Le Rire Vulgaire

MONTAIGNE sur une des éditions de ses Essais. Autre curiosité de la littérature : Raymond QUENEAU qui a réalisé l'exploit d'écrire 99 fois la même anecdote, dans 99 "styles" différents ! Son célèbre Exercices de style, paru en 1947, est à mourir de rire ! Enfin, il faut citer l'originalité de la démarche de Marguerite DURAS, qui publia en 1984 L'Amant, court roman évoquant son adolescence près de Saïgon, en, Indochine, et ses premières expériences amoureuses. Le livre fut adapté au cinéma par

permettait d'être mieux vus des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et d'en être mieux entendus, leur voix étant amplifiée comme par des porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste) ou comiques (un visage fendu d'un large rire) ainsi que des masques doubles (un côté tragique, un côté comique).L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une coiffure très haute, censés évoquer le gigantisme des dieux et des héros

arriver une curieuse délégation. Celle-ci les observe avec insistance et les tropis se sentent bizarrement scrutés.Tropittoresque: Je n'aurais point pensé que l'on devienne une telle source de conflit! Tropianiste : Enfin voyons, vous n'êtes qu'un vulgaire éleveur de noix de coco, ne parlez pas de ce que vous ne comprenez pas! Nous les inspirons, les pauvres vous avez vu, ils ont honte de leur corps. Voyez donc, ils les cachent sous ces horribles...(il marque une pause cherchant le mot qu'il ne trouve

- renforcent l'aspect clownesque des prsg (CLOV) Le tragique s'associe au comique de dérision + on assiste au rire grinçant des dramaturges I- Le comique de farce 1) CLOV : un clown - CLOV clown auguste - pantomine qui se transforme en pitrerie 2) les jeux de mots et calembours - coïte/coite - termes vulgaires - quiproquos ou répliques illogiques II- Le rire grinçant 1) la parodie - cogito cartésien : tragédie de l'existence montrée à travers des prsg mal en pt, aux activités

le quotidien pouvait mêler rire et larmes, pourquoi le drame ne mélangerait-il pas tragique et comique ? Rabelais ou Shakespeare fournissaient des exemples frappants d'un univers où tragique et comique étaient juxtaposés, voire concomitants. La plupart des drames romantiques pratiquèrent donc ce mélange des genres et des tons, moins par provocation que par choix esthétique, essentiellement au nom du réalisme. III-Juxtaposition et contrepoint En convoquant le rire et les larmes, les dramaturges

lutter contre cette hypocrisie. La célèbre formule « castigat ridendo mores »[14] est d'origine incertaine mais elle a été reprise par Molière. Elle exprime une idée développée par Horace dans son art poétique et résume cette volonté d'utiliser le rire comme vecteur d'instruction. Le théâtre de Molière est à la fois classique et baroqueééé[réf. nécessaire]. II - Marivaux et la comédie psychologique amoureuse: (1688 -1763) Molière, dans ses comédies, n’avait accordé à l’amour, comme moyen d’action

dialogues sont hilarants, très familier mais jamais vulgaire ! L’utilisation de ce type de discours rend l’histoire d’autant plus réaliste. Les musiques sont essentiellement de Jamie T, que j’adore mais celle qui m’a le plus marquée c’est « drôle de vie » de Véronique Sanson, revisité par Géraldine et Leila. (Oui je vous assure je suis ressortie de la salle en chantonnant une chanson de Véronique Sanson !) Il y a une scène, qui m’a fait très rire, Carole gardait des enfants, Jordan et Chris au

dégoulinante, cette matrone au sang bleu glacé, nous dit que oui. Les heures s’envolent comme les rêves, les minutes disparaissent comme les illusions, et les secondes s évanouissent comme l’espoir. Alors peut-être que oui : tournoyer, rire, aimer, cela ne rattrapera pas le temps perdu, mais donnera un sens au temps vécu. Loin de la froideur du memento mori de Marguerite, loin de l’obsession mégalomane de Bérenger qui ne peut concevoir qu’on vive après sa mort et nous demande « Pourquoi

bien ici. Vous seul, vous m’avez reconnu. D’ailleurs la dignité m’ennuie. Ensuite je pense avec joie que quelque mauvais poète la ramassera et s’en coiffera impudemment. Faire un heureux, quelle jouissance ! et surtout un heureux qui me fera rire ! Pensez à X, ou à Z ! Hein ! comme ce sera drôle ! » Axes d’étude : Les degrés de l’ironie, le caractère énigmatique, Ce poème est un extrait du recueil « Les petits poèmes en prose » ou « Le spleen de Paris » publié en 1869 et écrit par Charles

proie facile surtout face à une maîtresse manipulatrice (ligne34, elle lui impose le silence «  Assez ! », elle manie l’ironie ligne51 « Adèle, ironique »).   L’auteur ne présente jamais les personnages de façon odieuse ce qui permet au spectateur de rire des défauts des personnages mais également d’éprouver de la pitié en les voyant ainsi humiliés. L’auteur utilise également le comique des gestes pour ridiculiser encore plus ses personnages. On peut facilement s’imaginer Boubouroche très en colère