la Vérité et une négation farouche

COMMENTAIRE : « DOM-JUAN », Molière Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous le nom de Molière, est né à Paris en 1622. Avant de se lancer dans la comédie, Jean-Baptiste fait des études de droit. C’est en 1643, qu’il prend le nom de Molière et qu’il fonde, avec l’actrice Madeleine Béjart, la troupe de l’Illustre Théâtre. Cependant, cette dernière n’arrive pas à s’imposer sur Paris, alors elle a parcouru la France de 1645 à 1658. Lors de cette « tournée », Molière apprend son métier, il passe de

L'illusion comique de Pierre Corneille Pierre CorneilleMise en scène : Frédéric Fisbach     En amont du spectacle Enjeux littéraires En montant l'Illusion comique de Corneille, le metteur en scène Frédéric Fisbach manifeste non seulement le désir de faire un geste implicitement politique- proposer en contrepoint au statut problématique des intermittents du spectacle un éloge du théâtre- mais aussi d'une façon plus générale, celui d' exhumer la réjouissante modernité de ce jeune " monstre

l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables aux classes montantes qui réclament que les distinctions soient établies par le mérite et plus par la naissance. Aristocrate 2 % et détient le pouvoir politique) ] · Vie intellectuelle

la révélation. * C’est justement pourquoi le Démon l’aborde, pour le détourner de la vérité. À un moment clef de la méditation de Cipriano, lorsque celui-ci dit (p. 61) : « Cette vérité cachée, / il me faut la tirer au clair », le Démon entre en scène par cette réplique en aparté : « Tu auras bien réfléchir, Cipriano, / tu ne parviendras jamais à la comprendre, / car moi, je te la cacherai. » La discussion qui suit révèle au Démon à quel point Cipriano est proche de la vérité ; furieux, il sort

du XVIème au XXème siècle. Lectures cursives Au moins une des oeuvres du groupement [+ inscrire d'autres titres de romans qui s'inscrivent dans la problématique d'étude, que vous connaissez bien et qui pourront nourrir l'entretien ] SEQUENCE 2 “Tant pis pour le lecteur paresseux : j'en veux d'autres. Inquiéter, tel est mon rôle” Les Faux-Monnayeurs d'André GIDE (1925) | Objet d'étude Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde. Perspective dominante | Perspective

consignée dans les Carnets (août 1942): «L'Étranger décrit la nudité de l'homme en face de l'absurde. La Peste l'équivalence profon de points de vue individuels en face du même absurde. C'est un des progrès qui se précisera dans d'autres œuvres»2. Du «je» à la pluralité des «points de vue». Camus situe le «progrès» de la Peste dans la multiplication des regards. La subjectivité reste première («points de vue individuels»), mais elle est relativisée, concurrencée, et nivelée par d'autres subjectivités

caractéristiques du théâtre classique (sujet historique, division en 5 actes, premier scène d’exposition, dernière scène tragique) mais également un certains nombre de traits nouveaux propres au drame romantique (unité de temps, de lieu, et d’action ainsi que les règles de bienséance non respectés, alternance de scènes comiques, lyriques ou épiques, alexandrins parfois mal menés, nombreuses didascalies). La scène 6 de l’acte III nous offre une confrontation magistrale entre Don Carlos, Roi d’Espagne