Le Sage Refuse T Il Le Désir

art, technique, liberté, loi.Auteurs en référence : - Kant et le génie- Alain, Système des Beaux-Arts- Hegel, Esthétique (critique de l’art comme copie)Plan proposé :- L’art, c’est la liberté- Sans règles, pas de création possible- Nouvelle règle : refuser les règlesCe sujet invitait à penser le rapport entre art/technique, travail et art/liberté. L’artiste est-il un technicien ? La liberté de l’artiste s’oppose-t-elle à toute règle, contrainte, norme ? L’art, est-ce n’importe quoi ? N’importe comment

ANALYSE DES PERSONNAGES PRINCIPAUX – La marquise de Merteuil – Cécile de Volanges – Le Vicomte de Valmont – La Présidente de Tourvel – Le chevalier Danceny III. AXES DE LECTURE – Le libertinage – Le désir – La guerre – La religion – L’éducation – Le genre épistolaire 1) RESUME DU ROMAN EPISTOLAIRE Deux aristocrates s’ennuient à mourir dans leurs somptueux salons ; l’un dans une demeure parisienne

d’une jeune fille mais elle a des choix d’adulte. Elle sait ce qui va lui arriver si on la découvre, pourtant elle décide de s’y lancer. Jusqu’ici on comprend très bien ce qui se passe. Antigone aime son frère. Elle veut lui assurer un repos. Elle refuse la facilité et préfère se rebeller, elle ne veut pas céder à une prétendue fatalité. À partir du moment où l’on la découvre les choses changent. Créon donne à Antigone la chance de laisser de côté ses idées et continuer sa vie, son mariage et tout

Il est perdu. La question majeure devient celle du salut. Le cadre n’est désormais plus la polis mais le cosmos, l’univers. Ces philosophies s’éloignent du discours politique. La conception de la sagesse change. La sagesse n’est plus politique, le sage est désormais un individu et plus un citoyen. L’épicurisme Introduction L’épicurisme a été fondé par Epicure, à Athènes. Il achète un jardin où il fonde son école. Il y réunit quelques disciples. On y trouve des femmes, des hétaïres, une certaines

dignité: chacun, esclave ou maître, était libre de s'engager dans la recherche de la sagesse. Mais si la dignité stoïcienne, entendue en ce sens, était universelle, elle était aussi difficile à atteindre, puisque seul le sage stoïcien était véritablement digne [3]. Or, l'idéal stoïcien du sage est excessivement difficile à atteindre. En outre, la sagesse stoïcienne implique une indifférence vis-à-vis du corps et de ses douleurs, n'apportant ainsi que peu d'aide dans les débats contemporains relatifs à la

“cherché d'autres enrichissements” et avoir “étendu davantage les circonstances de ces récits”. Ainsi, si dans le premier recueil il avait encore beaucoup emprunté à Esope et à Phèdre, ses modèles antiques, ici il va chercher son sujet chez Pilpay, un sage indien, dont le Livre des lumières avait été traduit en français en 1644, mais surtout c'est sa propre personnalité que nous découvrons davantage. [ pour en savoir plus sur La Fontaine, cf. site : http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/deuxpig.htm

Texte 1 Tant qu’on désire on peut se passer d’être heureux ; on s’attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l’espoir se prolonge, et le charme de l’illusion dure autant que la passion qui le cause. Ainsi cet état se suffit à lui-même, et l’inquiétude qu’il donne est une sorte de jouissance qui supplée à la réalité, qui vaut mieux peut-être. Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède. On jouit moins de ce qu’on obtient que de ce qu’on espère

qui lui refuse l’homme qu’elle aime. Circé, quant à elle, est d’abord présentée comme une personnage fabuleux et inquiétant, qui métamorphose les compagnons d’Ulysse en pourceaux, avant de se transformer en femme amoureuse et bienveillante. Parmi les monstres qui viennent compliquer le retour d’Ulysse, seul le Cyclope a la réelle épaisseur d’un personnage. Doué de la parole, il possède un véritable caractère : On voit son égoïsme, sa rudesse primitive, mais aussi son humiliation et son désir de vengeance

retrouve par exemple dans les paroles du Credo3. Appréhender l’Immortalité L’immortalité varie selon les cultures : Tantôt désir de s’affranchir de la finitude, tantôt repli sur le besoin de conservation, tantôt désir d’avoir le temps d’embrasser toutes les Vies possibles d’un Etre, tantôt refus ou peur du cycle qui s’égrène inexorablement. Une constante cependant : le refus de la souffrance au sens large, souvent associée à la peur de la séparation. Ceci est bien exprimé par Lao-Tseu, dans le « Tao-de-jing »

Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! » Personnages : * Le Professeur Gisors est le père de Kyo, un intellectuel communiste, universitaire marxiste, et éminence grise derrière le soulèvement; il est la figure du sage, tous viennent se confier à lui. * Kyoshi (Kyo) Gisors, fils du précédent, dirige l'insurrection communiste de Shanghai. Idéaliste, il luttera jusqu'à la mort pour la « dignité » des travailleurs. Il aime May. * May, allemande, épouse de Kyo, médecin