Le Risque Systémique Financier Et Le Cas Du Maroc

Face aux défis posés par la mondialisation, le Maroc doit s’adapter aux transformations internationales tout en accélérant et en renforçant les différents chantiers de développement politique, économique et social. Le chantier de la réforme du système d’éducation et de formation est au cœur de la gestion de ces transformations. En 1999, une ambitieuse réforme de l’éducation a abouti à l’adoption d’une Charte Nationale de l’Éducation et de la Formation articulant une nouvelle vision à l’horizon

modalités de fonctionnement du Conseil national du crédit et de l’épargne • Décret n° 2-06-225 du 3 juillet 2007 fixant la composition et les modalités de fonctionnement de la Commission de coordination des organes de supervision du secteur financier 3. Conditions d’exercice • Circulaire n° 20/G/2006 du 30 novembre 2006 relative au capital minimum ou la dotation minimum des établissements de crédit et fixant les modalités d’application des dispositions de l’article 30 de la loi n° 34-03

prévisionnelle des emplois et compétences 6 Chapitre 2 : La gestion des compétences 11 Chapitre 3 : La formation et le développement des compétences 27 Deuxième Partie 36 Etude de cas «  RCAR » 36 Chapitre 1 36 Présentation et Analyse stratégique comparative du RCAR au sein du paysage de la retraite au Maroc 36 Chapitre 2 47 La gestion des ressources humaines et le système de Valorisation du Capital Humain « VCH » au sein du l’organisme 47 Conclusion Générale 55 Bibliographie

Mémoire présenté en vue de l'obtention d’un Master Recherche Option « Entrepreneuriat et stratégies des PME » Par Mustapha ZAHIR Sujet : Etude de la sous-traitance entre PME et grande entreprise : D’une relation de domination au partenariat - Cas du secteur textile et IMME - Membres du jury : Directeur de recherche : M. Abdenbi LOUITRI, Professeur à l’Université Cadi Ayyad Suffragants : M. Abderrahim FEKARI, Professeur à l’Université Cadi Ayyad : M. Brahim TIGUINT, Professeur à l’Université

richesse des natures 1976) : la très fort croissance démographique grâce à l’augmentation des rendements et la nette amélioration d’hygiène mais incapacité à satisfaire les nécessités en consommation et en vêtement de la population en croissance. Risque : manifestation sociale, le désordre ce qui pourrait engendrer la remise en cause de l’Etat naissant et donc disparition du système économique. Par conséquent, il faut intervenir (l’objectif de l’économiste est de repérer la problématique, le problème

du monde arabe, le secteur est prometteur pour certains pays tels que l’Egypte qui, grâce aux investissements nombreux et croissant dans le domaine, connaît un développement audiovisuel très marquant par rapport aux autres pays voisins. Au Maroc le secteur, en comparaison avec les données mondiales ou juste régionales se situent encore dans un stade embryonnaire et se trouve en difficulté. Pour le gouvernement marocain, la réforme de l’audiovisuel est au centre des préoccupations du ministre

des porte-clés de Chine en France, ce qui donne lieu à un paiement international), flux financier possible avec le blanchiment de la recette des ventes (illégales) et peut-être transfert d’une partie du revenu de l’immigré clandestin dans son pays d’origine, flux migratoires (touristique et donc de courte durée dans le cas du Chinois ; professionnel et possiblement de longue durée – définitif ? – dans le cas du Sénégalais). L’enchevêtrement de tous ces flux caractérise notre monde. Selon Thomas

devront investir énormément dans leurs infrastructures ainsi que dans les projets dits « stratégiques ». Pour réaliser ces investissements, il va falloir compter sur un système bancaire à la hauteur qui sera en mesure d’apprécier convenablement le risque ainsi que la rentabilité de chaque projet et d’allouer les ressources disponibles d’une manière optimale. Toutefois, la réalité ne semble pas converger vers la théorie. En effet le système bancaire maghrébin est loin d’être à la hauteur de ces défis

international Section I. Le contexte économique et financier de l’investissement international. §1. Les acteurs. A. Les investisseurs 1) Entreprises industrielles, agricoles ou commerciales. 2) Entrepreneurs individuels : cf. CIJ arrêt du 24 mai 2007, Guinéec. République Démocratique du Congo (aff. Diallo) 3) Les entreprises multinationales B. Les financiers. 1)Le secteur privé.

la satisfaction de leurs clients mais aussi de confronter une compétition mondiale de plus en plus acharnée. C’est surtout la complexité de cette chaîne, du fait qu’elle est parcourue de flux de différentes natures (de matières, d’information et financiers) et qu’elle implique l’intervention de plusieurs acteurs (fournisseurs, entreprises, distributeurs et clients) qui n’ont toujours pas les mêmes intérêts, qui rend sa gestion difficile. Toutes ces raisons nous ont passionné pour choisir ce thème :