Le Rire Vulgaire

créer des effets de décalage. Les termes utilisés pour définir certains registres sont ambivalents et s’appliquent aussi à des genres littéraires (la satire, par exemple) ou à des mouvements (le Réalisme). Le registre comique (on cherche à faire rire ou sourire) comporte de nombreuses nuances importantes : _la _satire (registre satirique) est une critique, virulente et moqueuse, d’un ridicule, d’un défaut ou d’un vice; elle est proche de la raillerie, du sarcasme ; elle utilise la déformation

insiste sur le « spectacle vivant ». ->Au XIIème siècle, une abbaye d'Italie lance le genre de la Passion en organisant des représentations de la Passion de Jésus. C'est un genre  « vulgaire ». ->Dès la fin du XIIIème siècle et le XIVème, on voit se démocratiser un théâtre religieux et populaire en langue vulgaire : c’est la naissance d'un nouveau genre le Miracle. ->Avec le Jeu, le Miracle et la Passion le théâtre médiéval s'est répandu en langue commune. II-le théâtre urbain et religieux 1)

explique différents points de vues, d'un côté celui d'une adolescente qui se laisse entraîner dans la drogue, trouvant "excitant" ce milieu pourtant "dangereux" puisqu'elle a entendu dire des choses "vulgaires" sur le L.S.D. Pensant après son expérience que les gens qui ont écrit ces "choses vulgaires" "ne savaient manifestement pas de quoi ils parlaient", elle se dit "curieuse" d'essayer la "marie-jeanne". Ainsi débute la fin de son existence, se disant vieille, se sentant vieille. Elle en vient

toutes ses formes de provocation décrypté dans son attitude elle le défi aussi verbalement . Alors que Don José est soldat ,Carmen le tutoie ouvertement « veux-tu me donner ta chaîne […] » puis suite au refus du soldat elle se moque de lui : « se mit à rire » alors qu'elle n'est même pas censé lui parler, elle lui manque de respect.En lui parlant avec des mots d'amours comme « mon cœur » elle continu son jeu et sa provocation. Suite a ça Don José est complètement désemparé . Elle le touche ensuite en

d'honnêteté où d'intelligence. -Le pédantisme: Avec le maître de philosophie qui étale tout sa science et parle latin. - La farce: Qui marque une rupture dans le comportement habituel d'une personne comme chez Nicole au moment où elle attrape un fou rire au point d'en perdre la raison. - Le burlesque: On constate que les maîtres de philosophie, danse, musique et armes se disputent comme des enfants. De plus, le cours où Monsieur Jourdain souhaite apprendre l'alphabet est tout simplement grotesque

quête du savoir comme essentielle. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : la parole divine par exemple doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible en langue vulgaire par Erasme en 1516). L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture

Il ne dit pas que tout le monde devrait penser comme lui, et ne dit pas que son avis est le bon. 2) François Rabelais Sa vie et son œuvre sont une superbe illustration de l'enthousiasme de la Renaissance. Il fait des œuvres drôles, provoquant le rire. Il a été moine et il croyait en cet engagement, mais il se trouvait enfermer et il ne se coupera pas du monde dans son abbaye avec son appétit de la vie. Il est ensuite médecin, écrivain et son nom est resté pour son œuvre. Œuvres: Elles mettent

mythologie Héros des mythes et dieux grecs sont fréquemment évoqués. Rimbaud utilise de nombreuses références mythologiques pour décrire ses personnages. Il les dégrade quelques fois comme dans "Vénus anadyomène" où il la compare à une femme hideuse et vulgaire, ou encore en fait un idéal comme dans "Soleil et chair" avec "-Ô Vénus, ô Déesse !" N comme novice "On n'est pas sérieux quand on a 17 ans" Rimbaud n'en est qu'au commencement de son œuvre. Il fait ses premiers pas dans le domaine de l'écriture

• Absurde : propos déroutants par leur absence de logique et leur caractère imprévisible. • Burlesque : comique qui naît du contraste. Ton vulgaire pour aborder des sujets nobles (au contraire du style héroï-comique). • Comique parodique : imitation moqueuse de quelqu’un ou de ce qui pourrait être dit sérieusement. • Critique : qui lance une attaque, on dit aussi polémique. Quand le texte est très violemment agressif, on parle de pamphlet. • Dérision : Tourner quelqu'un ou quelque chose en ridicule

de mariage au même nom (IV, 7) ou encore les scènes où le Comte se déguise en militaire (II) puis en bachelier (III). Ce sont des scènes où l'auteur abuse du procédé du théâtre dans le théâtre. Tout au long de la pièce, un des principaux facteurs de rire sera la parade amoureuse du Comte et de Rosine : tous deux cherchent par mille moyens à communiquer. Figaro fera parfois office de messager « dites lui ... dites lui bien ... » (II, 2). Ils se passeront des billet doux à l'insu de Bartholo (I, 3 et