Leibniz Pangloss

Voltaire critique les philosophes de son époque qui ont oublié de parler des thèmes desquels Voltaire en parle dans son ouvrage (Leibniz, Wolf), l’Eglise, le roman sentimental, l’optimisme de Pangloss, donc de Leibniz, l’intolérance, le bêtise, l’obscurantisme, le fanatisme, la guerre et la triste condition féminine de son époque. Quelques exemples : critiques à Leibniz Pangloss qui donne une leçon de physique expérimentale à la femme de chambre p.33. La guerre : Candide avec les Bulgares. Voltaire

éléments du conte traditionnel a- Le schématisme des personnages Noms portraits (prénom donnant des informations sur le personnage : - Candide = personnage naïf; -« Thunder-ten-tronckh » avec [t] = élément dur et vient du mot « tonnerre »; - Pangloss: composé de « pan » = tout et « gloss » = langue Il a du savoir. Les personnages sont réduits à un détail caractéristique : - Cunégonde est associée à de la nourriture « fraîche », « grasse », « appétissante » -> renforce la beauté et la jeunesse

docteur Ralph, avec les additions que l’on a trouvé dans ses poches lorsqu’il mourut à Mindem en l’an grâce 1759. Le titre « Candide ou l’optimisme » peut parler du bonheur et de la philosophie car « l’optimisme » est une philosophie se référant à Leibniz. Voltaire est adepte à cette philosophie : tout est bien dans le meilleur des mondes, car Dieu le veut. Ce titre accroche la curiosité du lecteur : « Candide » qui est ici un nom propre a pour signification naïf, innocence, pureté ; et l’optimisme

Voltaire rédige en 1758 Candide, un conte philosophique qui contredit la théorie de Leibniz selon laquelle tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais sans la détruire tout à fait puisque la plupart des personnages finissent par cultiver leur jardin tranquillement en y renonçant. Le conte est publié en 1759, anonymement, puis sous un pseudonyme en 1761. Un conte philosophique est un écrit qui prend la forme du conte traditionnel en y ajoutant une dimension supplémentaire, la

Question : En quoi ce premier chapitre est-il un incipit parfait de conte philosophique ?                Voltaire rédige en 1758 Candide, un conte philosophique qui contredit la théorie de Leibniz selon laquelle tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais sans la détruire tout à fait puisque la plupart des personnages finissent par cultiver leur jardin tranquillement en y renonçant. Le conte est publié en 1759, anonymement, puis sous un pseudonyme en 1761. Un conte philosophique

vison du bonheur par une gradation : «  Il concluait qu’après le bonheur d’être née baron de Thunder-Ten-tronckh, le second degré de bonheur était d’être Mlle Cunégonde ; le troisième, de la voir tous les jours ; et le quatrième, d’entendre maître Pangloss… ». L’époque n’est pas précisée, ce qui éloigne le texte de la réalité. Le contexte de cet incipit est une situation où l’on trouve une alliance du pouvoir et de la richesse comme dans le conte : « Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs

indéterminée : il y a une sorte intemporalité qui renforce le côté flou du cadre temporelle Il y a aussi des indices à Leibniz, nous faisant pensé au XVIIIème siècle. B – Les Personnages Le nombre et les caractéristiques des personnages nous incite à pensez que nous sommes bien dans un conte. Candide est placé dans le contexte : Le baron = où il vit La baronne = sa femme Pangloss = le précepteur. Le conte merveilleux comporte aussi des roi et reine, des princesse / ici, nous avons un baron,

idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, du « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maitresse, pour laquelle il éprouve beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet est une leibnizienne convaincue. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand6. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans

crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Pangloss : Pangloss est le précepteur de Candide avance des théories sur l’Optimisme inspirées de Leibniz qui finissent par devenir de plus en plus pathétique

Analytique Support : chapitre 30, Candide, Voltaire Intro : L’optimisme de Candide a subit différentes épreuves au même titre que celui de Voltaire. Les différentes dénonciation remette en cause la philosophie de Leibniz (philosophe) optimisme. On se situe à la fin du passage il a retrouvé Pangloss ainsi que Cunégonde et ses amis en Turquie et ils vont vivre en métairie (ferme). Problématique : En quoi Candide et ses compagnons se remettent ils en cause ? I) Deux leçons de sagesse A) La leçon donné par