Le Régime De La Communaute Des Biens

6. Le régime matrimonial Le régime matrimonial est l’ensemble des règles légales qui gouvernent les intérêts et les rapports pécuniaires des conjoints entre eux et vis-à-vis des tiers pendant et après leur mariage. Le régime matrimonial est matérialisé par un contrat passé par devant le notaire dans lequel les époux choisissent le type de régime qui leur convient. Il existe donc deux grandes catégories de régimes matrimoniaux : les régimes communautaires et séparatistes. Le régime communautaire

Les récompenses dues par la communauté à un époux Commentaire d'arrêt: A la liquidation du régime matrimonial, lorsque les fonds propres ont été confondus avec les fonds communs, la maxime populaire « les bons comptes font les bons amis » devient très vite un euphémisme. En effet, le mécanisme des récompenses destiné à maintenir l'équilibre des patrimoines propres des époux, se retrouve des plus complexes à être appliqué. Et c'est au lendemain de la loi n° 2004-439 du 26 mai 2004 relative

à leur contrat, la loi supplétive s’appliquera. Par exemple, concernant le sort des biens acquis par des époux, le Code Civil prévoit le régime de communauté réduite aux acquêts à défaut de contrat de mariage prévoyant un autre régime matrimonial (séparation de biens ou communauté universelle). Si les époux n’ont pas adopté l’un ou l’autre de ces régimes par la signature d’un contrat devant notaire, le régime matrimonial prévu par le Code Civil s’appliquera. - Son domaine d’application En principe

vieille, ce n’est pas seulement une union de 2 personnes mais aussi une union de biens  effets patrimoniaux. Section 2 : Les effets patrimoniaux entre époux L’union matrimoniale va créer entre les époux de nombreux rapports patrimoniaux. Les rapports patrimoniaux entre époux sont pour certains, les essentiels, directement réglés/règlementer par le cc et ils s’appliquent à tous les époux. C’est ce qu’on appelle le régime primaire impératif ensemble de règles auxquelles les époux vont être soumis dès

devoir de fidélité 42 II.devoir d’assistance 42 III.l’obligation de communauté de vie 43 IV.le devoir de respect 43 Section 2 : les rapports d’égalité 43 I.la direction de la famille 43 II.le choix de la résidence de la famille 43 Section 3 : caractère et sanction 43 I.caractère 44 II.les sanctions 44 A.sanction pénale 44 B.les sanctions civiles 44 Chapitre 2 : les effets pécuniaires du mariage 45 Section 1 : le régime primaire 45 I.les règles d’associations 45 A.le devoir de secours

européenne qui se compose des 15 Etats membres de l’U. E. Les pays tiers qui sont tous les autres pays autres que ceux de l’U. E., et constituent des territoires d’exportation. Les règles de territorialité sont les suivantes : Opérations de livraison de biens meubles : le critère d’imposition est le lieu de livraison. Opérations portant sur les prestations de services : Le critère d’imposition est le lieu d’établissement du prestataire. 3. Fait générateur, exigibilité et déductibilité Fait générateur et

et germaniques, ce régime à exercé une force de séduction importante aux cours du 20ème siècle car il aurait facilité l’indépendance et l’égalité des époux. Cert préconisés de l’adopté comme régime légal lors de la réf de 1965 ; mais l’opinion française restant majoritairement en faveur d’un régime communautaire, la participation aux acquêts a été simplement introduite par le législateur de 1965 au titre des régimes conventionnels et aménagée en 1985. Le mérite de ce régime est de tenter de combiner

le divorce. Le code civil de 1804 réalise un compromis entre la conception traditionnelle de l’ancien droit et la conception plus moderne de la révolution. Il réaffirme l’autorité du mari et du père considéré comme le seigneur et le maître de la communauté, et place l’épouse dans une situation d’incapacité. Le compromis est que le code civil admet le divorce de manière restreinte par rapport à la révolution. La conception de la famille à encore été bouleversé, ainsi plusieurs modèles familiaux coexistent

donation maintenue par effet de la loi (divorce prononcée contre un époux) : la cour de cassation, Civ 1ère, 4 février 1992 a précisé que cette donation était maintenue avec le caractère révocable (que ce soit pour des donations de biens présents ou des donations de biens à venir : art 1096 valide les donations futures). Le maintien de la donation par volonté de la loi est déjà une sanction pour l’époux contre lequel le divorce est prononcé. En outre, au moment de la donation, le conjoint était convaincu

Privé Cours Introduction Chapitre Premier : Les conflits de loi en matière de statut personnel Chapitre 2 : Conflits de nationalités et droit international privé Chapitre 3 : Les conflits de loi en matière de mariage Chapitre 4 : Les régimes matrimoniaux et le droit international privé marocain Chapitre 5 : Les successions en droit international privé marocain Exemple : Les règles du droit comparé français et roumain en matière de droit international privé Introduction Le droit