Leclerc Self Scanning

inférieure à 4 % pour une marque distribuée dans 80 % des points de vente. Une double méthode de collecte d’information assure une compréhension globale de l’activité en magasin : – collecte électronique et hebdomadaire des ventes magasin (technologie scanning) ; – relevés effectués par les inspecteurs ACNielsen des données dites « causales », dont mises en avant et prospectus, exposition en linéaire. La livraison des bases de données se fait au maximum 12 jours après la fin de chaque période 4 semaines

réalisation de soi » pendant les loisirs : les Espaces Culturels de Leclerc ou Nature et Découverte illustrent parfaitement cette tendance, et le développement des 35 heures devrait encore renforcer cette orientation. © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. 1.6 La nostalgie du « bon vieux temps » De plus en plus de consommateurs se tournent vers les « valeurs sûres » du passé : Carrefour et sa marque Reflets de France, ou Leclerc et « Nos Régions ont du talent », proposent des produits d’antan

scandinaves et continentaux ) en acquérant des parts de marché élevées. Ex : Tesco, qui est un distributeur anglais, a aujourd’hui une position importante dans le panorama international. Dans les années 50 en Italie il y avait une seule structure self-service de type moderne. C’est seulement en 1953, grâce à l’apport des capitaux américains qu’apparaît le premier supermarché, dont la marque deviendra actuellement Esselunga. Puis en 1973 le premier hypermarché, cette fois grâce aux capitaux français

de soi » pendant les loisirs : les Espaces Culturels de Leclerc ou Nature et Découverte illustrent parfaitement cette tendance, et le développement des 35 heures devrait encore renforcer cette orientation. 1.6 © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. La nostalgie du « bon vieux temps » De plus en plus de consommateurs se tournent vers les « valeurs sûres » du passé : Carrefour et sa marque Reflets de France, ou Leclerc et « Nos Régions ont du talent », proposent des produits

inférieure à 4 % pour une marque distribuée dans 80 % des points de vente. Une double méthode de collecte d’information assure une compréhension globale de l’activité en magasin : – collecte électronique et hebdomadaire des ventes magasin (technologie scanning) ; – relevés effectués par les inspecteurs ACNielsen des données dites « causales », dont mises en avant et prospectus, exposition en linéaire. La livraison des bases de données se fait au maximum 12 jours après la fin de chaque période 4 semaines

inférieure à 4 % pour une marque distribuée dans 80 % des points de vente. Une double méthode de collecte d’information assure une compréhension globale de l’activité en magasin : – collecte électronique et hebdomadaire des ventes magasin (technologie scanning) ; – relevés effectués par les inspecteurs ACNielsen des données dites « causales », dont mises en avant et prospectus, exposition en linéaire. La livraison des bases de données se fait au maximum 12 jours après la fin de chaque période 4 semaines

bonnes vieilles enseignes brick & mortar qui ont su développer une offre Internet en parallèle, ont recueilli les suffrages des consommateurs. Et sur les dix enseignes classées en tête, on trouve une seule figure de la grande distribution alimentaire, Leclerc. La relative disgrâce des hypermarchés se reflète dans ce regard que les consommateurs portent sur la distribution. Le grand potentiel du commerce organisé Le commerce organisé a également devant lui d’énormes opportunités car il s’inscrit dans une

sociétés françaises figurent au palmarès des 20 premiers « champions de la distribution dans le monde » : Carrefour SA au 2e rang (derrière Wal-Mart Stores Inc, USA et n° 1 en Europe), le Groupe Auchan au 15e rang et les Centres Distributeurs E. Leclerc au 22e rang2, le Groupe Casino au 26e rang et les Mousquetaires au 27e rang. Dans le commerce de détail, le nombre des entreprises étrangères implantées en France, hormis les entreprises du meuble ou de la mode, reste faible. On constate des situations

l’entreprise, deux grands types d’organisation se mettent en place : un merchandising directif, surtout développé dans les sociétés succursalistes (Casino, Match, Monoprix, Atac), un merchandising consultatif pour les enseignes au management décentralisé (Leclerc, Système U, Cora). Pour ce qui est des relations du merchandising avec les autres services de l’entreprise, on note certaines difficultés : à l’éternel conflit entre les hommes du siège et les hommes de terrain s’ajoute celui qui naît forcément d’une

[1994]), des « schèmes organisateurs » (Walsh [1995], Huff et Huff [2000])19… Dans un contexte d’information pléthorique, complexe et ambiguë, ces schémas orientent l’attention des managers, qui tendent à concentrer leur observation de l’environnement (scanning) sur un nombre limité de dimensions, privilégiées de manière plus ou moins consciente car considérées comme étant les plus pertinentes20. Aux données observées, le décideur « ajoute quelque chose de lui-même » (Spender [1989]) qui est de l’ordre