Le Tonneau De La Haine

macabre texte du cèlebre poète Baudelaire: remords postume ecrit en 1857 et tirer des fleurs du mal et le tonneau de la haine qui fait partit des fleurs du mal lui aussi.Pour commencer,post signifie après,hum signifie mort,le titre est ironique car on ne peut pas avoir du remords une fois que l'on est mort.Dans ce poème Baudelaire exprime l'amour qu'il a pour Jeanne Duval mais,aussi la haine qu'il ressent a son égard.C’est un sonnet dédié à la femme.C’est un carpe diem détourné : trop tard pour profiter

«  angoisses atroces » dans le spleen LXXVIII « la souffrance » et «sanglots » dans l’héautontimoroumémos ou encore dans l’obsession. « cauchemar » dans la muse malade « effrayant » et  « douleurs » dans l’horloge « des larmes » dans le tonneau de la haine « les ennuis » dans élévation « l’oubli » et « triste » ou encore «  en pleur » dans les phares . Dans l’irrémédiable le poète montre qu‘il essaye de combattre sa douleur mais n’y arrive pas il est au bord du gouffre et donc au bord de la mort 

satisfait parce qu'il peut etre intatiable, il en faut toujours plus, on peut aussi se tromper d'objets, parfois illusoires qui entrainerait un état de frustration. En effet, nous pouvons le constater avec l'image du tonneau des Danaides , désignant une tache sans fin, remplir un tonneau d'eau perçé, désignant ainsi le désir d'y parvenir cela c'est avéré ainsi impossible. Socrate mettait en garde son interlocuteur qui prétendait que pour etre heureux il fallait satisfaire ses désirs, en utilisant la

pluriel pr surenchérir cette impress° de vide : vide de la conscience MS @ de la vacuité du md q l’entoure. MS qd singulier et 1 majuscule : il ne faut ø comprendre le sens raciner -> oisiveté MS état d’abattmt prfd et haine de soi. Le mot vient d’ailleurs d’ «odium » (= latin haine). Le spleen = mlge d’angoisse, désespoir, mélancolie. Hô est dc irémédiablmt condamné à la mélancolie ø réel espoir de guérison. Les poèmes 75-78 intitulés « Spleen » ft de l’angoisse atroce un leitmotiv (récurrent)

peine on obtient la chose désirée et que la souffrance disparait, que d’autres désirs vont naître. Ainsi Platon comparé le désir à un tonneau percé, pour lui le propre du désir est de changer sans cesse d’objet et de ne jamais s’en satisfaire. Dès lors que l’homme satisfait l’un de ses désirs et qu’un trou du tonneau est rebouché, un autre désir surgi et donc un le tonneau se retrouve de nouveau percée. Ainsi ne pas réaliser son désir est source de souffrance. L’homme est donc condamné à une insatisfaction

arguments distincts et successivement énoncés : Le premier s’attache à la nature des désirs : ils sont insatiables et à l’instar d’un tonneau percé, impossibles à satisfaire car ils renaissent sans cesse sous la même ou d’autres formes. Le propos de Socrate est sans équivoque puisqu’il dit que qu’un sicilien a nommé la partie de l’âme où se logent les passions « « tonneau » à cause de sa nature insatiable ». Ici le mot nature a le sens d’ensemble des qualités inhérentes à un objet, qui le constituent

passions et à chercher dans quelle proportion y entrent l’amour et la haine. » Pierre LAROUSSE, article « Haine », Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, t. IX La haine, dont les dictionnaires d’aujourd’hui, dans leur désespérante platitude, ne retiennent que le versant négatif, n’est pourtant pas une passion triste. Baudelaire l’avait noté dans ses « Conseils aux jeunes littérateurs » : « En effet, la haine est une liqueur précieuse, un poison plus cher que celui des Borgia, –

quelque chose tellement fort et que cette chose en réalité ne nous fait que revenir à un état de repos, elle peut nous décevoir car grâce à l'imagination on aurait pu croire que cette chose allais bouleverser notre vie. Ce qui peux conduire à une haine et un rejet de l'objet; et donc à un malheur en plus du malheur accumuler d'avoir désirer un objet pour rien. Certains pense ainsi que le désirs provient d'un manque qui conduit au malheur; mais pour accéder au bonheur; qui est par définition un état

découvrir cinq poèmes mettant en valeur la souffrance dans l’œuvre si connue de Charles Baudelaire. Notre anthologie s'ouvrira sur le poème « Le Tonneau De La Haine ». Comme nous l'indique son titre, le sujet principal est la haine, sentiment évocateur de la souffrance. L’auteur caractérise la haine par « un ivrogne au fond d'une taverne ». La haine est le mal à l'état pur, elle torture les êtres sans jamais être rassasiée. Ce poème est intéressant car il montre les ravages du vin, …..........

le règlement de son club de golf, servir le thé aux cadres, etc. Sa su¬pé¬rieure, Ma¬de¬moi¬selle Mori, qu’elle admire vraiment, va se ré¬vé¬ler d’abord amie puis en¬ne¬mie et Amé¬lie va vivre une drôle de re¬la¬tion avec ell e, entre ten¬dresse et haine. Les humiliations et les vexations se succèdent et Amélie passe d écrivain à la c omptabilité en passant par la gestion des calendriers et finissant par s’occuper du nettoyage des toilettes, soit, elle termine au plus bas de l échelle. Amélie se plie