Leila Sebbar

la poésie, les essais ou encore des nouvelles. Ils essaieront tant bien que mal de révéler au grand jour un grand nombre de tabous sociaux et religieux. Au sein de ses écrivains, on peut trouver : Rachid Boudjedra, Rachid Mimouni, Tahar Djaout, Leila Sebbar, Achour Fennir, Abdelhamid Benhadouga, Yamina Mecharka et Tahar Ouettar. A présent, certains des auteurs algériens se qualifient d’écrivains d’une littérature d’expression bouleversante, principalement à cause du terrorisme sévissant durant

étudiants dans ce corpus élaboré dans le but de l’approche interculturelle de l’expérience de construction d’appartenance dans l’apprentissage du français comme langue étrangère  : Milan Kundera, Ying Chen, Marco Micone, Amin Maalouf, Nancy Huston, Leïla Sebbar, Dai Sijie, Brina Svit, Nimrod, entre autres, sont des auteurs qui font le récit de leur parcours identitaire autour de la création littéraire en français, langue non maternelle. Comme passeurs culturels, ils représentent cette littérature-monde

monde francophone. Son objet est d’examiner à partir d’un certain nombre de réflecteurs théoriques francophones les modalités de constitution et d’articulation du champ culturel, intellectuel et critique francophone. Nous partirons des œuvres de Leïla Sebbar, Abdelwahab Meddeb, Maryse Condé, Cheikh Anta Diop etc. 

meurtrier d'un soldat allemand pour permettre à cinquante otages de garder la vie sauve -ou sa taire... Dans chacune de ces nouvelles, le guerre est un moment de crise qui révèle les personnalités et marque les individus à jamais. Cote : R SAU Sebbar, Leïla.- La jeune fille au balcon.- Seuil, 1996.- ACHAT DEC 2000. Résumé : Alger aujourd'hui. Que sait la jeune fille au balcon ? que tout est interdit, dangereux,suspect... Elle rêve d'amour, mais elle ne quittera pas son balcon. Dehors, c'est l'heure

appartement, Livre de poche, Albin Michel • Donadey Anne, 2001, Recasting Postcolonialism, Women writing Between words, Heinemann : Studies in african literature • Merini Rafika, 1999, Two major francophone women writers, Assia Djébar and Leila Sebbar, Peter Lang Publishing

187-204. Spécial: Yamina Méchakra: Arris. Paris, ISSN 1270-9131 Marsa édition, 103, Bd. Mac Donald, 75009 Paris. Périodique. 1999 Numéro: 33 -34, Yamina Méchakra: Arris. BENCHEIKH, Djilali. Djilali Bencheikh: Comme Feraoun, écrire pour témoigner. SEBBAR, Leïla. (Interview). p. 151-157. Algérie-Actualité. Alger, E.N.E.R.I.M. Périodique 1972 Numéro: 2 avril (Sur 'L'Anniversaire' de Mouloud Feraoun). 'L'Anniversaire'. 337 , Numéro: 18 mars F.Z. 387 , Onze ans après, l'héritage de Feraoun. Numéro:

o ERNAUX A. (1997). La Honte, Paris Gallimard, coll. NRF o GUERRA Wendy (2008). Tout le monde s’en va (Cuba), Paris, Stock o HUSTON N. (1999). Nord perdu suivi de Douze France, Paris, Actes Sud. o HUSTON N. , Leila Sebbar (1986). Lettres parisiennes : histoire d’exil, Paris, Poche, coll. J’ai lu o LAHIRI Jhumpa (2008). (Une indienne aux USA), Unaccustomed earth (8 novels of migrants), New York, Knopf o LAHIRI Jhumpa (2009). The namesake, New

TOUCHANTI OUAFAE BOUHDA NAJWA EL HACHMI IKRAM EL HAMMOUTI MOHAMED LAMRAHLI DOUAE ABDERRAHMANI ANASS BARCHID ANASS DERFOUFI SAFAE HALOUI OUMAYMA MOUMEN HALA BOUZIANE SALIMA HATTAB OUMAYMA MORCHID-ALAOUI HAJAR TALBI NAJLAA LAKHMISSI JAWAD ELMOUNJID MUSTAPHA SEBBAR OUASSIM IKRAME HAMMANI OUCHENE RAOUNAK LAMYAE ZINOUNE JIHANE DIRA DRISS YAAGOUB BOUDOUZ SOUAD BOUJTAT SOUMIA RBEI HAMID AROUHID RANDA AMINI-ALAOUI IMANE HADDADI MAROUA KOUJI SIHAME LAMRABAT SOKAYNA LOUARDI ASMAE KHANFRI SANAE MAATAR AMAL YAHYA LAHRAOUI

accompagne cette exploration de soi dans le désir avec l’autre, entre deux autres : de la soumission (au client, à la belle-mère), la génuflexion devient le signe d’une invitation. C’est également la protagoniste du premier roman de Sonia Chamkhi, Leïla ou la femme de l’aube (2008), qui prend en charge ce questionnement, au gré d’un parcours interurbain, des ruelles de Tunis à sa périphérie jusqu’à Chorbègne. A la différence des autres récits étudiés dans cette étape de notre étude, il initie un parcours

mais, en même temps, puisqu’elle est, pour ainsi dire, à l’extérieur de cette langue, elle peut aussi s’observer jouer. Et s’entendre aussi, car elle est très consciente de son accent, qui la distingue des Français qui l’entourent. Elle écrit à Leïla Sebbar : «Mais mon accent, au fond, j’y tiens. Il traduit la friction entre moi-même et la société qui m’entoure, et cette friction m’est plus que précieuse, indispensable» (Lettres, 13). Parlant français, elle a souvent «l’impression de vivre entre guillemets»