Lecteur Vorace

relevé de variantes par Antoine Adam (1857-1861) Table des matières LES FLEURS DU MAL ........................................................... 10 Au poète impeccable....................................................................11 Au lecteur .................................................................................... 12 I. – Bénédiction ......................................................................... 14 II. – L’albatros ..............................................

de variantes par Antoine Adam (1857-1861) Table des matières Les Fleurs du mal......................................................................8 Au poète impeccable.....................................................................8 Au lecteur ......................................................................................8 I. – Bénédiction....................................................................................9 II. – L’albatros ......................................

; relevé de variantes par Antoine Adam (1857-1861) Table des matières LES FLEURS DU MAL ........................................................... 10 Au poète impeccable....................................................................11 Au lecteur .................................................................................... 12 I. – Bénédiction ......................................................................... 14 II. – L’albatros ...............................................

C B es leurs du al Inhalt Au Lecteur  Spleen et idéal Bénédiction  L‘Albatros  Elévation  Correspondances  [Den entschwundenen, nackten Zeiten]  Les Phares  La Muse malade  La Muse vénale  Le Mauvais Moine  L‘Ennemi  Le Guignon  La Vie antérieure  Bohémiens en Voyage  L‘Homme et la Mer  Don Juan aux Enfers  Châtiment de l‘Orgueil  La Beauté  L‘Idéal  La Géante  Le Masque  Hymne à la Beauté  Parfum exotique  La Chevelure 

fleurs du mal BAUDELAIRE Au Poète impeccable Au parfait magicien ès lettres franççaises A mon très-cher et très-vénéré Maître et ami Théophile Gautier Avec les sentiments De la plus profonde humilité Je dédie Ces Fleurs maladives C.B. Au Lecteur La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer

par les progrès de l’imprimerie: diffusion plus rapide et plus large. L’Italie devient un voyage obligé pour les intellectuels. « le voyage d’Italie » François 1er, et les guerres d’Italie. François 1er (mort en 1547) : fondation du collège des lecteurs royaux, futur collège de France qui étudie les disciplines et les langues absentes de l’université ; arabe, hébreu, … (lien avec les croisades et passion pour l’orient) Guillaume Budé (mort en 1540) Jacques Lefebvre d’Etaples ( mort en 1536) :

l’ennemi ». C’est le dernier tercet, et en particulier les vers 12 et 13, qui donne au titre sa pleine signification : l’ennemi est ainsi le temps qui dévore tout sur son passage et livre l’homme à l’ennui et à la mort. Le temps est une puissance vorace et sanguinaire contre laquelle l’homme ne peut lutter. Le combat contre le temps est perdu d’avance. 2. Sur quelle métaphore filée repose le poème ? Baudelaire propose ici de décrire le ravage du temps selon une métaphore qu’il va filer tout

de 1861) Au Poète impeccable Au parfait magicien ès lettres françaises A mon très-cher et très-vénéré trèstrèsMaître et ami Théophile Gautier Avec les sentiments profonde De la plus profonde humilité Je dédie Ces Fleurs maladives C.B. 1 AU LECTEUR La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches; Nous nous faisons payer

Les Fleurs du malhttp://www.casden.frAu lecteur La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit

explicite. Pour, l’époque, ce roman l’est car, à l’intérieur, Zola raconte tout, absolument tout, des détails les plus infimes aux plus choquants, c’est une des caractéristiques principales des naturalistes, la fait de tout donner, le fait que le lecteur puisse s’imaginer comment les gens vivaient à l’époque selon divers critères. Dans cette œuvre expérimentale, Zola nous dit : « J’ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J'ai choisi des personnages souverainement