Le Testament d'Orphée

Les avatars du mythe d'Orphée dans les oeuvres au programme (La princesse blanche et Les cahiers de Malte Laurids Brigge) de Rainer Maria Rilke. La princesse blanche [PB] (1898/1904) et Les Cahiers de Malte Laurids Brigge [CMLB] (1904/1910) font partie d’un tournant dans l’œuvre de Rilke puisque ce sont deux œuvres qui sont postérieures à sa rencontre avec Lou Andreas-Salomé (mariée, mais restée vierge) puis à son mariage avec Clara Westhoff (peu avant la 2e version de la PB), à son départ de

nombreuses cures de désintoxication, il consommera de la drogue jusqu'à la fin de sa vie. | |1925 |Cocteau publie l'Ange Heurtebise et les autoportraits du Mystère de Jean L'oiseleur | |1926 |Première d'Orphée le 15 juin | |1927 |Représentation du Pauvre Matelot et d'Odipus Rex |

fondation de Rome. - frères jetés dans le Tibre, - frères recueillis par une louve, - Tracé de l’enceinte de la ville à la charrue par Romulus, - meurtre de Rémus qui avait osé franchir le sillon. b- Élection divine du peuple saint (les deux testaments). C) L’homme transcendé Les mythes rapportent des faits et gestes anciens de personnages plus forts, plus grands, plus habiles que les hommes d’aujourd‘hui. Le héros est un homme au-dessus et différent des autres ; il est aussi symbole d’humanité

LE MYTHE D'ORPHEE Commentaire orienté en trois références SOMMAIRE Introduction et présentation du mythe Contexte et analyse Supports d'analyse du mythe et références « Orphée et Eurydice » de Nicolas Poussin « Orphée » de Cocteau « Orphée aux Enfers » de Jacques Offenbach mis en scène par Laurent Pelli Comparaison des œuvres Positionnement personnel Conclusion Références

sexuelle inconsciente des garçons envers leur mère, ainsi que la jalousie à l'égard de leur père. D'autres psychanalyses ont avancé ensuite le concept parallèle de complexe d'Électre[->21] comme son équivalent féminin, légèrement différent. MYTHES D'ORPHEE Orphée est un héros légendaire de la mythologie grecque. Fils du roi de Thrace Œagre et de la muse Calliope, il aurait reçu du dieu Apollon une traditionnelle lyre à sept cordes et y aurait ajouté deux cordes en hommage aux neuf Muses. Dans les

ailleurs. Quant à la tête d'Orphée, après avoir été attaquée par un serpent de Lemnos, jaloux qu'Apollon le changea sur-le-champ en pierre, elle fut transportée dans une caverne à Antissa, consacrée à Dionysos. Là, elle rendait des oracles nuit et jour au point qu'Apollon, voyant ses oracles de Delphes, de Grynéon et de Claros désertés, vint un jour voir la tête d'Orphée et s' écria: " Cesse donc de te mêler de mes affaires ! " La tête désormais demeura silencieuse. La lyre d'Orphée avait également été

tour attirer Jean Cocteau, qui donna au septieme art des films et des scénarios marquants, parmi lesquels on citera Le Sang d’un poete (1930), L’Éternel retour (1943), La Belle et laBete (1945), Les Parents terribles (1949),Orphée (1950), Le Testament d’Orphée (1960). Il convient d’ajouter encore a la palette variée de ses talents celui de

l'artiste dans la société. Acteurs principaux: Jean Pierre Marielle, (M de Ste Colombe); Gérard Depardieu, (Marin Marais); Anne Brochet, (Madeleine); Guillaume Depardieu, (Marais jeune); Carole Richert, (Toinette); Michel Bouquet, (Baugin); Le mythe d'Orphée: Vieux mythe grec : Orphée est l'inventeur de la lyre, à laquelle il ajouta des cordes (9, comme les Muses). Chantre aux pouvoirs magiques, il connaissait les secrets de l'univers, calmait les animaux féroces, les plantes, les arbres, venaient à

1943) La Vie rêvée (Robert Laffont 1944) Testament d'Apollinaire (Robert Debresse - 1945) Pleine poitrine (P. Fanlac - 1946) Les Visages de solitude (Les Amis de Rochefort - 1947) Lettre à Jules Supervielle (Sylvain Chiffoleau - Nantes 1947) Quatre poèmes d'amour à Hélène (Les Bibliophiles alésiens - 1948) [[Guillaume Apollinaire]] ou l'artilleur de Metz (Sylvain Chiffoleau - 1948) Saint-Antoine et Cie (Sylvain Chiffoleau - 1948) Le Miroir d'Orphée (Gallimard - 1948) Les sept péchés capitaux

qui se fait ou va se faire sur Picasso dans la région. C’est une approche exsostive de l’œuvre et des œuvres » Sans oublier que c’est dans les carrières de Cathédrale d’Images que Picasso et Cocteau étaient réunis dans l’univers mythique du testament d’Orphée. Si c’était une gageure de constituer le plateau, le tourner a aussi été une prouesse technique. « Avec le spectacle en décor, on ne pouvait pas avoir un éclairage classique. Il fallait que l’on puisse voir les œuvres en mouvements. » Les invités