Le Sauvage Et Le Civilisé

scène un vieux tahitien qui, au moment du départ des colons, prononce un discours violent. Il s'adresse directement à Bougainville.           I / Un homme qui séduit le lecteur => Persuader a) Vocabulaire simple, presque naïf. Cliché du"sauvage"  Langage courant. Pas d'exotisme, ni de folklore. Le vieille homme dégage de lui des valeurs simples:bonheur,partage,liberté(+leurs opposés). Diderot utilise des phrases claires et univoques .Juxtaposition despropositions :" Nos filles et no

déserte lors d'une tempête. Traitant d'humanité, de survie, de fraternité et de patriotisme, Jules Verne place ses personnages disparates -un ingénieur, un marin, un reporter, un jeune orphelin et un esclave affranchi- dans un cadre naturel à la beauté sauvage. Plongés dans la réalité d'un monde inhabité et vierge, le groupe y fait l'expérience d'une immersion totale. La nature et le rapport que les hommes entretiennent avec elle y occupe une place forcément prépondérante, et cette relation prend une forme

ethnologue français. Mots-Clés & Thème 1. Le barbare : a) Etranger pour les Grècs et les Romains et plus tard pour les chrétiens. b) Qui n'est pas civilisé ( Primitif, sauvage ) c) Qui choque est contraire au goût, à l'usage. d)Cruel, Sauvage 2. Barbarie: a) Etat d'un peuple considéré comme non civilisé b)Absence de goût, grossièreté c) Cruauté, Sauvagerie. Connecteurs, Adverbes, Ponctuation 1. D'abord: Adverbe = Donne le premier

ils se disent être civilisés mais font preuve de sadisme champ lexical de la cruauté « méchanceté » l22, « plus désagréable »l23, « enterrer jusqu’à la ceinture » l19, « déchirer par des tortures et des supplices » l28. c. Sauvage vs. Civilisé * « ils ne se battent pas pour la conquête de nouvelles terres » l49 Dénonciation de la guerre chez les Occidentaux car ils se disent civilisée et se battent pour des terres alors que les Brésiliens, considérés comme sauvages se battent pour le courage

Cependant, ce chapitre est aussi un texte qui fait preuve d’humanisme au sens actuel. Dans son argumentation, l’essayiste affirme « qu’il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » ; « ilssont sauvages, de même que nous appelons sauvages les fruits que nature […] a produit ». A aucun moment il ne dénigre les hommes : ces « sauvages », que tout le monde méprise, il les valorise avec optimisme, par opposition au pessimiste du péché originel faisant partie des croyances de notre civilisation.

étudierons le multiculturalisme et l’ethnocentrisme, puis dans une seconde partie, nous étudierons la raison et la tolérance. Il n’y a pas de société humaine sans culture. C’est pourquoi, il n’y a pas d’un coté des peuples civilisés et de l’autre des peuples qui seraient sauvages ou barbares comme on l’a cru dans le passé. On peut observer qu’il y a des cultures et des civilisations différentes, c’est la thèse multi culturaliste qui est défendue par la plupart des ethnologues. Cette thèse considère

humaines considérées comme sauvages, car les critères de civilisation de ceux qui les observaient étaient différents. Dans les relations des voyageurs ou les descriptions des missionnaires (ethnographes par nécessité) apparaissent des oppositions entre les vertus naturelles, la simplicité de ces prétendus sauvages et la corruption liée à la civilisation européenne. Les comportements de ces populations sont mythifiés parce qu'elles ne connaissent pas les maux des civilisés. Les constats d'absence (peuples

l'idéologie de Ford comme étant la meilleur qui eût jamais été. On utilise la manipulation génétique. Disparition de la famille L'idée de famille est complètement détruite. Le rôle d'une mère et de son enfant est perçu comme un acte d'homme sauvage. Les enfants sont créés et élevés dans des centres d'incubation. C'est dans ces mêmes centres que l'on conditionne les enfants dès leurs plus jeune âge. Place de chacun dans la société On décide de leur place dans la société. Ainsi on fera tout

s'épanouir véritablement en tant qu'être humain et être sociable. Notre culture, nous apporte des satisfactions que la vie à l'état naturel ne permettrait pas. En effet, il nous est impossible de vivre à l'état «sauvage», car nous ne pouvons nous empêcher de nous immerger dans une culture. Tous les models proposés pour vivre «selon la nature», ne sont que des fictions, car notre mode de vie, est régit par nos besoins et nos désirs qui sont la cause de nos aspirations

3 à 4, ce qui, ici a une connota:on méliora:ve envers les Indiens comme si l’auteur cherchait à les me-re en avant. On remarque également des uses et coutumes à l’opposé de ce qu’on pourrait qualifier de « civilisé », ce peuple aurait l’habitude de recevoir des étrangers l.1 à 2, dès le début de leur arrivée sur leurs terres ils font un pas vers eux en demandant son nom l.8, les Indiens ne sont également pas vêtus l.11 ce qui pourrait être qualifié en effet