Le Roi Le Loup Et Le Renard

« Le Lion, le Loup et le Renard » Jean de LA FONTAINE INTRODUCTION Cette fable est la troisième du livre VIII, publiée en 1678 et c’est la première qui met en scène des animaux. La Fontaine traduit d’Esope, fabuliste grecque, cette fable avec une connaissance précise du bestiaire qu’il a mit en place dans ses sept premiers livres. Il s’inscrit aussi dans la continuité du Roman de Renart qui voit l’affrontement réitérer, d’Ysengrin et Renart, à la cour du roi Lion. STRUCTURE DE LA

siècle? LE LION, LE LOUP ET LE RENARD. Un lion, décrépit, goutteux, n'en pouvant plus, 
Voulait que l'on trouvât remède à la vieillesse. 
Alléguer l'impossible aux rois, c'est un abus.
Celui-ci parmi chaque espèce
Manda des médecins ; il en est de tous arts.
Médecins au lion viennent de toutes parts; De tous côtés lui vient des donneurs de recettes. 
Dans les visites qui sont faites,
Le renard se dispense et se tient clos et coi.
Le loup en fait sa cour, daube, au coucher du roi,
Son camarade absent

_Le Lion, le Loup et le Renard (contexte). Un roi s’inquiète de sa vieillesse et sollicite la Cour. Seul le renard se tient à l’écart du ballet des courtisans. Dénoncé par le loup, il renverse la situation par un habile discours et fait écorcher vif le loup.La fable met en scène le roi et surtout le monde nuisible et cruel des courtisans à qui La Fontaine paraît adresser la fable. Nous assistons à une mise en scène du pouvoir royal et des ruses diverses employées par les courtisans. La fable,

médecins rappelle les comédies de Molière et reprend, au détriment du roi, le motif du malade imaginaire. Le lion symbole de force et de puissance, se voit tout à coup comme le peuple, en face de l’inévitable état de la vieillesse. Il cherche donc de l’aide et le remède efficace qui l’en soustrairont. Le temps est inexorable il passe de même et à égalité. Pour chaque individu, il ne se soucie pas du rang des personnages. Le roi : il pense que son statut social va lui permettre de passer outre de

LE LOUP ET LE RENARD. Le lion devenu vieux était couché, malade, dans son antre, et tous les animaux étaient venus rendre visite à leur prince, à l’exception du renard. Alors le loup, saisissant l’occasion favorable, accusa le renard par-devant le lion : « il n’avait, disait-il, aucun égard pour celui qui était leur maître à tous, et c’est pour cela qu’il n’était même pas venu le visiter. » Sur ces entrefaites le renard arrivait lui aussi, et il entendit les dernières paroles du loup. Alors

fl Le lion , le loup et le renard Intro : Jean de la fontaine est un moraliste et un auteur classique du 17 eme siècle ; - tenu à l'écart du roi louis 14 pour des raisons politiques -protégé par Mme de montespan la favorite de louis 14 afin de continuer sa critique envers le roi -Jean LF imitait Esope et phèdre (auteurs de l'antiquité ) -2 intrigues : le roi qui veut détenir l'éternel jouvence covoque deux charlatans / deux courtisans rivalisent de cruauté pour s'éliuminer mutuellement

intrigues  un roi gâteux, sénile usé par l’âge (lion) qui veut rajeunir. 2nd intrigue : guerre ouverte entre les courtisans : le loup et le renard.La fontaine n’hésite pas à être extrêmes violent (le loup mort) : la mort est ce qui va sanctionner la bêtise.LecturePersonnifications clairesAnimaux : courtisansFlatterie (comédie sociale)Fable racontée au passé (exemple qui conduit à la morale)La rivalitéHumour noir (goutte) vers 31HypocrisiePropos violentOpposition entre la subtilité du renard et la stupidité

Descartes........................................................................... p. 6 Quelques bruits d’animaux........................................................................ p. 7 Le loup......................................................................................................... p. 8 Le renard...................................................................................................... p. 12 Le chien.......................................................................

s’ouvre sur l’évocation d’un royaume animal décimé par la peste. Le Lion, Roi des animaux, suggère un sacrifice expiatoire volontaire ( « dévouement » ) : que chacun confesse ses fautes, et qu’ on sacrifie « le plus coupable » pour le salut de tous. Le Lion donne l’exemple en s’accusant, et en se disant ensuite prêt à se « dévouer » (v. 23-24). Qu’en est-il des autres animaux ? On verra que l’intervention rusée du Renard modifie sensiblement l’enjeu de cette confession publique : après son intervention

Eléphant, Faucon, Fourmi, Frelon, Gazelle, Geai, Génisse,Grenouille, Héron, Hirondelle, Hérisson, Hibou, Huitre, Laie, Lapin, Lièvre, Lion, Loup, Milan, Moineau, Mouche; Mouton, Mulet, Oiseau, Ours, Paon, Perdrix, Perroquet, Pie, Pigeon, Poisson, Poule, Puce, Rat, Renard, Rossignol, Scarabée, Serpent, Singe, Souris, Taureau, Tortue, Vautour. AGNEAU Loup et l'agneau (Le) AIGLE Aigle et la Pie (L’) Aigle et le Hibou (L’) Aigle et l'Escarbot (L’) Aigle la Laie et la Chatte (L’) Le Corbeau