Le Rsa Et Pauvreté

utilisés pour évaluer l'action. 1. Le Contexte de l'étude 1.1 Les Restaurants du Cœur Association de loi 1901 à but non lucratif, les Restaurants du Cœur sont reconnus d’utilité publique. Ils ont pour objectif de lutter contre toutes les formes de pauvreté. Leur première campagne est lancée en 1985 par Michel Colucci (Coluche) et 8,5 millions de repas sont distribués. 37 ans plus tard, l’aide s’est diversifiée. Elle est plus globale. Les restaurants du Cœur proposent des activités pour les personnes

revenues du capital+ revenues des entrepreneurs individuels - Revenues de transferts (rémunération d'un droit à la protection sociale) : >Prestation sociale contributive(ex:couverture obligatoire) >Prestation sociale non contributive( ex: RSA, minimum vieillesse ) .Patrimoine (Ensemble actifs détenues par un agent éco) Ex: En France , le patrimoine moyen s'évalue à 6 année de revenu moyen. Nb: Avt 1914 c'était PAREIL, mais T. Piketty a démontré la réduction des inégalités après les

pauvres après prestations sociales est 6 points inférieur à celui avant prestations sociales. Cette réduction des inégalités ne signifie pas son élimination (la pauvreté persiste). L’Etat arrive à cette réduction notamment par l’assistance sociale (financée par l’impôt). En effet, il existe des minima sociaux comme le minimum vieillesse ou le RSA qui sont des prestations sociales versées pour assurer un revenu minimum à une personne ou à sa famille. Partie 3 : La régulation (ou stabilisation) de l’activité

Introduction Aujourd’hui, la pauvreté et la misère sont toujours présentes. Au cours de ces 7 semaines de stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir le fonctionnement d’une association caritative. Les Restos du cœur accueillent des personnes en situation de précarité. J’ai pu rencontrer différents profils : familles monoparentales, travailleurs pauvres, jeunes de moins de 25 ans ne disposant pas du RSA, retraités, personnes en fin de droit ou touchant les minima sociaux… J’ai décidé d’étudier

Action visante à faire évoluer un individu isolé ou marginal vers une situation caractérisée par des échanges satisfaisants avec son environnement.  Des moyens sont mis en oeuvre par l'ETAT afin d'aider les plus démunis et limiter l'exclusion, comme le RSA, la CMU, l'API…. Il faudrait peut être citer les dates Mais l’insertion sociale est une notion complexe. En effet, une personne au chômage ou différente des autres va se sentir exclue. De même, une mère au foyer ne travaillant pas peut se sentir rejetée

des bénéficiaires n’est pas limitative sauf en ce qui concerne les personnes en situation de grande pauvreté ou en situation d’important surendettement[4]. Les cibles de ce nouvel outil sont les personnes les plus en marges de la société : les travailleurs pauvres (travailleurs précaires ayant des CDD, CTT ou en situation d’insertion par l’emploi), les bénéficiaires de minimas sociaux (RMI (ancien RSA), les allocations de la CAF,…), les personnes dont le statut est provisoire (apprentis, étudiants

maternité.   –        La branche emploi-chômage, qui comprend les dispositifs liés à l’insertion et à la réinsertion professionnelle ainsi que l’indemnisation du chômage.   –       La branche pauvreté et exclusion sociale, qui regroupe des prestations en faveur des personnes démunies (essentiellement le RMI/RSA). |Chapitre 13 : L’efficacité économique et sociale de la redistribution   I-              Les bénéfices économiques et sociaux de la redistribution

une plus grande égalité entre les familles aux niveaux de revenu différents. De plus, face à l'évolution des structures familiales, les politiques sociales s'adaptent et de nouvelles allocations telles que l'API (allocation parent isolé, intégrée au RSA majoré en 2009) apparaissent. Les années 80 marquent l'émergence de nouvelles questions sociales, comme le développement du travail des femmes ou l'augmentation de l'isolement et des inégalités. Ainsi en 1985, l'allocation parentale d'éducation (APE)

plus durement touchées par la crise. Le projet de loi de finances pour 2011 s’inscrit pleinement dans cette perspective. Ainsi, la montée en puissance du RSA va se poursuivre en 2011, puisque les effectifs devraient augmenter de 50% en 2011 (soit plus de 930 000 bénéficiaires du RSA « activité », contre 630 000 en 2010). En outre, le gain du RSA activité pour les travailleurs modestes reste nettement plus important (de l’ordre de 160 à 170 € par mois en moyenne) que les estimations qui avaient été

après prestations sociales est 6 points inférieur à celui avant prestations sociales. Cette réduction des inégalités ne signifie pas son élimination (la pauvreté persiste). L’Etat arrive à cette réduction notamment par l’assistance sociale (financée par l’impôt). En effet, il existe des minima sociaux comme le minimum vieillesse ou le RSA qui sont des prestations sociales versées pour assurer un revenu minimum à une personne ou à sa famille. Partie 3 : La régulation (ou stabilisation) de