Le Sauvage Et Le Civilisé

de nomadisme qui sont tout d’abord les peuples de nomades chasseurs, pêcheurs ou cueilleurs. L’alternance des ressources et des saisons va dicter le déplacement des peuples, en quête perpétuelle de nourriture. C’est donc la migration de la faune sauvage qui va provoquer le déplacement des populations. Mais il existe aussi les peuples de nomades qui pratiquent l’élevage de troupeaux, l’élevage pastoral. C'est-à-dire que la domestication du bétail permet à des sociétés de s’organiser autour de leurs

relativité des jugements + critique, cf. comparatif à valeur ironique « beaucoup plus grands maîtres qu’eux », « plus aigre que la leur ». - Ligne 21 : « autre monde » = ancien monde. Regard inversé, cf. l. 1 « ces autres » = sauvages. Enonciation : Montaigne passe du côté des « sauvages » de manière subtile + « toute sorte de nombre ». - Ligne 25 : Indiens qui laissent leurs coutumes anciennes pour que les Européens imposent les leurs. - Ligne 26 : « Je » : pensée subjective des Essais + « nous » =

soulignent les inégalités sociales, hommes-femmes, etc... utilisation sens utilisation sens p.11, l.3 étrangers/inconnus p.18 l.1 sauvage l.6 sauvage/mauvaise p.25, l.6 cannibales p.16, l.12 sauvage/pas civilisé l.8 sauvagerie l.14 l'inconnu p.29, l.18 cannibalisme l.13 dangereux l.24 diff. de nous l.19 diff. des eur. p.31, l.4 sauvage l.20 qui vivent ds la nature d.l contre l'humanisme

citations de phrases courantes, stéréotypes quotidiens; —analyse du jugement implicite que recèlent les adjectifs de « sauvage » et « barbare » grâce au rappel de leur étymologie ; Pour ce faire ,Levi Strauss s’appuie sur l'étymologie de certains adjectifs pour en souligner leur caractère péjoratif : « barbare » (= qui a un langage inarticulé, qui est privé de parole humaine) et «sauvage » (= qui est de la forêt). —traduction des termes antithétiques par lesquels différentes « populations dites primitives»

contradiction qui annonce la double face de son caractère: impulsif et sensible. Il se présente en tant que sauvage, et divers traits attestent ses origines primitives: les sandales, les longs cheveux en tresses, la couverture qui sert de lit, ses qualités de fin chasseur. Il est également très instruit puisqu’il parle couramment 3 langues (huronne, anglaise et française ). Il est poli, courtois et civilisé. Il répond “avec assez de douceur, mais avec un peu de fermeté” mais il ne coupe pas la parole, écoute

serait-il pas aussi valable pour les facultés intellectuelles et morales de l’Homme ? Espérance pour le devenir de l’Homme suivent 3 principes : Problématique * Destruction des inégalités entre les nations : La distance qui sépare les peuples civilisés des peuples barbares va-t-elle s’amoindrir ? * Progrès de l’égalité dans un même peuple : l’inégalité de richesse, de moyens et de Lumières tient-elle à la civilisation elle-même ou aux imperfections de l’art social ? L’inégalité doit-elle s’

METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE I. Approche du sujet : 1. Le titre envisagé : La critique de l’ethnocentrisme à travers la perception du «  bon sauvage » par des auteurs tels que Diderot et Voltaire.  2. La question de départ : Cette vision du « sauvage » chez ces deux auteurs ,passe par une description,tout d’abord,du comportement de celui-ci, ensuite une analyse de son mode de vie,de sa civilisation,pour enfin aboutir à une confrontation

découvertes toutes récentes qu’il se dévoile et se fait rencontrer les cultures des différentes sociétés. Les interrogations nées de ces rencontres et les constats de différences de développement des sociétés amène certains à ravaler les indigènes, les « sauvages », au rang d’animal. A l’opposé de cette perspective, Montaigne, philosophe et homme de culture, prône une autre réflexion. Noble d’Aquitaine, maire de Bordeaux, ce penseur se distingue par son aversion pour la violence et pour sa défense de la tolérance

découvertes toutes récentes qu’il se dévoile et se fait rencontrer les cultures des différentes sociétés. Les interrogations nées de ces rencontres et les constats de différences de développement des sociétés amène certains à ravaler les indigènes, les « sauvages », au rang d’animal. A l’opposé de cette perspective, Montaigne, philosophe et homme de culture, prône une autre réflexion. Noble d’Aquitaine, maire de Bordeaux, ce penseur se distingue par son aversion pour la violence et pour sa défense de la tolérance

des hommes quo nous considérons comme étant beaucoup plus proches des primitifs que nous ne le sommes et dans lesquels nous voyons les descendants et successeurs directs de ces hommes de jadis. C'est ainsi que nous jugeons les peuples dits sauvages et demi-sauvages, dont la vie psychique acquiert pour nous un intérêt particulier, si nous pouvons prouver qu'elle constitue une phase antérieure, bien conservée, de notre propre développement. Admettons que cette preuve soit faite; en établissant alors