Léproserie

sont ensuite de plus en plus surveillées par la Royauté. XIIe siècle et suivants : des établissements spécialisés sont créés dans la lutte contre la lèpre aux périphéries des villes. Dans son testament, Louis VII (1120-1180) fait des legs à 2000 léproseries. 1260 : Louis IX (Saint-Louis) fonde l’hospice des quinze-vingts. François 1er (1515-1547) : crée le Grand Bureau des Pauvres, qui avait pour mission de coordonner l’activité des hôpitaux du royaume; et confère aux offciers royaux l’administration

Norton 500cm³ surnommée « La vigoureuse » (La poderosa en espagnol) dans des conditions souvent précaires (dormant souvent volontairement dans la cellule d'un commissariat), avec pour objectif de passer quelques semaines comme volontaires dans la léproserie de San Pablo sur les bords de l'Amazone au Pérou. Guevara relate cette épopée dans Diarios de motocicleta: Notas de viaje por América Latina[16] . Le périple qui dure 9 mois et mènera Guevara jusqu'à Miami les fait d'abord arriver au Chili où ils

christ. Cette sainte chapelle participe aussi à la sacralisation du pouvoir du roi. De même que des initiatives de Louis IX qui ont pour but de marquer la charité et la piété. Manifeste dans la pratique charité et piété, fait des donations aux léproseries, des dons aux établissements d’assistances, aux hôtels dieu, il fonde un hôpital des 15-20, destiné à accueillir 300 aveugles. Fonde des monastères cisterciens, et donations aux nouveaux ordres, mendiants et franciscains. Le roi est un véritable

cancers [invisible]) d’autres le sont davantage (scorbut, gangrène). Ces maladies font l’objet de processions mais l’on a tt de même consicence des risques de transmissions. # ainsi le lépreux est systématiquement exclu (en recul à la fin du M A) : léproserie, crécelle pour annoncer leur arrivée. _ pestes (le mot souligne une peur panique mais nous ignorons la plupart du temps de quoi il retourne exactement, plus virulentes dans les villes car espace clos), lèpre et syphilis (originaire d’amérique 

repenti auprès de Marie qui le sauve. On appellera ce genre d’histoire une histoire de Faust (pacte avec le diable pour devenir un surhomme) qui veut dire un miracle. - Les congés sont des textes que le poète lyrique rédige lorsqu’il est atteint de léproserie (lèpre). C’est une forme littéraire dont Rutebeuf donnera ses lettres de noblesse. 5. Le théâtre Il y a trois types de théâtre : le théâtre religieux (drame liturgique), le théâtre laïc à sujet religieux, et le théâtre laïc à sujet comique

plates-formes se crénèlent dans la nue, — les manoirs du sire de Ventoux et du seigneur de Fontaine, dont les girouettes percent des massifs de verdure, — le monastère de Saint-Maur dont les colombiers s’aiguisent au milieu d’une volée de pigeons, — la léproserie de St-Apollinaire qui n’a qu’une porte et n’a point de fenêtres, — la chapelle de St-Jacques de Trimolois, qu’on dirait un pèlerin cousu de coquilles ; — et sous les murs de Dijon, au-delà des meix de l’abbaye de St-Bénigne, le cloître de la Chartreuse

des menses épiscopales et abbatiales, également composé d’immeubles et de rentes que composent les bénéfices. Parallèlement l’église assure l’exercice de la charité, c’est pourquoi il faut compter parmi les biens ecclésiastiques les hôpitaux, les léproseries, et les maladreries. Sont également rattachés à l’Eglise des établissement destinés à la formation de la jeunesse, elle accueillera les dons, et les lègues faits aux écoliers pauvres. A cette époque la population est profondément religieuse, et

en 542 et à Paris en 651. Et les initiatives se multiplient un peu partout. Tous ces lieux accueillent, côte à côte, pauvres, malades, vieillards, orphelins ; parfois aussi naissent les institutions plus spécialisées : hospices, orphelinats, léproseries, etc. Mais qui s’occupait de tous ces infortunés ? Nous manquons d’informations mais il semble bien qu’il n’existait pas encore à l’époque d’ordres spécialisés dans le soin aux malades. Le plus souvent, les soins sont donnés par ces nobles personnages

foyer de la diffusion de culture au Moyen Age, et il y a eu un essor considérable avec de nombreux ordres qui naissent (Chartreux, Bénédictins). Le monastère prend en effet une mission de service public (enseignement, assistance, santé telles les léproseries ou les maladrerie). Finalement du fait de cette confusion des cultures religieuses et politiques, notre culture occidentale est marquée par toute la symbolique et thématique chrétienne. Cette culture chrétienne va s’incruster dans notre culture

visites aux malades, la surveillance et l'assistance aux orphelins, l'assistance aux indigents, l'asile pour les voyageurs, l'assistance aux prisonniers. L'action charitable de l'Église s'étendra durant les VIIe et VIIIe siècle avec l'apparition de léproseries, d'hospices pour les vieillards, la création de l'hôtel-Dieu, etc. Ces sites sont financés dans un premier temps par la dîme, un impôt clérical, puis par l'impôt royal, sous l'ère de Charlemagne. Progressivement, la pensée devient plus critique