Le Sens Du Mythe De Jason

Niveau : Première bac pro Objectifs : Objectif de savoir : découvrir le langage poétique et les origines de la poésie française Objectif de savoir-faire : analyser un texte poétique, repérer les procédés d’écriture et les mettre en relation avec le sens du texte. Déroulement de la séquence | |SUPPORTS |ACTIVITES | |Séance n°1 |Mignonne allons voir si la rose de Ronsard

humanité qui se sépare de l'animalité et s'en protège (là encore, rapport avec l'espace intra-utérin, caverne, "crâne à rêves")...Lien avec la lumière, le passage brutal de la nuit au jour qu'est la naissance, amour du clair-obscur, "Tel est le véritable sens du clair-obscur: une quête infinie", des natures mortes, dites "peintures coites" des vanités baroques: "le monde des morts est là, et son silence". La littérature: elle cherche à parler de l'indicible, c'est une "oralité silencieuse". Si la parole

suffisamment large des sources antiques du personnage dans l’article de Marie-Adélaïde Debray, « Orphée et Médée. Approche comparative de deux gestes mythiques », Folia electronica classica, n° 4 (2002). Pour une étude complète voir Alain MOREAU, Le Mythe de Jason et Médée, Paris 1994. Médée n’est d’abord que l’un des personnages marquants du cycle épique des Argonautes, déjà bien connu d’Homère (Odyssée, XII, 70) et de son contemporain Hésiode (Théogonie, v. 958-961) ; le cycle sera repris plus tard (au

Service d'enseignement À distance Bâtiment E - 2ème étage 200, Avenue de la République 92001 NANTERRE CEDEX Tel : 01.40.97.75.41. / 59.51 Nombre de pages : 103 Référence : EAD0000162-1 Matière : LETTRES MODERNES E.C. : LLLIC101 LM (S1) Etude d'un mythe Cours complet Emmanuel REIBEL 1 devoir : - Devoir facultatif n° 1 à remettre avant le 30-04-2011 - Sujet page 2. Adresse de retour des copies : Université Paris Ouest Nanterre La Défense Service C.O.M.E.T.E. Gestionnaire de la matière LETTRES

suffisamment large des sources antiques du personnage dans l’article de Marie-Adélaïde Debray, « Orphée et Médée. Approche comparative de deux gestes mythiques », Folia electronica classica, n° 4 (2002). Pour une étude complète voir Alain MOREAU, Le Mythe de Jason et Médée, Paris 1994. Médée n’est d’abord que l’un des personnages marquants du cycle épique des Argonautes, déjà bien connu d’Homère (Odyssée, XII, 70) et de son contemporain Hésiode (Théogonie, v. 958-961) ; le cycle sera repris plus tard

écarté l’héritier légitime, Britannicus. (p.36) 4Au début de Britannicus, Agrippine s’entretient avec sa confidente Albine. Elle parle de Néron : « Las de se faire aimer, il veut se faire craindre. /Britannicus le gêne, Albine, et chaque jour / Je sens que je deviens importune à mon tour. (p.36) 5Les Plaideurs est l’unique comédie de Jean Racine. (p.38) 6Racine a été l’amant de célèbres comédiennes comme la du Parc qui interprètent ses héroïnes tragiques (cf. le film Marquise avec Sophie

nouvellement découverte, et répond notamment à la problématique : Est-ce que ces Indiens du nouveau monde sont barbares ? Nous allons étudier dans ce devoir, comment Montaigne, dans le chapitre du livre Les Essais, intitulé les Cannibales, exprime les deux sens de l’humanisme à travers ses pensées et réflexions sur les Amérindiens, peu après la découverte de l’Amérique. Tout d’abord, nous verrons comment Montaigne exprime ses réflexions à propos de ce peuple nouvellement découvert ainsi que leurs coutumes

bords où, sortant de son berceau de brume, l’Aurore a sa maison avec ses chœurs et le Soleil à son lever. On aborde ; on échoue le vaisseau 14. colloque International d’Angers, P.U. d’Angers, l990. Voir notre article : « Les Regrets entre Jason et Orphée », in Du Bellay, Actes du sur les sables et nous nous endormons jusqu’à l’aube divine. (chant XI) Le Français verra, lui aussi, de très belles choses, au départ, avant de faire la connaissance de Clara et de l’amour, « les arbres [lui]

1 Qu’est-ce qu’un mythe ? Le terme de mythologie n’a rien de mystérieux : il désigne un ensemble de mythes appartenant à un même contexte culturel, et réunis sans grand souci de cohérence. La notion de mythe, en revanche, est infiniment plus complexe. Sans poser trop longuement des problèmes de définition (dont une abondante bibliographie nous assure qu’ils sont insolubles), il est possible d’éclairer ou du moins de limiter l’objet de cette étude. Le mythe se caractérise par sa forme (un

prennent le caractère de l’animal qui le symbolise. Rê : En Egypte, le Soleil était le Dieu suprême. Lorsque le Soleil « disparaissait » la nuit, les Egyptiens avaient peur de ne jamais le voir réapparaitre. Ils nommèrent leur dieu Soleil « Rê ». Le mythe raconte que Rê est né dans une fleur de lotus, sur une colline sortie de nulle part. A l’origine, Rê était vénéré dans le nord, c'est-à-dire en Basse Egypte. Par contre, dans la haute Egypte, au sud, le Dieu Soleil était adoré sous le nom d’Amon. Lorsque